Breathe RPG

[B]

Donovan & Sloan

CRÉDIT - CSS

Mark se posta devant le miroir et resserra sa cravate noire. Il était vêtu d’un costume noir et d’une chemise blanche, très simple mais très classe. Seule chose dont il voulait se débarrasser c’était le regard soucieux sur son visage. Il avait des mauvais pressentiments pour ce soir que quelque chose n’allait pas se passer comme prévu. Comme il l’avait imaginé. Il se dirigea vers son casier et l’ouvrit.

Travaillant jusqu’à 18h, il avait apporté ses vêtements pour se changer et être prêt pour le bal de charité organisé à l’hôpital. Vous allez dire, mais il ne vit qu’à dix minutes de l’hôpital… Non, il vivait, à dix minutes de l’hôpital. Maintenant il en fallait plutôt trente, mais ça valait tellement le coup ! En Septembre, il avait demandé à Lexie de vivre avec lui. Il était bien sûr hors de question de rester dans l’appart où il était maintenant. Le fait d’avoir demander à Lexie de vivre avec lui, incluait de lui offrir plus d’intimité et de ne pas vivre en face de chez Callie. C’était seulement en décembre qu’ils avaient trouvé la perle rare, après de nombreuses recherches et visites durant deux mois. Ils avaient acquit et signé ensemble pour un bel appartement spacieux et moderne. Ils venaient à peine de finir le déménagement et se sortir des cartons. Tout commençait à devenir plus fluide, ils prenaient leurs marques et leurs habitudes. Et tout ça en tant que couple officiel. Ils avaient franchi la première étape qu’elle avait eu peur de franchir.

Enfin, rentrer aurait été une perte de temps, terminant à 18h et le bal commençant à 19h30. Mark attrapa son portable qui reposait sur l’étagère de son casier et composa un message.
« Tu me verrais… aussi beau qu’un pingouin. Je t’attendrais devant la salle de réception. »
Il envoya le message à Lexie puis autre chose sur l’étagère qu’il enfuit dans sa poche intérieure. A la fin de la soirée, il repasserait prendre son portefeuille et ses clés, il ne voulait pas s’encombrer inutilement.

Il sortit de la salle et croisa quelques médecins, deux infirmières au loin le regardèrent de haut en bas en souriant. C’était toujours flatteur, mais ce genre de chose, il n’y prêtait plus attention comme il y a deux ans. Il emprunta la porte qui menait aux escaliers et descendit jusqu’au 1er étage. Il ne pensait plus ou plutôt, si il pensait tellement qu’il ne pouvait en distinguer aucune clairement. Il s’entendait dire des mots, des mots qu’il s’était entraîné à dire encore et encore. Il entendait sa voix. Des « oui », et des « non ». Il s’arrêta net, attrapant la barre de l’escalier pour se retenir, il avait des palpitations et ses mains étaient devenues rouges. Il sentit de la sueur sur son front. Il s’installa sur les escaliers tentant de calmer les symptômes qui l’assaillaient. Il essuya son front avec le dos de sa main et leva la tête vers le haut essayant de reprendre une respiration normale.

« Allez, c’est pas si terrible… je peux le faire. Je peux le faire. Il n’y a pas de raisons que je n’y arrive pas. »

Il se releva descendit les trois dernières marches puis les remonta, un autre moyen d’évacuer le stress qui venait de l’attaquer. Il répéta cette action plusieurs fois comme si elle avait un quelconque effet sur son état. Il s’arrêta puis s’assit de nouveau.

« Lexie. J’ai quelque chose d’important à te dire… non c’est nul ça. Je peux mieux faire. Je suis Mark Sloan, le dieu de la plastique, grand chirurgien ! Je peux être original… mieux faire que… »

Il continua son speech sans prêter attention à la porte qui venait de s’ouvrir derrière lui…

[S]

Donovan & Sloan

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Mark se posta devant le miroir et resserra sa cravate noire. Il était vêtu d’un costume noir et d’une chemise blanche, très simple mais très classe. Seule chose dont il voulait se débarrasser c’était le regard soucieux sur son visage. Il avait des mauvais pressentiments pour ce soir que quelque chose n’allait pas se passer comme prévu. Comme il l’avait imaginé. Il se dirigea vers son casier et l’ouvrit.

Travaillant jusqu’à 18h, il avait apporté ses vêtements pour se changer et être prêt pour le bal de charité organisé à l’hôpital. Vous allez dire, mais il ne vit qu’à dix minutes de l’hôpital… Non, il vivait, à dix minutes de l’hôpital. Maintenant il en fallait plutôt trente, mais ça valait tellement le coup ! En Septembre, il avait demandé à Lexie de vivre avec lui. Il était bien sûr hors de question de rester dans l’appart où il était maintenant. Le fait d’avoir demander à Lexie de vivre avec lui, incluait de lui offrir plus d’intimité et de ne pas vivre en face de chez Callie. C’était seulement en décembre qu’ils avaient trouvé la perle rare, après de nombreuses recherches et visites durant deux mois. Ils avaient acquit et signé ensemble pour un bel appartement spacieux et moderne. Ils venaient à peine de finir le déménagement et se sortir des cartons. Tout commençait à devenir plus fluide, ils prenaient leurs marques et leurs habitudes. Et tout ça en tant que couple officiel. Ils avaient franchi la première étape qu’elle avait eu peur de franchir.

Enfin, rentrer aurait été une perte de temps, terminant à 18h et le bal commençant à 19h30. Mark attrapa son portable qui reposait sur l’étagère de son casier et composa un message.
« Tu me verrais… aussi beau qu’un pingouin. Je t’attendrais devant la salle de réception. »
Il envoya le message à Lexie puis autre chose sur l’étagère qu’il enfuit dans sa poche intérieure. A la fin de la soirée, il repasserait prendre son portefeuille et ses clés, il ne voulait pas s’encombrer inutilement.

Il sortit de la salle et croisa quelques médecins, deux infirmières au loin le regardèrent de haut en bas en souriant. C’était toujours flatteur, mais ce genre de chose, il n’y prêtait plus attention comme il y a deux ans. Il emprunta la porte qui menait aux escaliers et descendit jusqu’au 1er étage. Il ne pensait plus ou plutôt, si il pensait tellement qu’il ne pouvait en distinguer aucune clairement. Il s’entendait dire des mots, des mots qu’il s’était entraîné à dire encore et encore. Il entendait sa voix. Des « oui », et des « non ». Il s’arrêta net, attrapant la barre de l’escalier pour se retenir, il avait des palpitations et ses mains étaient devenues rouges. Il sentit de la sueur sur son front. Il s’installa sur les escaliers tentant de calmer les symptômes qui l’assaillaient. Il essuya son front avec le dos de sa main et leva la tête vers le haut essayant de reprendre une respiration normale.

« Allez, c’est pas si terrible… je peux le faire. Je peux le faire. Il n’y a pas de raisons que je n’y arrive pas. »

Il se releva descendit les trois dernières marches puis les remonta, un autre moyen d’évacuer le stress qui venait de l’attaquer. Il répéta cette action plusieurs fois comme si elle avait un quelconque effet sur son état. Il s’arrêta puis s’assit de nouveau.

« Lexie. J’ai quelque chose d’important à te dire… non c’est nul ça. Je peux mieux faire. Je suis Mark Sloan, le dieu de la plastique, grand chirurgien ! Je peux être original… mieux faire que… »

Il continua son speech sans prêter attention à la porte qui venait de s’ouvrir derrière lui…

[Mc]

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Mark se posta devant le miroir et resserra sa cravate noire. Il était vêtu d’un costume noir et d’une chemise blanche, très simple mais très classe. Seule chose dont il voulait se débarrasser c’était le regard soucieux sur son visage. Il avait des mauvais pressentiments pour ce soir que quelque chose n’allait pas se passer comme prévu. Comme il l’avait imaginé. Il se dirigea vers son casier et l’ouvrit.

Travaillant jusqu’à 18h, il avait apporté ses vêtements pour se changer et être prêt pour le bal de charité organisé à l’hôpital. Vous allez dire, mais il ne vit qu’à dix minutes de l’hôpital… Non, il vivait, à dix minutes de l’hôpital. Maintenant il en fallait plutôt trente, mais ça valait tellement le coup ! En Septembre, il avait demandé à Lexie de vivre avec lui. Il était bien sûr hors de question de rester dans l’appart où il était maintenant. Le fait d’avoir demander à Lexie de vivre avec lui, incluait de lui offrir plus d’intimité et de ne pas vivre en face de chez Callie. C’était seulement en décembre qu’ils avaient trouvé la perle rare, après de nombreuses recherches et visites durant deux mois. Ils avaient acquit et signé ensemble pour un bel appartement spacieux et moderne. Ils venaient à peine de finir le déménagement et se sortir des cartons. Tout commençait à devenir plus fluide, ils prenaient leurs marques et leurs habitudes. Et tout ça en tant que couple officiel. Ils avaient franchi la première étape qu’elle avait eu peur de franchir.

Enfin, rentrer aurait été une perte de temps, terminant à 18h et le bal commençant à 19h30. Mark attrapa son portable qui reposait sur l’étagère de son casier et composa un message.
« Tu me verrais… aussi beau qu’un pingouin. Je t’attendrais devant la salle de réception. »
Il envoya le message à Lexie puis autre chose sur l’étagère qu’il enfuit dans sa poche intérieure. A la fin de la soirée, il repasserait prendre son portefeuille et ses clés, il ne voulait pas s’encombrer inutilement.

Il sortit de la salle et croisa quelques médecins, deux infirmières au loin le regardèrent de haut en bas en souriant. C’était toujours flatteur, mais ce genre de chose, il n’y prêtait plus attention comme il y a deux ans. Il emprunta la porte qui menait aux escaliers et descendit jusqu’au 1er étage. Il ne pensait plus ou plutôt, si il pensait tellement qu’il ne pouvait en distinguer aucune clairement. Il s’entendait dire des mots, des mots qu’il s’était entraîné à dire encore et encore. Il entendait sa voix. Des « oui », et des « non ». Il s’arrêta net, attrapant la barre de l’escalier pour se retenir, il avait des palpitations et ses mains étaient devenues rouges. Il sentit de la sueur sur son front. Il s’installa sur les escaliers tentant de calmer les symptômes qui l’assaillaient. Il essuya son front avec le dos de sa main et leva la tête vers le haut essayant de reprendre une respiration normale.

« Allez, c’est pas si terrible… je peux le faire. Je peux le faire. Il n’y a pas de raisons que je n’y arrive pas. »

Il se releva descendit les trois dernières marches puis les remonta, un autre moyen d’évacuer le stress qui venait de l’attaquer. Il répéta cette action plusieurs fois comme si elle avait un quelconque effet sur son état. Il s’arrêta puis s’assit de nouveau.

« Lexie. J’ai quelque chose d’important à te dire… non c’est nul ça. Je peux mieux faire. Je suis Mark Sloan, le dieu de la plastique, grand chirurgien ! Je peux être original… mieux faire que… »

Il continua son speech sans prêter attention à la porte qui venait de s’ouvrir derrière lui…

[S]

Donovan & Sloan

CRÉDIT - CSS

Mark se posta devant le miroir et resserra sa cravate noire. Il était vêtu d’un costume noir et d’une chemise blanche, très simple mais très classe. Seule chose dont il voulait se débarrasser c’était le regard soucieux sur son visage. Il avait des mauvais pressentiments pour ce soir que quelque chose n’allait pas se passer comme prévu. Comme il l’avait imaginé. Il se dirigea vers son casier et l’ouvrit.

Travaillant jusqu’à 18h, il avait apporté ses vêtements pour se changer et être prêt pour le bal de charité organisé à l’hôpital. Vous allez dire, mais il ne vit qu’à dix minutes de l’hôpital… Non, il vivait, à dix minutes de l’hôpital. Maintenant il en fallait plutôt trente, mais ça valait tellement le coup ! En Septembre, il avait demandé à Lexie de vivre avec lui. Il était bien sûr hors de question de rester dans l’appart où il était maintenant. Le fait d’avoir demander à Lexie de vivre avec lui, incluait de lui offrir plus d’intimité et de ne pas vivre en face de chez Callie. C’était seulement en décembre qu’ils avaient trouvé la perle rare, après de nombreuses recherches et visites durant deux mois. Ils avaient acquit et signé ensemble pour un bel appartement spacieux et moderne. Ils venaient à peine de finir le déménagement et se sortir des cartons. Tout commençait à devenir plus fluide, ils prenaient leurs marques et leurs habitudes. Et tout ça en tant que couple officiel. Ils avaient franchi la première étape qu’elle avait eu peur de franchir.

Enfin, rentrer aurait été une perte de temps, terminant à 18h et le bal commençant à 19h30. Mark attrapa son portable qui reposait sur l’étagère de son casier et composa un message.
« Tu me verrais… aussi beau qu’un pingouin. Je t’attendrais devant la salle de réception. »
Il envoya le message à Lexie puis autre chose sur l’étagère qu’il enfuit dans sa poche intérieure. A la fin de la soirée, il repasserait prendre son portefeuille et ses clés, il ne voulait pas s’encombrer inutilement.

Il sortit de la salle et croisa quelques médecins, deux infirmières au loin le regardèrent de haut en bas en souriant. C’était toujours flatteur, mais ce genre de chose, il n’y prêtait plus attention comme il y a deux ans. Il emprunta la porte qui menait aux escaliers et descendit jusqu’au 1er étage. Il ne pensait plus ou plutôt, si il pensait tellement qu’il ne pouvait en distinguer aucune clairement. Il s’entendait dire des mots, des mots qu’il s’était entraîné à dire encore et encore. Il entendait sa voix. Des « oui », et des « non ». Il s’arrêta net, attrapant la barre de l’escalier pour se retenir, il avait des palpitations et ses mains étaient devenues rouges. Il sentit de la sueur sur son front. Il s’installa sur les escaliers tentant de calmer les symptômes qui l’assaillaient. Il essuya son front avec le dos de sa main et leva la tête vers le haut essayant de reprendre une respiration normale.

« Allez, c’est pas si terrible… je peux le faire. Je peux le faire. Il n’y a pas de raisons que je n’y arrive pas. »

Il se releva descendit les trois dernières marches puis les remonta, un autre moyen d’évacuer le stress qui venait de l’attaquer. Il répéta cette action plusieurs fois comme si elle avait un quelconque effet sur son état. Il s’arrêta puis s’assit de nouveau.

