Breathe RPG

[Grey's]

Mark & Lexie en apesanteur*

*pourvu qu’on soit les seuls, dans cet ascenseur.

Humhmmmmm. Lexie fredonnait cette chanson qu’elle avait eu en tête depuis son départ de la salle des résidents. Elle aimait allumer son mp3 pendant qu’elle se changeait, remplissant un peu de bruit son quotidien matinal et silencieux. Cela lui permettait de penser à autre chose après les opérations et visites pas évidentes qui s’enchainaient, et de plus, cela lui permettait surtout de ne pas s’endormir complètement.

Et voilà une dure journée de travail qui s’achevait. Enfin, une nuit plutôt. Le jour se levait, mais pour Lexie, cela voulait surtout dire qu’elle allait pouvoir dormir, prendre une douche, et paresser pendant une journée ensoleillée. Elle était de garde la nuit en ce moment, suite à l’arrivée d’un nouveau patient deux jours plutôt. L’hôpital n’en était que plus désert ; et la jeune brune ne s’y faisait toujours pas. Elle voyait moins ses collègues, mais suprême désespoir, elle voyait moins Mark. Ils ne vivaient pas ensemble, et elle osait l’avouer –il lui manquait. Un peu. Terriblement.

Lexie entra dans l’ascenseur. Elle hésita avant d’appuyer sur le bouton du hall pour faire descendre l’ascenseur. Elle ressortit, décidée à laisser une note dans le casier de Mark, lui proposant…. Hé, lui proposant quoi ? Lexie soupira de sa bêtise, que pouvait-elle lui proposer vraiment ? Un verre ? hum, ils savaient tous les deux qu’ils ne s’en tenaient jamais là, et puis aux vues de leur relation, ça ne servait pas à grand-chose. Bon… un dîner ? Pourquoi pas, mais si elle devait compter sur Mark pour cuisiner…. Lexie s’interrompit dans ses pensées, inclinant la tête. Elle n’avait jamais vu Mark cuisiner en fait. Hum… à envisager donc. Mais tant que Meredith et Derek étaient à la maison, le terrain était moins évident. Ce que Little Grey souhaitait vraiment, c’était de ‘pour une fois’ se retrouver juste avec le dr Sloan, sans la voisine envahissante que pouvait être Callie, et sans le regard poule et attentionné de sa sœur ou le regard protecteur (et parfois désapprobateur envers Mark) de Derek. Lexie avait l’impression de devoir se battre pour être avec son ami, et ça commençait à être fatiguant. Sans parler de toutes les conquêtes de Mark, bien sûr. Faire sa place auprès de ce coureur de jupons n’avait pas été chose aisée, mais le résultat… et bien le résultat en valait vraiment la chandelle. Mark était parfait, attentionné, doux, peut-être un peu sur-protecteur – sûrement du fait de leur différence d’âge, mais quoi ! Personne n’est parfait.
Lexie fit marche arrière, elle allait plutôt laisser un message à Mark sur son téléphone, lui demandant à ce qu’il la rappelle. Il ne commençait sûrement que plus tard, et si elle trainait suffisamment, elle arriverait peut-être à l’apercevoir. Les portes coulissèrent devant elle. La jeune résidente remonta son sac sur son épaule et laissa son regard perdu dans les airs.

Le ‘bip’ d’arrivée à un étage inférieur retentit, et les portes s’ouvrirent sur le palier.
Pas encore mon étage, soupira Lexie. Et machinalement, (machinalement car il n’y avait personne à cette heure ci dans l’hôpital), elle se décala pour laisser entrer la personne.

[B]

Et voilà une nouvelle journée commençait… Mark s’était réveillé plus tôt que prévu ce matin. Avant même la sonnerie du réveil… Il s’était préparé et avait mangé un bol de céréales rapidement avant de quitter l’appartement. Il ne lui fallait pas plus de dix minutes pour arriver à l’hôpital habitant chez Callie. Une chose était sure, c’était mieux que l’hôtel, mais d’un coté, il aurait aimé que Lexie puisse venir plus souvent. Il la sentait mal à l’aise de venir et spécialement si Callie n’était pas de garde… Et il n’était pas à l’aise non plus à l’idée d’aller chez Meredith et Derek, même si tous les deux commençaient à accepter la situation, Mark sentait toujours le regard désapprobateur de Derek.
La solution aurait été de prendre un appartement ensemble… et pour le moment, l’idée d’en parler avec elle l’effrayait. Probablement parce qu’il redoutait son refus, et qu’elle n’était pas prête à franchir cette étape.
Plus tard, se dit-il. Il venait de trouver la femme qu'il aimait réellement. Alors ils prendraient leur temps, parce qu'il l'aimait et qu'il ne voulait pas la perdre.

En arrivant, il alla à l’étage des salles de réveil, pour prendre des nouvelles de son patient de la veille. Il se demandait si Lexie était encore à l’hôpital, cela faisait deux jours qu’ils ne s’étaient pas vu, elle travaillant de nuit, lui de jour. Il quitta la salle de réveil en vérifiant l’heure à sa montre. Il commençait dans trente minutes. Il marcha jusqu’à l’ascenseur. Il pressa le bouton pour monter. L’ascenseur se trouvait au dernier étage comme l’indiquait le numéro au dessus des portes. Il commença à descendre.

Il décida d’aller vérifier si Lexie était encore de garde ce soir avant d’aller se changer, il espérait qu’elle soit de repos pour pouvoir la voir. Ils pourraient aller manger dehors… ou commander chinois, Callie, elle, n’était pas là ce soir et après deux jours sans voir sa petite amie, il trouverait un moyen de la voir et passer, ne serait-ce que quelques heures, avec elle.
Elle me manque… pensa-t-il.