« Lexie. J’ai quelque chose d’important à te dire… non c’est nul ça. Je peux mieux faire. Je suis Mark Sloan, le dieu de la plastique, grand chirurgien ! Je peux être original… mieux faire que… »

Il continua son speech sans prêter attention à la porte qui venait de s’ouvrir derrière lui…

[S]

Journée de repos pour Lorenzo aujourd’hui. Que fait un chirurgien pendant sa journée de repos ? Et bien en général il dort, il en profite pour s’occuper des tâches ménagères chez lui, profite aussi de son temps libre pour sortir, bref, il redevient quelqu’un d’ordinaire avec une vie ordinaire. Sauf qu’aujourd’hui, l’italien mourrait d’ennuie. Il n’arrivait pas à trouver le sommeil, Lucy s’était déjà chargée de toutes les tâches ménagères la veille durant sa propre journée de repos et il ne pouvait pas sortir car, chose étonnante à Seattle, il pleuvait. Résultat, il tournait en rond comme un lion en cage. Et il fallait absolument qu’il trouve quelque chose pour l’occuper car dès qu’il ne faisait rien, il repensait à Teddy et à cette histoire d’enfant qu’il n’avait jamais connu.

A 17h, décidant de s’occuper coute que coute, il se dit qu’il pouvait toujours se préparer pour le bal de charité qui devait avoir lieu ce soir à l’hôpital et se rendre au SGH plus tôt pour finir toute la paperasse qu’il avait mis de côté. Oui, l’idée était plutôt bonne. Enfilant rapidement le costume qu’il avait prévu pour la soirée, Lorenzo se décida finalement à enlever sa cravate et à ouvrir le premier bouton de sa chemise. C’est fou ce que cette cravate pouvait lui donner un air coincé et 10 ans de plus. Autant y aller comme ça, il était plus à l’aise et en plus ça lui allait beaucoup mieux.

[…]

- Docteur Donovan ? Mais… Ce n’est pas votre jour de repos aujourd’hui ?
- Si mais je m’ennuyais chez moi. Alors autant finir la paperasse non ?

Répondit-il à l’infirmière face à lui, derrière le comptoir, avec un sourire. Elle lui tendit alors les dossiers qu’il venait de lui demander en lui glissant un petit « vous êtes très élégant » avec le sourire. Lorenzo accueillit le compliment avec un léger sourire gêné avant de se plonger dans ses dossiers. Malgré la flatterie et le boulot qu’il venait de trouver pour s’occuper, les pensées de l’italien était toujours tourné vers Teddy. Cela faisait maintenant cinq mois qu’il avait appris sa grossesse trois ans auparavant et cinq mois qu’il l’évitait. Parfois c’était même flagrant, comme la fois où il était sorti de l’ascenseur alors qu’il venait à peine de rentrer dans la cabine lorsqu’il l’avait vu dedans ou encore quand il avait carrément demandé à un autre chirurgien de son service de faire l'opération qu'il avait prévu car Teddy devait également être de l'opération.

En attendant, il ne comprenait pas où était passé les résultats des analyses qu’il avait demandé pour cette patiente. Décidant enfin de demander à l’infirmière si elles avaient bien étaient faites dans la journée, elle hocha de la tête en signe d’affirmation avant de lui expliquer que le Docteur Altman les avaient posé dans son casier car elle aussi en avait eu besoin dans la journée. Décidément, Teddy le hantait se dit-il en poussa un petit soupir.

- Bon et bien je vais aller les chercher. Je reviens d’ici peu, mais vous pouvez quand même ranger ces deux dossiers, merci.

Tournant les talons, il commença à se diriger vers l’ascenseur quand il vit la silhouette de la cardiologue l’attendre. Les escaliers, c’était bien aussi et en plus c’était bon pour la santé. Ouvrant la porte, il entendit alors la voix du Docteur Sloan. Avec un sourire amusé, Lorenzo se rendit compte qu’il était en train de parler seul et il ne put s’empêcher de lui répondre :

- Si vous parlez de faire deux pauvres points de suture, oui, vous êtes capable de faire beaucoup mieux.

Voyant le plasticien se tourner vers lui, Lorenzo lui montra clairement qu’il disait cela pour plaisanter. Après tout, la première fois que les deux hommes s’étaient parlés, c’était pour opérer du mieux possible Lucy durant la prise d’otage perpétrée par un toxico. Les mains dans les poches de son pantalon, Lorenzo descendit les quelques marches qui le séparait de Mark en le saluant d’un :

- Ravi de vous revoir Docteur Sloan.

Avant de lui tendre la main droite. C’est vrai qu’ils ne s’étaient pas croisés depuis un bon moment et que malgré les petites tensions de jalousies des deux côtés provoquées par leurs relations avec Lexie, les deux hommes s’entendaient plutôt bien.

[will]

Journée de repos pour Lorenzo aujourd’hui. Que fait un chirurgien pendant sa journée de repos ? Et bien en général il dort, il en profite pour s’occuper des tâches ménagères chez lui, profite aussi de son temps libre pour sortir, bref, il redevient quelqu’un d’ordinaire avec une vie ordinaire. Sauf qu’aujourd’hui, l’italien mourrait d’ennuie. Il n’arrivait pas à trouver le sommeil, Lucy s’était déjà chargée de toutes les tâches ménagères la veille durant sa propre journée de repos et il ne pouvait pas sortir car, chose étonnante à Seattle, il pleuvait. Résultat, il tournait en rond comme un lion en cage. Et il fallait absolument qu’il trouve quelque chose pour l’occuper car dès qu’il ne faisait rien, il repensait à Teddy et à cette histoire d’enfant qu’il n’avait jamais connu.

A 17h, décidant de s’occuper coute que coute, il se dit qu’il pouvait toujours se préparer pour le bal de charité qui devait avoir lieu ce soir à l’hôpital et se rendre au SGH plus tôt pour finir toute la paperasse qu’il avait mis de côté. Oui, l’idée était plutôt bonne. Enfilant rapidement le costume qu’il avait prévu pour la soirée, Lorenzo se décida finalement à enlever sa cravate et à ouvrir le premier bouton de sa chemise. C’est fou ce que cette cravate pouvait lui donner un air coincé et 10 ans de plus. Autant y aller comme ça, il était plus à l’aise et en plus ça lui allait beaucoup mieux.

[…]

- Docteur Donovan ? Mais… Ce n’est pas votre jour de repos aujourd’hui ?
- Si mais je m’ennuyais chez moi. Alors autant finir la paperasse non ?

Répondit-il à l’infirmière face à lui, derrière le comptoir, avec un sourire. Elle lui tendit alors les dossiers qu’il venait de lui demander en lui glissant un petit « vous êtes très élégant » avec le sourire. Lorenzo accueillit le compliment avec un léger sourire gêné avant de se plonger dans ses dossiers. Malgré la flatterie et le boulot qu’il venait de trouver pour s’occuper, les pensées de l’italien était toujours tourné vers Teddy. Cela faisait maintenant cinq mois qu’il avait appris sa grossesse trois ans auparavant et cinq mois qu’il l’évitait. Parfois c’était même flagrant, comme la fois où il était sorti de l’ascenseur alors qu’il venait à peine de rentrer dans la cabine lorsqu’il l’avait vu dedans ou encore quand il avait carrément demandé à un autre chirurgien de son service de faire l'opération qu'il avait prévu car Teddy devait également être de l'opération.

En attendant, il ne comprenait pas où était passé les résultats des analyses qu’il avait demandé pour cette patiente. Décidant enfin de demander à l’infirmière si elles avaient bien étaient faites dans la journée, elle hocha de la tête en signe d’affirmation avant de lui expliquer que le Docteur Altman les avaient posé dans son casier car elle aussi en avait eu besoin dans la journée. Décidément, Teddy le hantait se dit-il en poussa un petit soupir.

- Bon et bien je vais aller les chercher. Je reviens d’ici peu, mais vous pouvez quand même ranger ces deux dossiers, merci.

Tournant les talons, il commença à se diriger vers l’ascenseur quand il vit la silhouette de la cardiologue l’attendre. Les escaliers, c’était bien aussi et en plus c’était bon pour la santé. Ouvrant la porte, il entendit alors la voix du Docteur Sloan. Avec un sourire amusé, Lorenzo se rendit compte qu’il était en train de parler seul et il ne put s’empêcher de lui répondre :

- Si vous parlez de faire deux pauvres points de suture, oui, vous êtes capable de faire beaucoup mieux.

Voyant le plasticien se tourner vers lui, Lorenzo lui montra clairement qu’il disait cela pour plaisanter. Après tout, la première fois que les deux hommes s’étaient parlés, c’était pour opérer du mieux possible Lucy durant la prise d’otage perpétrée par un toxico. Les mains dans les poches de son pantalon, Lorenzo descendit les quelques marches qui le séparait de Mark en le saluant d’un :

- Ravi de vous revoir Docteur Sloan.

Avant de lui tendre la main droite. C’est vrai qu’ils ne s’étaient pas croisés depuis un bon moment et que malgré les petites tensions de jalousies des deux côtés provoquées par leurs relations avec Lexie, les deux hommes s’entendaient plutôt bien.

[B]

« Je suis Mark Sloan, le dieu de la plastique, grand chirurgien ! Je peux être original… mieux faire que… »

Mieux que quoi? Les clichés? Il allait tomber dedans à tous les coups. Ca finirait cliché et nian-nian comme tous les autres couples. Mais il ne voulait pas ça pour Lexie, pour eux. Il pouvait faire mieux. Il ne savait juste pas comment faire. Il aurait peut-être dû y réfléchir plus longuement...

# Si vous parlez de faire deux pauvres points de suture, oui, vous êtes capable de faire beaucoup mieux.

Mark se tourna surpris en entendant quelqu’un derrière lui. Son cœur palpitait déjà mais être surpris par le docteur Donovan en ajouta un peu plus à ses symptômes. Mark se demanda depuis quand Donovan était là, et ce qu’il avait entendu. Puis, il réalisa ce que le docteur Donovan venait de dire.

« Je ne parlais pas de ça… je… »

Aucun mot réel ne sortait, il n’arrivait pas à exprimer ce qu’il voulait dire, entre ses pensées embrouillées, les palpitations plus ou moins douloureuses et la chaleur écrasante qui régnait. Lorenzo fit un signe de tête comme quoi il plaisantait puis descendit les marches en disant avant de lui tendre la main pour le saluer:

# Ravi de vous revoir Docteur Sloan.

Mark hocha la tête incapable de dire quoi que ce soit. Sa gorge et ses lèvres étaient sèches. Il prit une profonde respiration et prit la main de Lorenzo pour le saluer. Il fit ces salutations de courte durée et passa sa main derrière sa nuque.

« Vous êtes là depuis quand ? Je veux dire… vous avez entendu quoi ? »

Lorenzo devait le prendre pour un fou à cet instant même. Il ne devait probablement avoir jamais vu le chirurgien dans cet état. Même Mark ne s’était jamais trouvé dans une telle situation. Il n’avait jamais eu de crise de panique et les personnes qui le connaissent, trouveraient cela étrange qu’il en fasse une. Pourquoi paniquait-il au fait ? Pourquoi maintenant ? Alors qu’il est « prêt » depuis quelques semaines ? Prêt est un bien grand mot. Il était plutôt… conscient de ce qu’il allait faire. Il avait cette idée dans la tête depuis un moment… mais prêt… l’était-il ?

[S]

« Je suis Mark Sloan, le dieu de la plastique, grand chirurgien ! Je peux être original… mieux faire que… »

Mieux que quoi? Les clichés? Il allait tomber dedans à tous les coups. Ca finirait cliché et nian-nian comme tous les autres couples. Mais il ne voulait pas ça pour Lexie, pour eux. Il pouvait faire mieux. Il ne savait juste pas comment faire. Il aurait peut-être dû y réfléchir plus longuement...

# Si vous parlez de faire deux pauvres points de suture, oui, vous êtes capable de faire beaucoup mieux.

Mark se tourna surpris en entendant quelqu’un derrière lui. Son cœur palpitait déjà mais être surpris par le docteur Donovan en ajouta un peu plus à ses symptômes. Mark se demanda depuis quand Donovan était là, et ce qu’il avait entendu. Puis, il réalisa ce que le docteur Donovan venait de dire.

« Je ne parlais pas de ça… je… »

Aucun mot réel ne sortait, il n’arrivait pas à exprimer ce qu’il voulait dire, entre ses pensées embrouillées, les palpitations plus ou moins douloureuses et la chaleur écrasante qui régnait. Lorenzo fit un signe de tête comme quoi il plaisantait puis descendit les marches en disant avant de lui tendre la main pour le saluer:

# Ravi de vous revoir Docteur Sloan.

Mark hocha la tête incapable de dire quoi que ce soit. Sa gorge et ses lèvres étaient sèches. Il prit une profonde respiration et prit la main de Lorenzo pour le saluer. Il fit ces salutations de courte durée et passa sa main derrière sa nuque.

« Vous êtes là depuis quand ? Je veux dire… vous avez entendu quoi ? »

Lorenzo devait le prendre pour un fou à cet instant même. Il ne devait probablement avoir jamais vu le chirurgien dans cet état. Même Mark ne s’était jamais trouvé dans une telle situation. Il n’avait jamais eu de crise de panique et les personnes qui le connaissent, trouveraient cela étrange qu’il en fasse une. Pourquoi paniquait-il au fait ? Pourquoi maintenant ? Alors qu’il est « prêt » depuis quelques semaines ? Prêt est un bien grand mot. Il était plutôt… conscient de ce qu’il allait faire. Il avait cette idée dans la tête depuis un moment… mais prêt… l’était-il ?

[Mc]

« Je suis Mark Sloan, le dieu de la plastique, grand chirurgien ! Je peux être original… mieux faire que… »

Mieux que quoi? Les clichés? Il allait tomber dedans à tous les coups. Ca finirait cliché et nian-nian comme tous les autres couples. Mais il ne voulait pas ça pour Lexie, pour eux. Il pouvait faire mieux. Il ne savait juste pas comment faire. Il aurait peut-être dû y réfléchir plus longuement...

# Si vous parlez de faire deux pauvres points de suture, oui, vous êtes capable de faire beaucoup mieux.

Mark se tourna surpris en entendant quelqu’un derrière lui. Son cœur palpitait déjà mais être surpris par le docteur Donovan en ajouta un peu plus à ses symptômes. Mark se demanda depuis quand Donovan était là, et ce qu’il avait entendu. Puis, il réalisa ce que le docteur Donovan venait de dire.

« Je ne parlais pas de ça… je… »

Aucun mot réel ne sortait, il n’arrivait pas à exprimer ce qu’il voulait dire, entre ses pensées embrouillées, les palpitations plus ou moins douloureuses et la chaleur écrasante qui régnait. Lorenzo fit un signe de tête comme quoi il plaisantait puis descendit les marches en disant avant de lui tendre la main pour le saluer:

# Ravi de vous revoir Docteur Sloan.

Mark hocha la tête incapable de dire quoi que ce soit. Sa gorge et ses lèvres étaient sèches. Il prit une profonde respiration et prit la main de Lorenzo pour le saluer. Il fit ces salutations de courte durée et passa sa main derrière sa nuque.

« Vous êtes là depuis quand ? Je veux dire… vous avez entendu quoi ? »

Lorenzo devait le prendre pour un fou à cet instant même. Il ne devait probablement avoir jamais vu le chirurgien dans cet état. Même Mark ne s’était jamais trouvé dans une telle situation. Il n’avait jamais eu de crise de panique et les personnes qui le connaissent, trouveraient cela étrange qu’il en fasse une. Pourquoi paniquait-il au fait ? Pourquoi maintenant ? Alors qu’il est « prêt » depuis quelques semaines ? Prêt est un bien grand mot. Il était plutôt… conscient de ce qu’il allait faire. Il avait cette idée dans la tête depuis un moment… mais prêt… l’était-il ?

[S]

« Je suis Mark Sloan, le dieu de la plastique, grand chirurgien ! Je peux être original… mieux faire que… »

Mieux que quoi? Les clichés? Il allait tomber dedans à tous les coups. Ca finirait cliché et nian-nian comme tous les autres couples. Mais il ne voulait pas ça pour Lexie, pour eux. Il pouvait faire mieux. Il ne savait juste pas comment faire. Il aurait peut-être dû y réfléchir plus longuement...

# Si vous parlez de faire deux pauvres points de suture, oui, vous êtes capable de faire beaucoup mieux.

Mark se tourna surpris en entendant quelqu’un derrière lui. Son cœur palpitait déjà mais être surpris par le docteur Donovan en ajouta un peu plus à ses symptômes. Mark se demanda depuis quand Donovan était là, et ce qu’il avait entendu. Puis, il réalisa ce que le docteur Donovan venait de dire.

« Je ne parlais pas de ça… je… »

Aucun mot réel ne sortait, il n’arrivait pas à exprimer ce qu’il voulait dire, entre ses pensées embrouillées, les palpitations plus ou moins douloureuses et la chaleur écrasante qui régnait. Lorenzo fit un signe de tête comme quoi il plaisantait puis descendit les marches en disant avant de lui tendre la main pour le saluer:

# Ravi de vous revoir Docteur Sloan.

Mark hocha la tête incapable de dire quoi que ce soit. Sa gorge et ses lèvres étaient sèches. Il prit une profonde respiration et prit la main de Lorenzo pour le saluer. Il fit ces salutations de courte durée et passa sa main derrière sa nuque.

« Vous êtes là depuis quand ? Je veux dire… vous avez entendu quoi ? »

Lorenzo devait le prendre pour un fou à cet instant même. Il ne devait probablement avoir jamais vu le chirurgien dans cet état. Même Mark ne s’était jamais trouvé dans une telle situation. Il n’avait jamais eu de crise de panique et les personnes qui le connaissent, trouveraient cela étrange qu’il en fasse une. Pourquoi paniquait-il au fait ? Pourquoi maintenant ? Alors qu’il est « prêt » depuis quelques semaines ? Prêt est un bien grand mot. Il était plutôt… conscient de ce qu’il allait faire. Il avait cette idée dans la tête depuis un moment… mais prêt… l’était-il ?

[S]

La poignée de main entre les deux hommes fut assez brève. Apparemment Mark n’était pas spécialement ravi de voir Lorenzo dans les escaliers. En tout cas, il avait l’air très nerveux. Lorenzo venait-il de l’interrompre dans quelque chose d’important ? Mais quoi ? Il était tout seul dans les escaliers, qu’est-ce qui pouvait être important, seul dans les escaliers, pour réagir ainsi ?

- Vous êtes là depuis quand ? Je veux dire… vous avez entendu quoi ?

Le ton et le comportement du plasticien surprirent Lorenzo. Ils n’avaient pas vraiment eu le temps de parler souvent entre eux et de faire énormément connaissance mais Sloan ne s’était pas du tout comporté ainsi durant la prise d’otage. Peut-être que son attitude à ce moment-là avait été dû à l’adrénaline et à la situation dans laquelle ils s’étaient retrouvés mais tout de même… Avec une expression prudente et le ton assorti, Lorenzo répondit enfin à Mark.

- Euh… Que vous étiez Mark Sloan, le dieu de la plastique et que vous pouviez faire mieux que ça.

Marquant un temps d’arrêt, l’italien observa son collègue et remarqua bien qu’il n’était pas dans son état habituel. En tout cas, pas dans l’état dans lequel il avait l’habitude de le voir. Remettant ses mains dans les poches de son pantalon et pencha légèrement la tête de côté, il demanda alors d'un air un peu plus inquiet que précédemment.

- Vous êtes sûr que ça va Sloan ? Vous avez l’air… Bizarre.

Qu’est-ce qui lui arrivait ? Une mauvaise journée ? Un problème personnel ? C’est sûr que le plasticien n’allait sans doute pas se confier à l’italien, après tout, ils se connaissaient à peine et seulement grâce à cette prise d’otage et à Lexie. Oui, en cas de problème, il se serait sans doute confier à Lexie, au docteur Sheperd ou encore Torres. C'était à eux qu'il se confiait habituellement, pas à Lorenzo. Mais bon, on ne sait jamais après tout. Et en plus, ce comportement inhabituel chez son collègue inquiétait un peu le grand brun.

[will]

La poignée de main entre les deux hommes fut assez brève. Apparemment Mark n’était pas spécialement ravi de voir Lorenzo dans les escaliers. En tout cas, il avait l’air très nerveux. Lorenzo venait-il de l’interrompre dans quelque chose d’important ? Mais quoi ? Il était tout seul dans les escaliers, qu’est-ce qui pouvait être important, seul dans les escaliers, pour réagir ainsi ?

- Vous êtes là depuis quand ? Je veux dire… vous avez entendu quoi ?

Le ton et le comportement du plasticien surprirent Lorenzo. Ils n’avaient pas vraiment eu le temps de parler souvent entre eux et de faire énormément connaissance mais Sloan ne s’était pas du tout comporté ainsi durant la prise d’otage. Peut-être que son attitude à ce moment-là avait été dû à l’adrénaline et à la situation dans laquelle ils s’étaient retrouvés mais tout de même… Avec une expression prudente et le ton assorti, Lorenzo répondit enfin à Mark.

- Euh… Que vous étiez Mark Sloan, le dieu de la plastique et que vous pouviez faire mieux que ça.

Marquant un temps d’arrêt, l’italien observa son collègue et remarqua bien qu’il n’était pas dans son état habituel. En tout cas, pas dans l’état dans lequel il avait l’habitude de le voir. Remettant ses mains dans les poches de son pantalon et pencha légèrement la tête de côté, il demanda alors d'un air un peu plus inquiet que précédemment.

- Vous êtes sûr que ça va Sloan ? Vous avez l’air… Bizarre.

Qu’est-ce qui lui arrivait ? Une mauvaise journée ? Un problème personnel ? C’est sûr que le plasticien n’allait sans doute pas se confier à l’italien, après tout, ils se connaissaient à peine et seulement grâce à cette prise d’otage et à Lexie. Oui, en cas de problème, il se serait sans doute confier à Lexie, au docteur Sheperd ou encore Torres. C'était à eux qu'il se confiait habituellement, pas à Lorenzo. Mais bon, on ne sait jamais après tout. Et en plus, ce comportement inhabituel chez son collègue inquiétait un peu le grand brun.

[B]

# Euh… Que vous étiez Mark Sloan, le dieu de la plastique et que vous pouviez faire mieux que ça.

Le traumatologue n’avait donc pas entendu que le problème de Mark concernait Lexie. Lexie qui n’était d’autre que la meilleure amie de l’homme qui l’avait surpris se parler à lui-même... Mark avait la réputation d’être quelqu’un de fort, peu sensible et pas du genre à craquer… surtout en présence de quelqu’un. Le fait que Donovan soit tombé sur lui le gênait, ou plutôt l’embarrassait. Il pourrait en parler à Lexie ce soir, lui dire qu’il l’avait vu dans un état inhabituel… et la soirée serait officiellement gâchée.

« Humm euh… d’accord… » Grommela le plasticien. « Bien bien… »

Ses paroles étaient plus destinées à lui-même qu’à Donovan. Mark se sentit oppressé cette fois et il avait de plus en plus chaud. Il desserra sa cravate et défit quelques boutons de sa veste.

« Vous ne trouvez pas qu’il fait chaud ? » Demanda-t-il au docteur Donovan.

# Vous êtes sûr que ça va Sloan ? Vous avez l’air… Bizarre.

« Non. Ca va, ca va… je suis juste… »
Tout à coup, Mark se mit à rire, secouant la tête de droite à gauche. « Il y a quelques années, vous m’auriez dit que je finirais comme ça je vous aurais rit au nez. »


Il ne se plaignait pas. Depuis qu’il avait rencontré Lexie, il avait des projets, une autre vision de sa vie, une direction s’était présentée à lui. Il rêvait d’une famille mais n’avait jamais trouvé LA personne pour réaliser ce projet. Il y avait eu Addie et cet enfant qui n’avait jamais vu le jour et auquel il n’avait pas eu son mot à dire. Mais avec Addie, ça aurait été trop compliqué car sa relation avec Derek ne serait jamais redevenue ce qu’elle avait été. Avec Lexie, tout était différent, mais leur différence d’âge ne pouvait pas être ignorée malgré tout. Il avait déjà la quarantaine et il se voyait mal devenir père à cinquante, mais il ne voulait pas brusquer Lexie qui n’aurait pas fini sa résidence avant encore 5 ou 6 ans..

Mark regarda ses mains légèrement tremblantes.

« Vous pensez quoi de notre relation… entre Lexie et moi ? »

[S]

# Euh… Que vous étiez Mark Sloan, le dieu de la plastique et que vous pouviez faire mieux que ça.

Le traumatologue n’avait donc pas entendu que le problème de Mark concernait Lexie. Lexie qui n’était d’autre que la meilleure amie de l’homme qui l’avait surpris se parler à lui-même... Mark avait la réputation d’être quelqu’un de fort, peu sensible et pas du genre à craquer… surtout en présence de quelqu’un. Le fait que Donovan soit tombé sur lui le gênait, ou plutôt l’embarrassait. Il pourrait en parler à Lexie ce soir, lui dire qu’il l’avait vu dans un état inhabituel… et la soirée serait officiellement gâchée.

« Humm euh… d’accord… » Grommela le plasticien. « Bien bien… »

Ses paroles étaient plus destinées à lui-même qu’à Donovan. Mark se sentit oppressé cette fois et il avait de plus en plus chaud. Il desserra sa cravate et défit quelques boutons de sa veste.

« Vous ne trouvez pas qu’il fait chaud ? » Demanda-t-il au docteur Donovan.

# Vous êtes sûr que ça va Sloan ? Vous avez l’air… Bizarre.

« Non. Ca va, ca va… je suis juste… »
Tout à coup, Mark se mit à rire, secouant la tête de droite à gauche. « Il y a quelques années, vous m’auriez dit que je finirais comme ça je vous aurais rit au nez. »


Il ne se plaignait pas. Depuis qu’il avait rencontré Lexie, il avait des projets, une autre vision de sa vie, une direction s’était présentée à lui. Il rêvait d’une famille mais n’avait jamais trouvé LA personne pour réaliser ce projet. Il y avait eu Addie et cet enfant qui n’avait jamais vu le jour et auquel il n’avait pas eu son mot à dire. Mais avec Addie, ça aurait été trop compliqué car sa relation avec Derek ne serait jamais redevenue ce qu’elle avait été. Avec Lexie, tout était différent, mais leur différence d’âge ne pouvait pas être ignorée malgré tout. Il avait déjà la quarantaine et il se voyait mal devenir père à cinquante, mais il ne voulait pas brusquer Lexie qui n’aurait pas fini sa résidence avant encore 5 ou 6 ans..

Mark regarda ses mains légèrement tremblantes.

« Vous pensez quoi de notre relation… entre Lexie et moi ? »

[Mc]

# Euh… Que vous étiez Mark Sloan, le dieu de la plastique et que vous pouviez faire mieux que ça.

Le traumatologue n’avait donc pas entendu que le problème de Mark concernait Lexie. Lexie qui n’était d’autre que la meilleure amie de l’homme qui l’avait surpris se parler à lui-même... Mark avait la réputation d’être quelqu’un de fort, peu sensible et pas du genre à craquer… surtout en présence de quelqu’un. Le fait que Donovan soit tombé sur lui le gênait, ou plutôt l’embarrassait. Il pourrait en parler à Lexie ce soir, lui dire qu’il l’avait vu dans un état inhabituel… et la soirée serait officiellement gâchée.

« Humm euh… d’accord… » Grommela le plasticien. « Bien bien… »

Ses paroles étaient plus destinées à lui-même qu’à Donovan. Mark se sentit oppressé cette fois et il avait de plus en plus chaud. Il desserra sa cravate et défit quelques boutons de sa veste.

« Vous ne trouvez pas qu’il fait chaud ? » Demanda-t-il au docteur Donovan.

# Vous êtes sûr que ça va Sloan ? Vous avez l’air… Bizarre.

« Non. Ca va, ca va… je suis juste… »
Tout à coup, Mark se mit à rire, secouant la tête de droite à gauche. « Il y a quelques années, vous m’auriez dit que je finirais comme ça je vous aurais rit au nez. »


Il ne se plaignait pas. Depuis qu’il avait rencontré Lexie, il avait des projets, une autre vision de sa vie, une direction s’était présentée à lui. Il rêvait d’une famille mais n’avait jamais trouvé LA personne pour réaliser ce projet. Il y avait eu Addie et cet enfant qui n’avait jamais vu le jour et auquel il n’avait pas eu son mot à dire. Mais avec Addie, ça aurait été trop compliqué car sa relation avec Derek ne serait jamais redevenue ce qu’elle avait été. Avec Lexie, tout était différent, mais leur différence d’âge ne pouvait pas être ignorée malgré tout. Il avait déjà la quarantaine et il se voyait mal devenir père à cinquante, mais il ne voulait pas brusquer Lexie qui n’aurait pas fini sa résidence avant encore 5 ou 6 ans..

Mark regarda ses mains légèrement tremblantes.

« Vous pensez quoi de notre relation… entre Lexie et moi ? »

[S]

# Euh… Que vous étiez Mark Sloan, le dieu de la plastique et que vous pouviez faire mieux que ça.

Le traumatologue n’avait donc pas entendu que le problème de Mark concernait Lexie. Lexie qui n’était d’autre que la meilleure amie de l’homme qui l’avait surpris se parler à lui-même... Mark avait la réputation d’être quelqu’un de fort, peu sensible et pas du genre à craquer… surtout en présence de quelqu’un. Le fait que Donovan soit tombé sur lui le gênait, ou plutôt l’embarrassait. Il pourrait en parler à Lexie ce soir, lui dire qu’il l’avait vu dans un état inhabituel… et la soirée serait officiellement gâchée.

« Humm euh… d’accord… » Grommela le plasticien. « Bien bien… »

Ses paroles étaient plus destinées à lui-même qu’à Donovan. Mark se sentit oppressé cette fois et il avait de plus en plus chaud. Il desserra sa cravate et défit quelques boutons de sa veste.

« Vous ne trouvez pas qu’il fait chaud ? » Demanda-t-il au docteur Donovan.

# Vous êtes sûr que ça va Sloan ? Vous avez l’air… Bizarre.

« Non. Ca va, ca va… je suis juste… »
Tout à coup, Mark se mit à rire, secouant la tête de droite à gauche. « Il y a quelques années, vous m’auriez dit que je finirais comme ça je vous aurais rit au nez. »


Il ne se plaignait pas. Depuis qu’il avait rencontré Lexie, il avait des projets, une autre vision de sa vie, une direction s’était présentée à lui. Il rêvait d’une famille mais n’avait jamais trouvé LA personne pour réaliser ce projet. Il y avait eu Addie et cet enfant qui n’avait jamais vu le jour et auquel il n’avait pas eu son mot à dire. Mais avec Addie, ça aurait été trop compliqué car sa relation avec Derek ne serait jamais redevenue ce qu’elle avait été. Avec Lexie, tout était différent, mais leur différence d’âge ne pouvait pas être ignorée malgré tout. Il avait déjà la quarantaine et il se voyait mal devenir père à cinquante, mais il ne voulait pas brusquer Lexie qui n’aurait pas fini sa résidence avant encore 5 ou 6 ans..

Mark regarda ses mains légèrement tremblantes.

« Vous pensez quoi de notre relation… entre Lexie et moi ? »

[S]

Le plasticien avait vraiment l’air mal à l’aise et nerveux. Et maintenant il trouvait qu’il faisait chaud alors que Lorenzo ne ressentait rien de particulier au niveau de la température. Décidemment Sloan n’était pas dans son état normal. C’est alors qu’il se mit à rire tout seul. De plus en plus surpris, l’italien commença légèrement à s’inquiéter pour sa santé mentale. Un surplus de boulot ? Il l’espérait sincèrement parce que si Sloan se mettait à devenir fou, dans quel état allait-il devoir ramasser Lexie ? C’est alors que Mark l’évoqua en demandant au grand brun ce qu’il pensait de leur relation. Surpris, Lorenzo lui répondit tout de même sincèrement.

- Que la différence d’âge ne se voit pas beaucoup. Vous avez l’air de rajeunir d’au moins 15 ans quand vous êtes avec elle. Et qu’elle est heureuse. Beaucoup plus qu’avec toux ceux avec qui elle a été d’ailleurs, ça se voit, elle n’a jamais été aussi souriante. Surtout depuis que vous vivez ensemble. Et quand on me dit qu’elle vous a changé, je dois avouer que je suis bien obliger de le penser moi aussi vu la description qu’on m’a faite du Mark Sloan d’avant Lexie Grey, acheva-t-il dans un petit rire.

C’est vrai que Lexie était aux anges depuis qu’elle avait emménagé avec le titulaire et par moment, Lorenzo l’enviait presque un peu. La petite Lexillence, rencontrée par hasard à San Francisco et qui avait failli lui cassé le nez à leur première rencontre. Ils en avaient fait du chemin depuis tous les deux. Pourtant, ils s’entendaient toujours aussi bien et malgré le fait qu’il soit titulaire et elle résidente, ils arrivaient encore à trouver les moyens de faire les 400 coups.

- Mais je vois pas ce que… mon avis peut vous faire aurait-il voulu achever.

Mais en fait, il réfléchissait en même temps qu’il avait commencé à prononcer sa phrase et tout se mit en place. Le stress, la chaleur, le rire nerveux, la question sur leur relation.

- Oh je vois… Je suppose que vous avez une bague sur vous et que vous ne savez pas comment lui dire ?

Lança finalement Lorenzo avec un sourire compatissant. Il était passé par la même chose 10 ans auparavant et il comprenait parfaitement ce que le plasticien était en train de subir. L’envie de ne pas tomber dans les clichés mais en même temps, qu’est-ce que je peux bien dire pour être différent ? Et oui, le mariage devenait une torture au moment même où on décidait de demander la main de sa compagne. Mais bon, Lorenzo était sûr que Mark et Lexie réussiraient beaucoup mieux leur mariage que l’italien. Enfin, s’il s’agissait bien de ça et si Lexie acceptait.

[will]

Le plasticien avait vraiment l’air mal à l’aise et nerveux. Et maintenant il trouvait qu’il faisait chaud alors que Lorenzo ne ressentait rien de particulier au niveau de la température. Décidemment Sloan n’était pas dans son état normal. C’est alors qu’il se mit à rire tout seul. De plus en plus surpris, l’italien commença légèrement à s’inquiéter pour sa santé mentale. Un surplus de boulot ? Il l’espérait sincèrement parce que si Sloan se mettait à devenir fou, dans quel état allait-il devoir ramasser Lexie ? C’est alors que Mark l’évoqua en demandant au grand brun ce qu’il pensait de leur relation. Surpris, Lorenzo lui répondit tout de même sincèrement.

- Que la différence d’âge ne se voit pas beaucoup. Vous avez l’air de rajeunir d’au moins 15 ans quand vous êtes avec elle. Et qu’elle est heureuse. Beaucoup plus qu’avec toux ceux avec qui elle a été d’ailleurs, ça se voit, elle n’a jamais été aussi souriante. Surtout depuis que vous vivez ensemble. Et quand on me dit qu’elle vous a changé, je dois avouer que je suis bien obliger de le penser moi aussi vu la description qu’on m’a faite du Mark Sloan d’avant Lexie Grey, acheva-t-il dans un petit rire.

C’est vrai que Lexie était aux anges depuis qu’elle avait emménagé avec le titulaire et par moment, Lorenzo l’enviait presque un peu. La petite Lexillence, rencontrée par hasard à San Francisco et qui avait failli lui cassé le nez à leur première rencontre. Ils en avaient fait du chemin depuis tous les deux. Pourtant, ils s’entendaient toujours aussi bien et malgré le fait qu’il soit titulaire et elle résidente, ils arrivaient encore à trouver les moyens de faire les 400 coups.

- Mais je vois pas ce que… mon avis peut vous faire aurait-il voulu achever.

Mais en fait, il réfléchissait en même temps qu’il avait commencé à prononcer sa phrase et tout se mit en place. Le stress, la chaleur, le rire nerveux, la question sur leur relation.

- Oh je vois… Je suppose que vous avez une bague sur vous et que vous ne savez pas comment lui dire ?

Lança finalement Lorenzo avec un sourire compatissant. Il était passé par la même chose 10 ans auparavant et il comprenait parfaitement ce que le plasticien était en train de subir. L’envie de ne pas tomber dans les clichés mais en même temps, qu’est-ce que je peux bien dire pour être différent ? Et oui, le mariage devenait une torture au moment même où on décidait de demander la main de sa compagne. Mais bon, Lorenzo était sûr que Mark et Lexie réussiraient beaucoup mieux leur mariage que l’italien. Enfin, s’il s’agissait bien de ça et si Lexie acceptait.

[B]

# Que la différence d’âge ne se voit pas beaucoup. Vous avez l’air de rajeunir d’au moins 15 ans quand vous êtes avec elle. Et qu’elle est heureuse. Beaucoup plus qu’avec toux ceux avec qui elle a été d’ailleurs, ça se voit, elle n’a jamais été aussi souriante. Surtout depuis que vous vivez ensemble. Et quand on me dit qu’elle vous a changé, je dois avouer que je suis bien obliger de le penser moi aussi vu la description qu’on m’a faite du Mark Sloan d’avant Lexie Grey

Donovan avait l’air sincère en répondant à la question de Mark. Ce dernier hocha la tête. Il avait du mal à réfléchir maintenant.

« Merci. Pour les 15 ans plus jeune… »

# Mais je vois pas ce que… Oh je vois… Je suppose que vous avez une bague sur vous et que vous ne savez pas comment lui dire ?

« Ca se voit tellement ? » Bien sûr il savait que ça se voyait. Il était médecin et savait pertinemment qu’il faisait une crise de panique. Et il n’y avait pas beaucoup de raisons autres qu’une demande en mariage pour le mettre dans cet état. Puis Donovan était aussi médecin, les indices lui avaient été clairement présentés…

« Hier j’étais encore prêt… je me disais que ce soir ça pouvait être le bon moment, mais là… je crois pas… je crois plus… C’est peut-être trop tôt. Elle trouverait que c’est trop tôt. Vous en pensez quoi vous ? »

Cette fois, il perdait les pédales. Demander au meilleur ami de lexie ce qu’il pensait du fait qu’il la demande en mariage. Il aurait pu se retourner vers Derek ou Callie… ses meilleurs amis à lui… mais non. Il se livrait sans réelles intentions à Lorenzo W. Donovan qu’il ne connaissait pas plus que ça… Peut-être serait-il justement plus apte à l’aider et le conseiller, que quelqu’un qui le connaissait beaucoup plus…

Mark plongea la main droite dans sa poche intérieure et en sortit la petite boite de velours noir. Il l’ouvrit…

[S]

# Que la différence d’âge ne se voit pas beaucoup. Vous avez l’air de rajeunir d’au moins 15 ans quand vous êtes avec elle. Et qu’elle est heureuse. Beaucoup plus qu’avec toux ceux avec qui elle a été d’ailleurs, ça se voit, elle n’a jamais été aussi souriante. Surtout depuis que vous vivez ensemble. Et quand on me dit qu’elle vous a changé, je dois avouer que je suis bien obliger de le penser moi aussi vu la description qu’on m’a faite du Mark Sloan d’avant Lexie Grey

Donovan avait l’air sincère en répondant à la question de Mark. Ce dernier hocha la tête. Il avait du mal à réfléchir maintenant.

« Merci. Pour les 15 ans plus jeune… »

# Mais je vois pas ce que… Oh je vois… Je suppose que vous avez une bague sur vous et que vous ne savez pas comment lui dire ?

« Ca se voit tellement ? » Bien sûr il savait que ça se voyait. Il était médecin et savait pertinemment qu’il faisait une crise de panique. Et il n’y avait pas beaucoup de raisons autres qu’une demande en mariage pour le mettre dans cet état. Puis Donovan était aussi médecin, les indices lui avaient été clairement présentés…

« Hier j’étais encore prêt… je me disais que ce soir ça pouvait être le bon moment, mais là… je crois pas… je crois plus… C’est peut-être trop tôt. Elle trouverait que c’est trop tôt. Vous en pensez quoi vous ? »

Cette fois, il perdait les pédales. Demander au meilleur ami de lexie ce qu’il pensait du fait qu’il la demande en mariage. Il aurait pu se retourner vers Derek ou Callie… ses meilleurs amis à lui… mais non. Il se livrait sans réelles intentions à Lorenzo W. Donovan qu’il ne connaissait pas plus que ça… Peut-être serait-il justement plus apte à l’aider et le conseiller, que quelqu’un qui le connaissait beaucoup plus…

Mark plongea la main droite dans sa poche intérieure et en sortit la petite boite de velours noir. Il l’ouvrit…

[Mc]

# Que la différence d’âge ne se voit pas beaucoup. Vous avez l’air de rajeunir d’au moins 15 ans quand vous êtes avec elle. Et qu’elle est heureuse. Beaucoup plus qu’avec toux ceux avec qui elle a été d’ailleurs, ça se voit, elle n’a jamais été aussi souriante. Surtout depuis que vous vivez ensemble. Et quand on me dit qu’elle vous a changé, je dois avouer que je suis bien obliger de le penser moi aussi vu la description qu’on m’a faite du Mark Sloan d’avant Lexie Grey

Donovan avait l’air sincère en répondant à la question de Mark. Ce dernier hocha la tête. Il avait du mal à réfléchir maintenant.

« Merci. Pour les 15 ans plus jeune… »

# Mais je vois pas ce que… Oh je vois… Je suppose que vous avez une bague sur vous et que vous ne savez pas comment lui dire ?

« Ca se voit tellement ? » Bien sûr il savait que ça se voyait. Il était médecin et savait pertinemment qu’il faisait une crise de panique. Et il n’y avait pas beaucoup de raisons autres qu’une demande en mariage pour le mettre dans cet état. Puis Donovan était aussi médecin, les indices lui avaient été clairement présentés…

« Hier j’étais encore prêt… je me disais que ce soir ça pouvait être le bon moment, mais là… je crois pas… je crois plus… C’est peut-être trop tôt. Elle trouverait que c’est trop tôt. Vous en pensez quoi vous ? »

Cette fois, il perdait les pédales. Demander au meilleur ami de lexie ce qu’il pensait du fait qu’il la demande en mariage. Il aurait pu se retourner vers Derek ou Callie… ses meilleurs amis à lui… mais non. Il se livrait sans réelles intentions à Lorenzo W. Donovan qu’il ne connaissait pas plus que ça… Peut-être serait-il justement plus apte à l’aider et le conseiller, que quelqu’un qui le connaissait beaucoup plus…

Mark plongea la main droite dans sa poche intérieure et en sortit la petite boite de velours noir. Il l’ouvrit…

[S]

# Que la différence d’âge ne se voit pas beaucoup. Vous avez l’air de rajeunir d’au moins 15 ans quand vous êtes avec elle. Et qu’elle est heureuse. Beaucoup plus qu’avec toux ceux avec qui elle a été d’ailleurs, ça se voit, elle n’a jamais été aussi souriante. Surtout depuis que vous vivez ensemble. Et quand on me dit qu’elle vous a changé, je dois avouer que je suis bien obliger de le penser moi aussi vu la description qu’on m’a faite du Mark Sloan d’avant Lexie Grey

Donovan avait l’air sincère en répondant à la question de Mark. Ce dernier hocha la tête. Il avait du mal à réfléchir maintenant.

« Merci. Pour les 15 ans plus jeune… »

# Mais je vois pas ce que… Oh je vois… Je suppose que vous avez une bague sur vous et que vous ne savez pas comment lui dire ?

« Ca se voit tellement ? » Bien sûr il savait que ça se voyait. Il était médecin et savait pertinemment qu’il faisait une crise de panique. Et il n’y avait pas beaucoup de raisons autres qu’une demande en mariage pour le mettre dans cet état. Puis Donovan était aussi médecin, les indices lui avaient été clairement présentés…

« Hier j’étais encore prêt… je me disais que ce soir ça pouvait être le bon moment, mais là… je crois pas… je crois plus… C’est peut-être trop tôt. Elle trouverait que c’est trop tôt. Vous en pensez quoi vous ? »

Cette fois, il perdait les pédales. Demander au meilleur ami de lexie ce qu’il pensait du fait qu’il la demande en mariage. Il aurait pu se retourner vers Derek ou Callie… ses meilleurs amis à lui… mais non. Il se livrait sans réelles intentions à Lorenzo W. Donovan qu’il ne connaissait pas plus que ça… Peut-être serait-il justement plus apte à l’aider et le conseiller, que quelqu’un qui le connaissait beaucoup plus…

Mark plongea la main droite dans sa poche intérieure et en sortit la petite boite de velours noir. Il l’ouvrit…

[S]

- Ca se voit tellement ?
- Disons plutôt que je suis passé par là aussi il y a dix ans.

Lança Lorenzo d’un air las au plasticien. Et quand on voyait comment ça s’était terminé… Pourtant, c’était lui, le divorcé et père d’une fille qu’il ne connaissait pas qui devait rassurer le petit ami de sa meilleure amie. Et bah dis donc, Sloan n’avait pas peur. En fait si, il était mort de peur et ça se voyais c’est sûr. Mais l’italien ne pouvait pas le blâmer, lui aussi avait perdu les pédales à ce moment là. Au moins, cela montrait bien que Mark tenait énormément à Lexillence.

Le plasticien commença d’ailleurs à parler de ses doutes soudains sur sa demande, sur le moment choisit etc. Lorenzo ne put s’empêcher un petit rire en baissant la tête et en regardant ses chaussures. Il ne se moquait pas de Sloan, bien au contraire. Il avait juste l’impression de se revoir dix ans plutôt. Relevant la tête, le grand brun regarda Mark avec un petit sourire en coin. Il s’apprêtait à le rassurer quand son collègue sorti de sa veste l’étui noir de la bague et l’ouvrit pour la lui montrer.

- Wouaw, bah si avec ça Lex’ vous dit non, je me charge personnellement de lui expliquer la vie.

Ne put-il s’empêcher de lancer devant la bague. C’est sûr qu’elle était belle, très belle même. Jamais il n’aurait eu les moyens d’acheter une bague come celle-là à Dana à l’époque. Reprenant ses esprits, il leva de nouveau le regard vers le plasticien et lui dit, toujours avec le même ton sincère :

- Croyez-moi Sloan, elle ne vous aime pas, c’est pire que ça, elle est folle de vous. Elle ne trouvera pas que c’est trop tôt mais simplement que c’est trop beau. Ca va bien lui montrer à quel point elle vous à changer. Et vous savez, on a tous des doutes au moment de leur demander leur main mais une fois qu’on le fait…

Il s’interrompit dans sa phrase, respirant profondément et haussa légèrement les épaules. Comment est-ce qu’on pouvait exprimer ça par des mots ? Ca, c’était une bonne question mais il fallait pourtant y répondre, au moins pour Mark.

- Une fois qu’on le fait, c’est magique, tout simplement. Je serais bien incapable de vous dire exactement ce que ça fait mais… Je pense que vous allez vite connaître ça. Ce soir même je suppose ?

[will]

- Ca se voit tellement ?
- Disons plutôt que je suis passé par là aussi il y a dix ans.

Lança Lorenzo d’un air las au plasticien. Et quand on voyait comment ça s’était terminé… Pourtant, c’était lui, le divorcé et père d’une fille qu’il ne connaissait pas qui devait rassurer le petit ami de sa meilleure amie. Et bah dis donc, Sloan n’avait pas peur. En fait si, il était mort de peur et ça se voyais c’est sûr. Mais l’italien ne pouvait pas le blâmer, lui aussi avait perdu les pédales à ce moment là. Au moins, cela montrait bien que Mark tenait énormément à Lexillence.

Le plasticien commença d’ailleurs à parler de ses doutes soudains sur sa demande, sur le moment choisit etc. Lorenzo ne put s’empêcher un petit rire en baissant la tête et en regardant ses chaussures. Il ne se moquait pas de Sloan, bien au contraire. Il avait juste l’impression de se revoir dix ans plutôt. Relevant la tête, le grand brun regarda Mark avec un petit sourire en coin. Il s’apprêtait à le rassurer quand son collègue sorti de sa veste l’étui noir de la bague et l’ouvrit pour la lui montrer.

- Wouaw, bah si avec ça Lex’ vous dit non, je me charge personnellement de lui expliquer la vie.

Ne put-il s’empêcher de lancer devant la bague. C’est sûr qu’elle était belle, très belle même. Jamais il n’aurait eu les moyens d’acheter une bague come celle-là à Dana à l’époque. Reprenant ses esprits, il leva de nouveau le regard vers le plasticien et lui dit, toujours avec le même ton sincère :

- Croyez-moi Sloan, elle ne vous aime pas, c’est pire que ça, elle est folle de vous. Elle ne trouvera pas que c’est trop tôt mais simplement que c’est trop beau. Ca va bien lui montrer à quel point elle vous à changer. Et vous savez, on a tous des doutes au moment de leur demander leur main mais une fois qu’on le fait…

Il s’interrompit dans sa phrase, respirant profondément et haussa légèrement les épaules. Comment est-ce qu’on pouvait exprimer ça par des mots ? Ca, c’était une bonne question mais il fallait pourtant y répondre, au moins pour Mark.

- Une fois qu’on le fait, c’est magique, tout simplement. Je serais bien incapable de vous dire exactement ce que ça fait mais… Je pense que vous allez vite connaître ça. Ce soir même je suppose ?

[B]

Mark comprit que Donovan avait été marié, du moins avait été fiancé… Il savait alors ce que Mark ressentait à cet instant précis. Encore une fois, il aurait pu demander à Derek, il avait demandé Meredith en mariage il y avait peu de temps, la manière dont il l’avait fait avait été originale… dans l’ascenseur… enfin…

Quand Mark ouvrit la boite, Donovan lança :
# Wouaw, bah si avec ça Lex’ vous dit non, je me charge personnellement de lui expliquer la vie.

Mark sourit, espérant que Lexie ait la même réaction en voyant la bague.

« J’étais dans la rue l’autre jour et je suis passé devant une boutique, je sais pas vraiment pourquoi je me suis arrêté et c’est la première que j’ai vu… »
Il marqua une pause refermant la boite et la remettant dans la poche de sa veste.

« On vient tout juste d’emménager ensemble, enfin ça fait cinq mois… et je sais qu’elle veut devenir chirurgienne avant de… d’avoir une famille… je ne sais pas… j’en suis presque à la moitié de ma vie… et j’ai de la chance si je meurs pas avant avec cette crise de panique. »

Donovan commença à lui dire que Lexie était folle de lui et qu’elle ne trouvera pas que c’est trop tot, une preuve qu’elle avait fait de lui un autre homme… Et c’était tellement vrai. Comme il lui avait dit dès le début de leur relation après quelques mésaventures corporelles… Il lui avait avoué qu’elle l’avait reconstruit.

# Et vous savez, on a tous des doutes au moment de leur demander leur main mais une fois qu’on le fait… Une fois qu’on le fait, c’est magique, tout simplement. Je serais bien incapable de vous dire exactement ce que ça fait mais… Je pense que vous allez vite connaître ça. Ce soir même je suppose ?

Mark l’avait écouté patiemment comme si Lorenzo avait les réponses, toutes les réponses. Mark détourna le regard et passa sa main droite dans ses cheveux en soupirant.

« Oui, c’est ce qui est prévu… ça fait deux semaines que je me promène avec la bague dans l’espoir qu’un bon moment se présente… Je voulais pas le faire pour la St Valentin… je ne veux pas que ce soit un cliché… pourtant faut croire qu’elles aiment ça… ça marche à tous les coups… mais pour Lexie je voulais quelque chose de différent… »

Mark rajusta sa veste, ses mains étaient moins rouges, les battements de son cœur étaient redevenus normaux, il ne tremblait plus et il ne faisait pas aussi chaud que quelques minutes plus tôt.

« Wow… je vais vous avouer un truc Donovan. J’ai la trouille. J’ai l’impression d’être sur le point de faire ma première opération. C’est excitant mais… la chute peut faire mal… »

Mark regarda Donovan et lui demanda:

« Vous avez été marié ? »

[S]

Mark comprit que Donovan avait été marié, du moins avait été fiancé… Il savait alors ce que Mark ressentait à cet instant précis. Encore une fois, il aurait pu demander à Derek, il avait demandé Meredith en mariage il y avait peu de temps, la manière dont il l’avait fait avait été originale… dans l’ascenseur… enfin…

Quand Mark ouvrit la boite, Donovan lança :
# Wouaw, bah si avec ça Lex’ vous dit non, je me charge personnellement de lui expliquer la vie.

Mark sourit, espérant que Lexie ait la même réaction en voyant la bague.

« J’étais dans la rue l’autre jour et je suis passé devant une boutique, je sais pas vraiment pourquoi je me suis arrêté et c’est la première que j’ai vu… »
Il marqua une pause refermant la boite et la remettant dans la poche de sa veste.

« On vient tout juste d’emménager ensemble, enfin ça fait cinq mois… et je sais qu’elle veut devenir chirurgienne avant de… d’avoir une famille… je ne sais pas… j’en suis presque à la moitié de ma vie… et j’ai de la chance si je meurs pas avant avec cette crise de panique. »

Donovan commença à lui dire que Lexie était folle de lui et qu’elle ne trouvera pas que c’est trop tot, une preuve qu’elle avait fait de lui un autre homme… Et c’était tellement vrai. Comme il lui avait dit dès le début de leur relation après quelques mésaventures corporelles… Il lui avait avoué qu’elle l’avait reconstruit.

# Et vous savez, on a tous des doutes au moment de leur demander leur main mais une fois qu’on le fait… Une fois qu’on le fait, c’est magique, tout simplement. Je serais bien incapable de vous dire exactement ce que ça fait mais… Je pense que vous allez vite connaître ça. Ce soir même je suppose ?

Mark l’avait écouté patiemment comme si Lorenzo avait les réponses, toutes les réponses. Mark détourna le regard et passa sa main droite dans ses cheveux en soupirant.

« Oui, c’est ce qui est prévu… ça fait deux semaines que je me promène avec la bague dans l’espoir qu’un bon moment se présente… Je voulais pas le faire pour la St Valentin… je ne veux pas que ce soit un cliché… pourtant faut croire qu’elles aiment ça… ça marche à tous les coups… mais pour Lexie je voulais quelque chose de différent… »

Mark rajusta sa veste, ses mains étaient moins rouges, les battements de son cœur étaient redevenus normaux, il ne tremblait plus et il ne faisait pas aussi chaud que quelques minutes plus tôt.

« Wow… je vais vous avouer un truc Donovan. J’ai la trouille. J’ai l’impression d’être sur le point de faire ma première opération. C’est excitant mais… la chute peut faire mal… »

Mark regarda Donovan et lui demanda:

« Vous avez été marié ? »

[Mc]

Mark comprit que Donovan avait été marié, du moins avait été fiancé… Il savait alors ce que Mark ressentait à cet instant précis. Encore une fois, il aurait pu demander à Derek, il avait demandé Meredith en mariage il y avait peu de temps, la manière dont il l’avait fait avait été originale… dans l’ascenseur… enfin…

Quand Mark ouvrit la boite, Donovan lança :
# Wouaw, bah si avec ça Lex’ vous dit non, je me charge personnellement de lui expliquer la vie.

Mark sourit, espérant que Lexie ait la même réaction en voyant la bague.

« J’étais dans la rue l’autre jour et je suis passé devant une boutique, je sais pas vraiment pourquoi je me suis arrêté et c’est la première que j’ai vu… »
Il marqua une pause refermant la boite et la remettant dans la poche de sa veste.

« On vient tout juste d’emménager ensemble, enfin ça fait cinq mois… et je sais qu’elle veut devenir chirurgienne avant de… d’avoir une famille… je ne sais pas… j’en suis presque à la moitié de ma vie… et j’ai de la chance si je meurs pas avant avec cette crise de panique. »

Donovan commença à lui dire que Lexie était folle de lui et qu’elle ne trouvera pas que c’est trop tot, une preuve qu’elle avait fait de lui un autre homme… Et c’était tellement vrai. Comme il lui avait dit dès le début de leur relation après quelques mésaventures corporelles… Il lui avait avoué qu’elle l’avait reconstruit.

# Et vous savez, on a tous des doutes au moment de leur demander leur main mais une fois qu’on le fait… Une fois qu’on le fait, c’est magique, tout simplement. Je serais bien incapable de vous dire exactement ce que ça fait mais… Je pense que vous allez vite connaître ça. Ce soir même je suppose ?

Mark l’avait écouté patiemment comme si Lorenzo avait les réponses, toutes les réponses. Mark détourna le regard et passa sa main droite dans ses cheveux en soupirant.

« Oui, c’est ce qui est prévu… ça fait deux semaines que je me promène avec la bague dans l’espoir qu’un bon moment se présente… Je voulais pas le faire pour la St Valentin… je ne veux pas que ce soit un cliché… pourtant faut croire qu’elles aiment ça… ça marche à tous les coups… mais pour Lexie je voulais quelque chose de différent… »

Mark rajusta sa veste, ses mains étaient moins rouges, les battements de son cœur étaient redevenus normaux, il ne tremblait plus et il ne faisait pas aussi chaud que quelques minutes plus tôt.

« Wow… je vais vous avouer un truc Donovan. J’ai la trouille. J’ai l’impression d’être sur le point de faire ma première opération. C’est excitant mais… la chute peut faire mal… »

Mark regarda Donovan et lui demanda:

« Vous avez été marié ? »

[S]

Mark comprit que Donovan avait été marié, du moins avait été fiancé… Il savait alors ce que Mark ressentait à cet instant précis. Encore une fois, il aurait pu demander à Derek, il avait demandé Meredith en mariage il y avait peu de temps, la manière dont il l’avait fait avait été originale… dans l’ascenseur… enfin…

Quand Mark ouvrit la boite, Donovan lança :
# Wouaw, bah si avec ça Lex’ vous dit non, je me charge personnellement de lui expliquer la vie.

Mark sourit, espérant que Lexie ait la même réaction en voyant la bague.

« J’étais dans la rue l’autre jour et je suis passé devant une boutique, je sais pas vraiment pourquoi je me suis arrêté et c’est la première que j’ai vu… »
Il marqua une pause refermant la boite et la remettant dans la poche de sa veste.

« On vient tout juste d’emménager ensemble, enfin ça fait cinq mois… et je sais qu’elle veut devenir chirurgienne avant de… d’avoir une famille… je ne sais pas… j’en suis presque à la moitié de ma vie… et j’ai de la chance si je meurs pas avant avec cette crise de panique. »

Donovan commença à lui dire que Lexie était folle de lui et qu’elle ne trouvera pas que c’est trop tot, une preuve qu’elle avait fait de lui un autre homme… Et c’était tellement vrai. Comme il lui avait dit dès le début de leur relation après quelques mésaventures corporelles… Il lui avait avoué qu’elle l’avait reconstruit.

# Et vous savez, on a tous des doutes au moment de leur demander leur main mais une fois qu’on le fait… Une fois qu’on le fait, c’est magique, tout simplement. Je serais bien incapable de vous dire exactement ce que ça fait mais… Je pense que vous allez vite connaître ça. Ce soir même je suppose ?

Mark l’avait écouté patiemment comme si Lorenzo avait les réponses, toutes les réponses. Mark détourna le regard et passa sa main droite dans ses cheveux en soupirant.

« Oui, c’est ce qui est prévu… ça fait deux semaines que je me promène avec la bague dans l’espoir qu’un bon moment se présente… Je voulais pas le faire pour la St Valentin… je ne veux pas que ce soit un cliché… pourtant faut croire qu’elles aiment ça… ça marche à tous les coups… mais pour Lexie je voulais quelque chose de différent… »

Mark rajusta sa veste, ses mains étaient moins rouges, les battements de son cœur étaient redevenus normaux, il ne tremblait plus et il ne faisait pas aussi chaud que quelques minutes plus tôt.

« Wow… je vais vous avouer un truc Donovan. J’ai la trouille. J’ai l’impression d’être sur le point de faire ma première opération. C’est excitant mais… la chute peut faire mal… »

Mark regarda Donovan et lui demanda:

« Vous avez été marié ? »

[S]

Apparemment, la bague qu’avait achetée Mark était comme qui dirait un coup de cœur. Au moins ça voulait dire qu’elle venait du cœur, pas du compte en banque. Il parla alors de mourir de cette crise de panique et Lorenzo ne put s’empêcher de laisser échapper un petit rire. Personne n’était mort d’une demande en mariage. Mort de honte peut-être au sens figuré lorsqu’on se prend un refus en pleine figure mais tout de même.

- Oui, c’est ce qui est prévu… ça fait deux semaines que je me promène avec la bague dans l’espoir qu’un bon moment se présente… Je voulais pas le faire pour la St Valentin…
- Houlà, pour Lex’, mauvaise idée la Saint Valentin.

Ne put-il s’empêcher de rajouter rapidement avant que Mark ne continue. Oui Lexillence aimait bien les cadeaux de la Saint Valentin, les soirées romantiques avec le dîner aux chandelles avec son amoureux, bref, une fille quoi ? Mais la demander en mariage ce jour là. Pas possible, elle aurait pensé immédiatement qu’il ne savait pas quoi lui faire comme cadeau et qu’il a fait ça par défaut pour cacher qu’il n’avait justement aucun cadeau.

Après avoir rapidement réajusté sa veste, le plasticien lui avoua alors qu’il avait la trouille. Quoi de plus normal en même temps ? Il s’apprêtait à faire sa demande en mariage. Mais Lorenzo le comprenait parfaitement quand il décrivit cette sensation mêlant peur et excitation. C’est vrai que le chute peut faire mal, très mal même, mais l’italien doutait fort du refus de Lex’. Il serait même prêt à parier qu’il allait recevoir un coup de fil vers minuit de Lexie, ne tenant plus en place et ne voulant pas attendre le lendemain matin pour le croiser à l’hôpital et lui dire que Mark lui avait offert une super bague, qu’il l’avait demandé en mariage et blablabla. Il ferait alors comme s’il n’était au courant de rien et lui répondrait que c’était génial avant que le moulin à paroles Lexie Grey ne se lance dans les explications de comment elle voit sa cérémonie de mariage.

- Vous avez été marié ?

La question du plasticien pris Lorenzo par surprise. Etant donné que Sloan vivait depuis 5 mois maintenant avec Lexie, il pensait que Mark était au courant de son mariage et du divorce qui avait suivit 3 ans plus tard.

- Oui. Oui en effet, j’ai été marié.

Répondit le grand brun en s’adossant au mur tout en regardant le plasticien. Puis il poursuivit avec un petit sourire amusé :

- Mais mieux vaut que je ne vous raconte pas ce passage de ma vie, vous risquerez de ne plus vouloir demander Lex’ en mariage.

C’est vrai que son mariage avait été assez… Catastrophique, il fallait le dire. Mais bon, il s’était marié trop tôt, trop jeune et pas avec la bonne personne de toute évidence.

[will]

Apparemment, la bague qu’avait achetée Mark était comme qui dirait un coup de cœur. Au moins ça voulait dire qu’elle venait du cœur, pas du compte en banque. Il parla alors de mourir de cette crise de panique et Lorenzo ne put s’empêcher de laisser échapper un petit rire. Personne n’était mort d’une demande en mariage. Mort de honte peut-être au sens figuré lorsqu’on se prend un refus en pleine figure mais tout de même.

- Oui, c’est ce qui est prévu… ça fait deux semaines que je me promène avec la bague dans l’espoir qu’un bon moment se présente… Je voulais pas le faire pour la St Valentin…
- Houlà, pour Lex’, mauvaise idée la Saint Valentin.

Ne put-il s’empêcher de rajouter rapidement avant que Mark ne continue. Oui Lexillence aimait bien les cadeaux de la Saint Valentin, les soirées romantiques avec le dîner aux chandelles avec son amoureux, bref, une fille quoi ? Mais la demander en mariage ce jour là. Pas possible, elle aurait pensé immédiatement qu’il ne savait pas quoi lui faire comme cadeau et qu’il a fait ça par défaut pour cacher qu’il n’avait justement aucun cadeau.

Après avoir rapidement réajusté sa veste, le plasticien lui avoua alors qu’il avait la trouille. Quoi de plus normal en même temps ? Il s’apprêtait à faire sa demande en mariage. Mais Lorenzo le comprenait parfaitement quand il décrivit cette sensation mêlant peur et excitation. C’est vrai que le chute peut faire mal, très mal même, mais l’italien doutait fort du refus de Lex’. Il serait même prêt à parier qu’il allait recevoir un coup de fil vers minuit de Lexie, ne tenant plus en place et ne voulant pas attendre le lendemain matin pour le croiser à l’hôpital et lui dire que Mark lui avait offert une super bague, qu’il l’avait demandé en mariage et blablabla. Il ferait alors comme s’il n’était au courant de rien et lui répondrait que c’était génial avant que le moulin à paroles Lexie Grey ne se lance dans les explications de comment elle voit sa cérémonie de mariage.

- Vous avez été marié ?

La question du plasticien pris Lorenzo par surprise. Etant donné que Sloan vivait depuis 5 mois maintenant avec Lexie, il pensait que Mark était au courant de son mariage et du divorce qui avait suivit 3 ans plus tard.

- Oui. Oui en effet, j’ai été marié.

Répondit le grand brun en s’adossant au mur tout en regardant le plasticien. Puis il poursuivit avec un petit sourire amusé :

- Mais mieux vaut que je ne vous raconte pas ce passage de ma vie, vous risquerez de ne plus vouloir demander Lex’ en mariage.

C’est vrai que son mariage avait été assez… Catastrophique, il fallait le dire. Mais bon, il s’était marié trop tôt, trop jeune et pas avec la bonne personne de toute évidence.

[B]

# Houlà, pour Lex’, mauvaise idée la Saint Valentin. Avait répondu Donovan.

Mark hocha simplement la tête. Une demande en mariage ce jour là était un énorme cliché. N’était-ce pas ce qu’il voulait éviter ? Puis il avait préféré lui préparer un dîner tranquille dans leur nouvel appartement, enfin aménagé et décoré à leurs gouts.

Mark demanda à Lorenzo si il avait été marié. Il lui semblait que Lexie avait mentionné que l’italien avait convolé et que ça s’était mal terminé, mais sur le coup, il ne savait plus trop.

# Oui. Oui en effet, j’ai été marié. Mais mieux vaut que je ne vous raconte pas ce passage de ma vie, vous risquerez de ne plus vouloir demander Lex’ en mariage.

Mark laissa échapper un petit rire.

« Je comprends. Pour la demande vous avez fait dans le cliché ou vous avez été original ? C’est toute une histoire de trouver la façon de le dire… Je suis allé à un match de baseball l’autre jour, un homme a fait sa demande via l’écran géant… c’est quand même particulier… »

D’un côté ce genre de demande pouvait être critiqué, une demande en mariage est supposée être intime, entre deux personnes pas tout un stade de baseball avec majoritairement des hommes qui ne veulent qu’une chose : voir le match. Après, c’était aussi prouver au monde qu’on aimait la personne à qui on demandait la main.

Enfin, ce n’était pas pour Lexie, pas pour lui, pas pour eux. Il voulait quelque chose de plus intime et simple, à leur image.

[S]

# Houlà, pour Lex’, mauvaise idée la Saint Valentin. Avait répondu Donovan.

Mark hocha simplement la tête. Une demande en mariage ce jour là était un énorme cliché. N’était-ce pas ce qu’il voulait éviter ? Puis il avait préféré lui préparer un dîner tranquille dans leur nouvel appartement, enfin aménagé et décoré à leurs gouts.

Mark demanda à Lorenzo si il avait été marié. Il lui semblait que Lexie avait mentionné que l’italien avait convolé et que ça s’était mal terminé, mais sur le coup, il ne savait plus trop.

# Oui. Oui en effet, j’ai été marié. Mais mieux vaut que je ne vous raconte pas ce passage de ma vie, vous risquerez de ne plus vouloir demander Lex’ en mariage.

Mark laissa échapper un petit rire.

« Je comprends. Pour la demande vous avez fait dans le cliché ou vous avez été original ? C’est toute une histoire de trouver la façon de le dire… Je suis allé à un match de baseball l’autre jour, un homme a fait sa demande via l’écran géant… c’est quand même particulier… »

D’un côté ce genre de demande pouvait être critiqué, une demande en mariage est supposée être intime, entre deux personnes pas tout un stade de baseball avec majoritairement des hommes qui ne veulent qu’une chose : voir le match. Après, c’était aussi prouver au monde qu’on aimait la personne à qui on demandait la main.

Enfin, ce n’était pas pour Lexie, pas pour lui, pas pour eux. Il voulait quelque chose de plus intime et simple, à leur image.

[Mc]

# Houlà, pour Lex’, mauvaise idée la Saint Valentin. Avait répondu Donovan.

Mark hocha simplement la tête. Une demande en mariage ce jour là était un énorme cliché. N’était-ce pas ce qu’il voulait éviter ? Puis il avait préféré lui préparer un dîner tranquille dans leur nouvel appartement, enfin aménagé et décoré à leurs gouts.

Mark demanda à Lorenzo si il avait été marié. Il lui semblait que Lexie avait mentionné que l’italien avait convolé et que ça s’était mal terminé, mais sur le coup, il ne savait plus trop.

# Oui. Oui en effet, j’ai été marié. Mais mieux vaut que je ne vous raconte pas ce passage de ma vie, vous risquerez de ne plus vouloir demander Lex’ en mariage.

Mark laissa échapper un petit rire.

« Je comprends. Pour la demande vous avez fait dans le cliché ou vous avez été original ? C’est toute une histoire de trouver la façon de le dire… Je suis allé à un match de baseball l’autre jour, un homme a fait sa demande via l’écran géant… c’est quand même particulier… »

D’un côté ce genre de demande pouvait être critiqué, une demande en mariage est supposée être intime, entre deux personnes pas tout un stade de baseball avec majoritairement des hommes qui ne veulent qu’une chose : voir le match. Après, c’était aussi prouver au monde qu’on aimait la personne à qui on demandait la main.

Enfin, ce n’était pas pour Lexie, pas pour lui, pas pour eux. Il voulait quelque chose de plus intime et simple, à leur image.

[S]

# Houlà, pour Lex’, mauvaise idée la Saint Valentin. Avait répondu Donovan.

Mark hocha simplement la tête. Une demande en mariage ce jour là était un énorme cliché. N’était-ce pas ce qu’il voulait éviter ? Puis il avait préféré lui préparer un dîner tranquille dans leur nouvel appartement, enfin aménagé et décoré à leurs gouts.

Mark demanda à Lorenzo si il avait été marié. Il lui semblait que Lexie avait mentionné que l’italien avait convolé et que ça s’était mal terminé, mais sur le coup, il ne savait plus trop.

# Oui. Oui en effet, j’ai été marié. Mais mieux vaut que je ne vous raconte pas ce passage de ma vie, vous risquerez de ne plus vouloir demander Lex’ en mariage.

Mark laissa échapper un petit rire.

« Je comprends. Pour la demande vous avez fait dans le cliché ou vous avez été original ? C’est toute une histoire de trouver la façon de le dire… Je suis allé à un match de baseball l’autre jour, un homme a fait sa demande via l’écran géant… c’est quand même particulier… »

D’un côté ce genre de demande pouvait être critiqué, une demande en mariage est supposée être intime, entre deux personnes pas tout un stade de baseball avec majoritairement des hommes qui ne veulent qu’une chose : voir le match. Après, c’était aussi prouver au monde qu’on aimait la personne à qui on demandait la main.

Enfin, ce n’était pas pour Lexie, pas pour lui, pas pour eux. Il voulait quelque chose de plus intime et simple, à leur image.

[S]

Le rire de Sloan à la remarque que venait de faire Lorenzo le fit sourire. Pour une fois que quelqu’un ne lui demandait pas avec une curiosité mal placée ce qu’il s’était passé, cela faisait plaisir. Alala, les peines de cœurs…

Le plasticien commença alors à lui demander comment il avait fait sa demande avant de parler de celle d’un type durant un match de baseball. Lorenzo ne put s’empêcher de rire à cette anecdote. C’est vrai que cela se faisait pas mal ces derniers temps mais il trouvait cela d’un ridicule. Il ne se gêna d’ailleurs pas pour le dire ouvertement à Mark, toujours avec son air amusé.

- Je dois vous avouer que je trouve ça particulièrement idiot. Et désolé si c’était votre idée, bien que je ne l’espère pas. Une demande en mariage, c’est censé se faire entre les deux personnes concernées. Pas devant tout un stade dont les neuf dixièmes des gens en ont franchement rien à faire. Et concernant ma demande…

Il l’avait faite de façon originale, c’est le moins que l’on puisse dire. Qui aurait eu l’idée de mettre la bague de fiançailles autour d’un lego ? D’ailleurs en repensant à ça, Lorenzo eut de nouveau un petit rire. Il se tourna alors vers Mark et lui expliqua avec le sourire :

- On s’était rencontré à cause d’un lego pour faire simple et rapide. Et un matin où je n’étais pas de garde, je lui ai apporté le petit déjeuner au lit avec la bague autour d’un lego similaire à celui de notre rencontre sur le plateau. Un peu cliché tout de même mais je pense être quand même le seul fou sur Terre a avoir mis une bague autour d’un lego pour faire ma demande.

Il conclu sa phrase par un nouveau rire bref. En tout cas, cela s’était quand même terminé par un divorce pensa-t-il amèrement. Mais peu lui importait aujourd’hui, il savait que Dana n’était pas la femme de sa vie, loin de là même. Il reporta de nouveau son attention au plasticien et lui demanda sur le ton de la conversation :

- Vous savez déjà comment vous allez lui demander ou bien vous pataugez complètement ?

[will]

Le rire de Sloan à la remarque que venait de faire Lorenzo le fit sourire. Pour une fois que quelqu’un ne lui demandait pas avec une curiosité mal placée ce qu’il s’était passé, cela faisait plaisir. Alala, les peines de cœurs…

Le plasticien commença alors à lui demander comment il avait fait sa demande avant de parler de celle d’un type durant un match de baseball. Lorenzo ne put s’empêcher de rire à cette anecdote. C’est vrai que cela se faisait pas mal ces derniers temps mais il trouvait cela d’un ridicule. Il ne se gêna d’ailleurs pas pour le dire ouvertement à Mark, toujours avec son air amusé.

- Je dois vous avouer que je trouve ça particulièrement idiot. Et désolé si c’était votre idée, bien que je ne l’espère pas. Une demande en mariage, c’est censé se faire entre les deux personnes concernées. Pas devant tout un stade dont les neuf dixièmes des gens en ont franchement rien à faire. Et concernant ma demande…

Il l’avait faite de façon originale, c’est le moins que l’on puisse dire. Qui aurait eu l’idée de mettre la bague de fiançailles autour d’un lego ? D’ailleurs en repensant à ça, Lorenzo eut de nouveau un petit rire. Il se tourna alors vers Mark et lui expliqua avec le sourire :

- On s’était rencontré à cause d’un lego pour faire simple et rapide. Et un matin où je n’étais pas de garde, je lui ai apporté le petit déjeuner au lit avec la bague autour d’un lego similaire à celui de notre rencontre sur le plateau. Un peu cliché tout de même mais je pense être quand même le seul fou sur Terre a avoir mis une bague autour d’un lego pour faire ma demande.

Il conclu sa phrase par un nouveau rire bref. En tout cas, cela s’était quand même terminé par un divorce pensa-t-il amèrement. Mais peu lui importait aujourd’hui, il savait que Dana n’était pas la femme de sa vie, loin de là même. Il reporta de nouveau son attention au plasticien et lui demanda sur le ton de la conversation :

- Vous savez déjà comment vous allez lui demander ou bien vous pataugez complètement ?

[B]

Quand Donovan lui avoua qu’il trouvait la demande en mariage dans un stade particulièrement idiote, Mark hocha la tête plusieurs fois le sourire aux lèvres.

« Bien, nous sommes d’accord là dessus ; et non, ce n’était pas mon attention. Je pense que je me serai pris une gifle de la part de Lexie. »

Mark frotta sa joue comme s’il pouvait sentir le geste de la jeune femme en réel. Non il n’aurait pas pu faire ça. Tout comme le restaurant, et la bague dans un gâteau. Avec la chance qu’il avait, Lexie l’aurait peut-être avalée ou pire encore… Ou bien le restaurant et un genou à terre.

Mark écouta patiemment Donovan décrit sa demande en mariage. Il trouvait plutôt ça original, c’était simple et intimiste.

« Vous êtes probablement le seul sur Terre mais au moins c’est original. »

# Vous savez déjà comment vous allez lui demander ou bien vous pataugez complètement ?

« Si vous saviez, je crois que j’ai tout imaginé depuis deux semaines. Avant hier j’ai même failli lui demander lors d’une opération… je me suis retenu au moment où elle m’a demandé si elle pouvait retirer la tumeur… »

Mark se mit à rire. Oui, il y avait réfléchit pendant des heures depuis qu’il avait acheté la bague. Une soirée au restaurant, puis la soirée dans l’hôtel où ils avaient échangé leur premier baiser, leur première nuit… elle aurait vu le poteau rose à des kilomètres. A l’appartement, dans leur lit… le soir ? Le matin ? Alors qu’elle prépare le dîner ? Pas vraiment original… A l’hôpital, leur lieu de rencontre, ce qu’ils partagent chaque jour… en salle d’opération, il avait rayer ça de sa liste.

Et pour répondre à Donovan,

« Oui, je patauge… Mais si je ne le fais pas ce soir, quand est-ce que je le ferai ? Et si je trouve jamais d’idées ? »

Soit il se lançait et prenait le risque que ce soit le pire moment de leur vie, ou le meilleur… soit il ne se lançait pas et resterait encore avec une bague dans sa poche intérieure…

« Ah Donovan, pourquoi c’est pas plus simple ? Pourquoi on sait pas ce qu’elles veulent comme ça… on est certain de pas se louper. »

[S]

Quand Donovan lui avoua qu’il trouvait la demande en mariage dans un stade particulièrement idiote, Mark hocha la tête plusieurs fois le sourire aux lèvres.

« Bien, nous sommes d’accord là dessus ; et non, ce n’était pas mon attention. Je pense que je me serai pris une gifle de la part de Lexie. »

Mark frotta sa joue comme s’il pouvait sentir le geste de la jeune femme en réel. Non il n’aurait pas pu faire ça. Tout comme le restaurant, et la bague dans un gâteau. Avec la chance qu’il avait, Lexie l’aurait peut-être avalée ou pire encore… Ou bien le restaurant et un genou à terre.

Mark écouta patiemment Donovan décrit sa demande en mariage. Il trouvait plutôt ça original, c’était simple et intimiste.

« Vous êtes probablement le seul sur Terre mais au moins c’est original. »

# Vous savez déjà comment vous allez lui demander ou bien vous pataugez complètement ?

« Si vous saviez, je crois que j’ai tout imaginé depuis deux semaines. Avant hier j’ai même failli lui demander lors d’une opération… je me suis retenu au moment où elle m’a demandé si elle pouvait retirer la tumeur… »

Mark se mit à rire. Oui, il y avait réfléchit pendant des heures depuis qu’il avait acheté la bague. Une soirée au restaurant, puis la soirée dans l’hôtel où ils avaient échangé leur premier baiser, leur première nuit… elle aurait vu le poteau rose à des kilomètres. A l’appartement, dans leur lit… le soir ? Le matin ? Alors qu’elle prépare le dîner ? Pas vraiment original… A l’hôpital, leur lieu de rencontre, ce qu’ils partagent chaque jour… en salle d’opération, il avait rayer ça de sa liste.

Et pour répondre à Donovan,

« Oui, je patauge… Mais si je ne le fais pas ce soir, quand est-ce que je le ferai ? Et si je trouve jamais d’idées ? »

Soit il se lançait et prenait le risque que ce soit le pire moment de leur vie, ou le meilleur… soit il ne se lançait pas et resterait encore avec une bague dans sa poche intérieure…

« Ah Donovan, pourquoi c’est pas plus simple ? Pourquoi on sait pas ce qu’elles veulent comme ça… on est certain de pas se louper. »

[Mc]

Quand Donovan lui avoua qu’il trouvait la demande en mariage dans un stade particulièrement idiote, Mark hocha la tête plusieurs fois le sourire aux lèvres.

« Bien, nous sommes d’accord là dessus ; et non, ce n’était pas mon attention. Je pense que je me serai pris une gifle de la part de Lexie. »

Mark frotta sa joue comme s’il pouvait sentir le geste de la jeune femme en réel. Non il n’aurait pas pu faire ça. Tout comme le restaurant, et la bague dans un gâteau. Avec la chance qu’il avait, Lexie l’aurait peut-être avalée ou pire encore… Ou bien le restaurant et un genou à terre.

Mark écouta patiemment Donovan décrit sa demande en mariage. Il trouvait plutôt ça original, c’était simple et intimiste.

« Vous êtes probablement le seul sur Terre mais au moins c’est original. »

# Vous savez déjà comment vous allez lui demander ou bien vous pataugez complètement ?

« Si vous saviez, je crois que j’ai tout imaginé depuis deux semaines. Avant hier j’ai même failli lui demander lors d’une opération… je me suis retenu au moment où elle m’a demandé si elle pouvait retirer la tumeur… »

Mark se mit à rire. Oui, il y avait réfléchit pendant des heures depuis qu’il avait acheté la bague. Une soirée au restaurant, puis la soirée dans l’hôtel où ils avaient échangé leur premier baiser, leur première nuit… elle aurait vu le poteau rose à des kilomètres. A l’appartement, dans leur lit… le soir ? Le matin ? Alors qu’elle prépare le dîner ? Pas vraiment original… A l’hôpital, leur lieu de rencontre, ce qu’ils partagent chaque jour… en salle d’opération, il avait rayer ça de sa liste.

Et pour répondre à Donovan,

« Oui, je patauge… Mais si je ne le fais pas ce soir, quand est-ce que je le ferai ? Et si je trouve jamais d’idées ? »

Soit il se lançait et prenait le risque que ce soit le pire moment de leur vie, ou le meilleur… soit il ne se lançait pas et resterait encore avec une bague dans sa poche intérieure…

« Ah Donovan, pourquoi c’est pas plus simple ? Pourquoi on sait pas ce qu’elles veulent comme ça… on est certain de pas se louper. »

[S]

Quand Donovan lui avoua qu’il trouvait la demande en mariage dans un stade particulièrement idiote, Mark hocha la tête plusieurs fois le sourire aux lèvres.

« Bien, nous sommes d’accord là dessus ; et non, ce n’était pas mon attention. Je pense que je me serai pris une gifle de la part de Lexie. »

Mark frotta sa joue comme s’il pouvait sentir le geste de la jeune femme en réel. Non il n’aurait pas pu faire ça. Tout comme le restaurant, et la bague dans un gâteau. Avec la chance qu’il avait, Lexie l’aurait peut-être avalée ou pire encore… Ou bien le restaurant et un genou à terre.

Mark écouta patiemment Donovan décrit sa demande en mariage. Il trouvait plutôt ça original, c’était simple et intimiste.

« Vous êtes probablement le seul sur Terre mais au moins c’est original. »

# Vous savez déjà comment vous allez lui demander ou bien vous pataugez complètement ?

« Si vous saviez, je crois que j’ai tout imaginé depuis deux semaines. Avant hier j’ai même failli lui demander lors d’une opération… je me suis retenu au moment où elle m’a demandé si elle pouvait retirer la tumeur… »

Mark se mit à rire. Oui, il y avait réfléchit pendant des heures depuis qu’il avait acheté la bague. Une soirée au restaurant, puis la soirée dans l’hôtel où ils avaient échangé leur premier baiser, leur première nuit… elle aurait vu le poteau rose à des kilomètres. A l’appartement, dans leur lit… le soir ? Le matin ? Alors qu’elle prépare le dîner ? Pas vraiment original… A l’hôpital, leur lieu de rencontre, ce qu’ils partagent chaque jour… en salle d’opération, il avait rayer ça de sa liste.

Et pour répondre à Donovan,

« Oui, je patauge… Mais si je ne le fais pas ce soir, quand est-ce que je le ferai ? Et si je trouve jamais d’idées ? »

Soit il se lançait et prenait le risque que ce soit le pire moment de leur vie, ou le meilleur… soit il ne se lançait pas et resterait encore avec une bague dans sa poche intérieure…

« Ah Donovan, pourquoi c’est pas plus simple ? Pourquoi on sait pas ce qu’elles veulent comme ça… on est certain de pas se louper. »

[S]

Le rire de Lorenzo se mêla à celui de Mark lorsqu’il parla de demande en mariage au bloc, alors que Lexie lui demandait si elle pouvait retirer la tumeur. Il imaginait bien la scène, Mark Sloan lui répondant alors « ça dépend, tu veux m’épouser ? ». Heureusement qu’il s’était retenu quand même.

Après que les deux titulaires aient repris leur sérieux, le plasticien avoua qu’il pataugeait complètement et avait peur de ne pas avoir d’idées. C’est vrai que Lorenzo s’était posé la même question un sacré moment après avoir acheté la bague. Avant d’acheter la bague, la plupart des hommes savaient exactement comment ils allaient faire leur demande. Mais une fois la bague dans la poche, c’était autre chose. On paniquait, on se disait que son idée était nulle et qu’on en trouverait jamais etc etc, Mark Sloan l’expérimentait bien en ce moment semblait-il. Avant même que l’italien n’ait pu ouvrir la bouche pour lui dire que c’était normal, le plasticien repris.

# Ah Donovan, pourquoi c’est pas plus simple ? Pourquoi on sait pas ce qu’elles veulent comme ça… on est certain de pas se louper.

Lorenzo eut alors de nouveau un petit rire bref. Ca c’était la question que se posaient tous les hommes et à laquelle personne n’avait encore su répondre. Passant rapidement sa main droite dans ses cheveux avant de la remettre dans sa poche, l’italien répondit à Mark :

- Ah les femmes. On ne les comprendra sans doute jamais. Mais après tout, est-ce qu’on veut vraiment les comprendre ? Si tout était aussi facile, est-ce qu’on les aimerait autant ?

C’est vrai qu’il avait souvent demandé à Lexie, ses sœurs ou même des amies féminines d’écrire un livre pour les hommes expliquant le comportement féminin. Mais en fait, c’était peut-être cette incompréhension qui faisait tout le charme des femmes. Mais bon, ce n’était pas tout à fait le sujet de leur conversation. Aussi, revenant sur Terre, Lorenzo regarda de nouveau Mark et repris :

- Ne vous prenez pas la tête Sloan. Lexie préférera sans aucun doute quelque chose de simple, qui vient du cœur et surtout qui vous ressemble que quelque chose de spectaculaire qui ne ressemble à aucun de vous deux…. Mais bon, après ce sont les conseils d’un divorcé donc peut-être pas les meilleurs.

Dit-il avec un petit sourire en commençant à se diriger vers la porte donnant sur le couloir.

[will]

Le rire de Lorenzo se mêla à celui de Mark lorsqu’il parla de demande en mariage au bloc, alors que Lexie lui demandait si elle pouvait retirer la tumeur. Il imaginait bien la scène, Mark Sloan lui répondant alors « ça dépend, tu veux m’épouser ? ». Heureusement qu’il s’était retenu quand même.

Après que les deux titulaires aient repris leur sérieux, le plasticien avoua qu’il pataugeait complètement et avait peur de ne pas avoir d’idées. C’est vrai que Lorenzo s’était posé la même question un sacré moment après avoir acheté la bague. Avant d’acheter la bague, la plupart des hommes savaient exactement comment ils allaient faire leur demande. Mais une fois la bague dans la poche, c’était autre chose. On paniquait, on se disait que son idée était nulle et qu’on en trouverait jamais etc etc, Mark Sloan l’expérimentait bien en ce moment semblait-il. Avant même que l’italien n’ait pu ouvrir la bouche pour lui dire que c’était normal, le plasticien repris.

# Ah Donovan, pourquoi c’est pas plus simple ? Pourquoi on sait pas ce qu’elles veulent comme ça… on est certain de pas se louper.

Lorenzo eut alors de nouveau un petit rire bref. Ca c’était la question que se posaient tous les hommes et à laquelle personne n’avait encore su répondre. Passant rapidement sa main droite dans ses cheveux avant de la remettre dans sa poche, l’italien répondit à Mark :

- Ah les femmes. On ne les comprendra sans doute jamais. Mais après tout, est-ce qu’on veut vraiment les comprendre ? Si tout était aussi facile, est-ce qu’on les aimerait autant ?

C’est vrai qu’il avait souvent demandé à Lexie, ses sœurs ou même des amies féminines d’écrire un livre pour les hommes expliquant le comportement féminin. Mais en fait, c’était peut-être cette incompréhension qui faisait tout le charme des femmes. Mais bon, ce n’était pas tout à fait le sujet de leur conversation. Aussi, revenant sur Terre, Lorenzo regarda de nouveau Mark et repris :

- Ne vous prenez pas la tête Sloan. Lexie préférera sans aucun doute quelque chose de simple, qui vient du cœur et surtout qui vous ressemble que quelque chose de spectaculaire qui ne ressemble à aucun de vous deux…. Mais bon, après ce sont les conseils d’un divorcé donc peut-être pas les meilleurs.

Dit-il avec un petit sourire en commençant à se diriger vers la porte donnant sur le couloir.

[B]

# Ah les femmes. On ne les comprendra sans doute jamais. Mais après tout, est-ce qu’on veut vraiment les comprendre ? Si tout était aussi facile, est-ce qu’on les aimerait autant ? Ne vous prenez pas la tête Sloan. Lexie préférera sans aucun doute quelque chose de simple, qui vient du cœur et surtout qui vous ressemble que quelque chose de spectaculaire qui ne ressemble à aucun de vous deux... Mais bon, après ce sont les conseils d’un divorcé donc peut-être pas les meilleurs.

Mark sourit et regarda Donovan se diriger vers la porte. Mark se rendit compte à quel point il connaissait mal le meilleur ami de la femme qui partageait sa vie. Lexie connaissait plutôt bien Callie, peut-être même plus qu’elle ne le souhaitait à l’époque où ils vivaient encore l’un en face de l’autre. Il se devait de remercier l’homme qui l’avait aidé.

« Hey Donovan ? On a encore un petit moment avant la soirée. Ca vous tente un verre ? Je vous en dois bien un après m’avoir aidé pendant cette crise de panique. »

Mark hocha la tête à la réponse du médecin et se leva tant bien que mal. Il n’avait aucune envie de voir sa tête dans un miroir, il ressemblait probablement à un mec qui venait de se prendre une grosse cuite : cheveux en bataille, à moitié débraillé. Mais il fallait bien repasser par la case toilette avant de retrouver Lexie et les autres collègues. Mais pour le moment, il avait besoin d’un remontant. Un verre lui ferait du bien, le détendrait un peu.

« On est bien d’accord, que… tout ca reste entre nous, hein ? La crise… la demande… Je suis plus grand et plus musclé que vous… si vous voyez ce que je veux dire… »

Mark souriait à l’intérieur. Il se doutait que Lorenzo Donovan ne dirait rien à personne sur ce qui venait de se passer, mais il voulait détendre l’atmosphère, parler moins sérieusement que les quinze dernières minutes.

Mark ouvrit la porte qui les mènerait au rez de chaussée.

« Et au fait… Merci. »

[S]

# Ah les femmes. On ne les comprendra sans doute jamais. Mais après tout, est-ce qu’on veut vraiment les comprendre ? Si tout était aussi facile, est-ce qu’on les aimerait autant ? Ne vous prenez pas la tête Sloan. Lexie préférera sans aucun doute quelque chose de simple, qui vient du cœur et surtout qui vous ressemble que quelque chose de spectaculaire qui ne ressemble à aucun de vous deux... Mais bon, après ce sont les conseils d’un divorcé donc peut-être pas les meilleurs.

Mark sourit et regarda Donovan se diriger vers la porte. Mark se rendit compte à quel point il connaissait mal le meilleur ami de la femme qui partageait sa vie. Lexie connaissait plutôt bien Callie, peut-être même plus qu’elle ne le souhaitait à l’époque où ils vivaient encore l’un en face de l’autre. Il se devait de remercier l’homme qui l’avait aidé.

« Hey Donovan ? On a encore un petit moment avant la soirée. Ca vous tente un verre ? Je vous en dois bien un après m’avoir aidé pendant cette crise de panique. »

Mark hocha la tête à la réponse du médecin et se leva tant bien que mal. Il n’avait aucune envie de voir sa tête dans un miroir, il ressemblait probablement à un mec qui venait de se prendre une grosse cuite : cheveux en bataille, à moitié débraillé. Mais il fallait bien repasser par la case toilette avant de retrouver Lexie et les autres collègues. Mais pour le moment, il avait besoin d’un remontant. Un verre lui ferait du bien, le détendrait un peu.

« On est bien d’accord, que… tout ca reste entre nous, hein ? La crise… la demande… Je suis plus grand et plus musclé que vous… si vous voyez ce que je veux dire… »

Mark souriait à l’intérieur. Il se doutait que Lorenzo Donovan ne dirait rien à personne sur ce qui venait de se passer, mais il voulait détendre l’atmosphère, parler moins sérieusement que les quinze dernières minutes.

Mark ouvrit la porte qui les mènerait au rez de chaussée.

« Et au fait… Merci. »

[Mc]

# Ah les femmes. On ne les comprendra sans doute jamais. Mais après tout, est-ce qu’on veut vraiment les comprendre ? Si tout était aussi facile, est-ce qu’on les aimerait autant ? Ne vous prenez pas la tête Sloan. Lexie préférera sans aucun doute quelque chose de simple, qui vient du cœur et surtout qui vous ressemble que quelque chose de spectaculaire qui ne ressemble à aucun de vous deux... Mais bon, après ce sont les conseils d’un divorcé donc peut-être pas les meilleurs.

Mark sourit et regarda Donovan se diriger vers la porte. Mark se rendit compte à quel point il connaissait mal le meilleur ami de la femme qui partageait sa vie. Lexie connaissait plutôt bien Callie, peut-être même plus qu’elle ne le souhaitait à l’époque où ils vivaient encore l’un en face de l’autre. Il se devait de remercier l’homme qui l’avait aidé.

« Hey Donovan ? On a encore un petit moment avant la soirée. Ca vous tente un verre ? Je vous en dois bien un après m’avoir aidé pendant cette crise de panique. »

Mark hocha la tête à la réponse du médecin et se leva tant bien que mal. Il n’avait aucune envie de voir sa tête dans un miroir, il ressemblait probablement à un mec qui venait de se prendre une grosse cuite : cheveux en bataille, à moitié débraillé. Mais il fallait bien repasser par la case toilette avant de retrouver Lexie et les autres collègues. Mais pour le moment, il avait besoin d’un remontant. Un verre lui ferait du bien, le détendrait un peu.

« On est bien d’accord, que… tout ca reste entre nous, hein ? La crise… la demande… Je suis plus grand et plus musclé que vous… si vous voyez ce que je veux dire… »

Mark souriait à l’intérieur. Il se doutait que Lorenzo Donovan ne dirait rien à personne sur ce qui venait de se passer, mais il voulait détendre l’atmosphère, parler moins sérieusement que les quinze dernières minutes.

Mark ouvrit la porte qui les mènerait au rez de chaussée.

« Et au fait… Merci. »

[S]

# Ah les femmes. On ne les comprendra sans doute jamais. Mais après tout, est-ce qu’on veut vraiment les comprendre ? Si tout était aussi facile, est-ce qu’on les aimerait autant ? Ne vous prenez pas la tête Sloan. Lexie préférera sans aucun doute quelque chose de simple, qui vient du cœur et surtout qui vous ressemble que quelque chose de spectaculaire qui ne ressemble à aucun de vous deux... Mais bon, après ce sont les conseils d’un divorcé donc peut-être pas les meilleurs.

Mark sourit et regarda Donovan se diriger vers la porte. Mark se rendit compte à quel point il connaissait mal le meilleur ami de la femme qui partageait sa vie. Lexie connaissait plutôt bien Callie, peut-être même plus qu’elle ne le souhaitait à l’époque où ils vivaient encore l’un en face de l’autre. Il se devait de remercier l’homme qui l’avait aidé.

« Hey Donovan ? On a encore un petit moment avant la soirée. Ca vous tente un verre ? Je vous en dois bien un après m’avoir aidé pendant cette crise de panique. »

Mark hocha la tête à la réponse du médecin et se leva tant bien que mal. Il n’avait aucune envie de voir sa tête dans un miroir, il ressemblait probablement à un mec qui venait de se prendre une grosse cuite : cheveux en bataille, à moitié débraillé. Mais il fallait bien repasser par la case toilette avant de retrouver Lexie et les autres collègues. Mais pour le moment, il avait besoin d’un remontant. Un verre lui ferait du bien, le détendrait un peu.

« On est bien d’accord, que… tout ca reste entre nous, hein ? La crise… la demande… Je suis plus grand et plus musclé que vous… si vous voyez ce que je veux dire… »

Mark souriait à l’intérieur. Il se doutait que Lorenzo Donovan ne dirait rien à personne sur ce qui venait de se passer, mais il voulait détendre l’atmosphère, parler moins sérieusement que les quinze dernières minutes.

Mark ouvrit la porte qui les mènerait au rez de chaussée.

« Et au fait… Merci. »

[S]

# Hey Donovan ? On a encore un petit moment avant la soirée. Ca vous tente un verre ? Je vous en dois bien un après m’avoir aidé pendant cette crise de panique.

La voix du plasticien s’éleva dans les escaliers au moment où Lorenzo s’apprêtait à poser la main sur la poignée de la porte. C’est vrai que les deux hommes ne se connaissaient pas vraiment alors qu’ils étaient tout de même le futur fiancé et le meilleur ami de Lexie. Cette petite crise de panique que l’italien venait de surprendre avait sans doute brisé un peu la glace entre eux mais ce verre serait sans doute un moment de faire un peu plus connaissance. Le grand brun se retourna donc en affichant un petit sourire en coin avant de répondre :

- Pourquoi pas. Mais un seul par contre, j’ai encore de la paperasse à finir et j’aimerais m’en débarrasser avant le début de la soirée.

Mark commença alors se relever alors que l’italien pensait qu’il devrait peut-être faire un tour aux vestiaires ou aux toilettes avant la soirée pour s’arranger un peu. Là, il avait plutôt l’air d’un homme qui avait déjà un peu trop bu que d’un homme s’apprêtant à faire une demande en mariage. Oui, un verre le détendrait sans doute et après, tout se passerait bien. Lorenzo n’aurait pas parié un cents que Lexie refuse la demande de son homme.

# On est bien d’accord, que… tout ca reste entre nous, hein ? La crise… la demande… Je suis plus grand et plus musclé que vous… si vous voyez ce que je veux dire…

Lorenzo rigola légèrement à cette remarque. Il n’était pas du genre à se précipiter vers Lexie et à tout lui balancer. Il n’avait plus 5 ans. D’ailleurs, c’est avec le même ton amusé que le plasticien qu’il lui répondit aussitôt :

- Une crise ? Quelle crise ? Et pourquoi vous me parlez de demande ? Je ne vois pas ce que vous cherchez à me dire. Bien sûr Sloan que tout ça reste entre nous. Considérez que j’ai déjà oublié notre conversation. Et je crois bien que je suis plus grand que vous en fait.

Lança-t-il en rigolant. Si Lorenzo était vraiment plus grand que le plasticien, cela ne devait pas être de beaucoup. Les deux hommes étaient à peu près du même gabarit et il n’aurait pas été simple de déterminer le plus grand des deux sans les mesurer avec un mètre. Peut-être même qu’ils faisaient la même taille en fait… Mais bon, ceci est une autre histoire.

Alors que Sloan ouvrit la porte les menant au rez-de-chaussée, l’italien l’entendit le remercier. Le remercier de quoi ? Il n’avait rien fait de particulier. Même s’ils ne se connaissaient pas vraiment, il n’allait quand même pas laisser l’homme qui partageait la vie de Lexillence en proie à la panique et patauger dans sa demande en mariage.

- Pas de quoi Sloan, c’est normal… Bon, on va le boire ce verre ?

Conclut-il avec un sourire en sortant déjà dans le couloir. Décidemment, la soirée risquait d’être riche en émotion pour les deux hommes.

[will]

# Hey Donovan ? On a encore un petit moment avant la soirée. Ca vous tente un verre ? Je vous en dois bien un après m’avoir aidé pendant cette crise de panique.

La voix du plasticien s’éleva dans les escaliers au moment où Lorenzo s’apprêtait à poser la main sur la poignée de la porte. C’est vrai que les deux hommes ne se connaissaient pas vraiment alors qu’ils étaient tout de même le futur fiancé et le meilleur ami de Lexie. Cette petite crise de panique que l’italien venait de surprendre avait sans doute brisé un peu la glace entre eux mais ce verre serait sans doute un moment de faire un peu plus connaissance. Le grand brun se retourna donc en affichant un petit sourire en coin avant de répondre :

- Pourquoi pas. Mais un seul par contre, j’ai encore de la paperasse à finir et j’aimerais m’en débarrasser avant le début de la soirée.

Mark commença alors se relever alors que l’italien pensait qu’il devrait peut-être faire un tour aux vestiaires ou aux toilettes avant la soirée pour s’arranger un peu. Là, il avait plutôt l’air d’un homme qui avait déjà un peu trop bu que d’un homme s’apprêtant à faire une demande en mariage. Oui, un verre le détendrait sans doute et après, tout se passerait bien. Lorenzo n’aurait pas parié un cents que Lexie refuse la demande de son homme.

# On est bien d’accord, que… tout ca reste entre nous, hein ? La crise… la demande… Je suis plus grand et plus musclé que vous… si vous voyez ce que je veux dire…

Lorenzo rigola légèrement à cette remarque. Il n’était pas du genre à se précipiter vers Lexie et à tout lui balancer. Il n’avait plus 5 ans. D’ailleurs, c’est avec le même ton amusé que le plasticien qu’il lui répondit aussitôt :

- Une crise ? Quelle crise ? Et pourquoi vous me parlez de demande ? Je ne vois pas ce que vous cherchez à me dire. Bien sûr Sloan que tout ça reste entre nous. Considérez que j’ai déjà oublié notre conversation. Et je crois bien que je suis plus grand que vous en fait.

Lança-t-il en rigolant. Si Lorenzo était vraiment plus grand que le plasticien, cela ne devait pas être de beaucoup. Les deux hommes étaient à peu près du même gabarit et il n’aurait pas été simple de déterminer le plus grand des deux sans les mesurer avec un mètre. Peut-être même qu’ils faisaient la même taille en fait… Mais bon, ceci est une autre histoire.

Alors que Sloan ouvrit la porte les menant au rez-de-chaussée, l’italien l’entendit le remercier. Le remercier de quoi ? Il n’avait rien fait de particulier. Même s’ils ne se connaissaient pas vraiment, il n’allait quand même pas laisser l’homme qui partageait la vie de Lexillence en proie à la panique et patauger dans sa demande en mariage.

- Pas de quoi Sloan, c’est normal… Bon, on va le boire ce verre ?

Conclut-il avec un sourire en sortant déjà dans le couloir. Décidemment, la soirée risquait d’être riche en émotion pour les deux hommes.