Il leva les yeux vers le numéro de l’étage auquel se trouvait maintenant l’ascenseur. Il semblait s'éterniser à l’étage au dessus… Il soupira prêt à prendre les escaliers quand le numéro changea. Les portes s’ouvrirent et il remarqua une personne se décalant sur la droite pour le laisser passer. Il entra et sourit. Il se glissa à coté d'elle, un sourire malicieux sur les lèvres.

- J'aime cet ascenseur. dit-il simplement.

[S]

Et voilà une nouvelle journée commençait… Mark s’était réveillé plus tôt que prévu ce matin. Avant même la sonnerie du réveil… Il s’était préparé et avait mangé un bol de céréales rapidement avant de quitter l’appartement. Il ne lui fallait pas plus de dix minutes pour arriver à l’hôpital habitant chez Callie. Une chose était sure, c’était mieux que l’hôtel, mais d’un coté, il aurait aimé que Lexie puisse venir plus souvent. Il la sentait mal à l’aise de venir et spécialement si Callie n’était pas de garde… Et il n’était pas à l’aise non plus à l’idée d’aller chez Meredith et Derek, même si tous les deux commençaient à accepter la situation, Mark sentait toujours le regard désapprobateur de Derek.
La solution aurait été de prendre un appartement ensemble… et pour le moment, l’idée d’en parler avec elle l’effrayait. Probablement parce qu’il redoutait son refus, et qu’elle n’était pas prête à franchir cette étape.
Plus tard, se dit-il. Il venait de trouver la femme qu'il aimait réellement. Alors ils prendraient leur temps, parce qu'il l'aimait et qu'il ne voulait pas la perdre.

En arrivant, il alla à l’étage des salles de réveil, pour prendre des nouvelles de son patient de la veille. Il se demandait si Lexie était encore à l’hôpital, cela faisait deux jours qu’ils ne s’étaient pas vu, elle travaillant de nuit, lui de jour. Il quitta la salle de réveil en vérifiant l’heure à sa montre. Il commençait dans trente minutes. Il marcha jusqu’à l’ascenseur. Il pressa le bouton pour monter. L’ascenseur se trouvait au dernier étage comme l’indiquait le numéro au dessus des portes. Il commença à descendre.

Il décida d’aller vérifier si Lexie était encore de garde ce soir avant d’aller se changer, il espérait qu’elle soit de repos pour pouvoir la voir. Ils pourraient aller manger dehors… ou commander chinois, Callie, elle, n’était pas là ce soir et après deux jours sans voir sa petite amie, il trouverait un moyen de la voir et passer, ne serait-ce que quelques heures, avec elle.
Elle me manque… pensa-t-il.

Il leva les yeux vers le numéro de l’étage auquel se trouvait maintenant l’ascenseur. Il semblait s'éterniser à l’étage au dessus… Il soupira prêt à prendre les escaliers quand le numéro changea. Les portes s’ouvrirent et il remarqua une personne se décalant sur la droite pour le laisser passer. Il entra et sourit. Il se glissa à coté d'elle, un sourire malicieux sur les lèvres.

- J'aime cet ascenseur. dit-il simplement.

[Mc]

Et voilà une nouvelle journée commençait… Mark s’était réveillé plus tôt que prévu ce matin. Avant même la sonnerie du réveil… Il s’était préparé et avait mangé un bol de céréales rapidement avant de quitter l’appartement. Il ne lui fallait pas plus de dix minutes pour arriver à l’hôpital habitant chez Callie. Une chose était sure, c’était mieux que l’hôtel, mais d’un coté, il aurait aimé que Lexie puisse venir plus souvent. Il la sentait mal à l’aise de venir et spécialement si Callie n’était pas de garde… Et il n’était pas à l’aise non plus à l’idée d’aller chez Meredith et Derek, même si tous les deux commençaient à accepter la situation, Mark sentait toujours le regard désapprobateur de Derek.
La solution aurait été de prendre un appartement ensemble… et pour le moment, l’idée d’en parler avec elle l’effrayait. Probablement parce qu’il redoutait son refus, et qu’elle n’était pas prête à franchir cette étape.
Plus tard, se dit-il. Il venait de trouver la femme qu'il aimait réellement. Alors ils prendraient leur temps, parce qu'il l'aimait et qu'il ne voulait pas la perdre.

En arrivant, il alla à l’étage des salles de réveil, pour prendre des nouvelles de son patient de la veille. Il se demandait si Lexie était encore à l’hôpital, cela faisait deux jours qu’ils ne s’étaient pas vu, elle travaillant de nuit, lui de jour. Il quitta la salle de réveil en vérifiant l’heure à sa montre. Il commençait dans trente minutes. Il marcha jusqu’à l’ascenseur. Il pressa le bouton pour monter. L’ascenseur se trouvait au dernier étage comme l’indiquait le numéro au dessus des portes. Il commença à descendre.

Il décida d’aller vérifier si Lexie était encore de garde ce soir avant d’aller se changer, il espérait qu’elle soit de repos pour pouvoir la voir. Ils pourraient aller manger dehors… ou commander chinois, Callie, elle, n’était pas là ce soir et après deux jours sans voir sa petite amie, il trouverait un moyen de la voir et passer, ne serait-ce que quelques heures, avec elle.
Elle me manque… pensa-t-il.

Il leva les yeux vers le numéro de l’étage auquel se trouvait maintenant l’ascenseur. Il semblait s'éterniser à l’étage au dessus… Il soupira prêt à prendre les escaliers quand le numéro changea. Les portes s’ouvrirent et il remarqua une personne se décalant sur la droite pour le laisser passer. Il entra et sourit. Il se glissa à coté d'elle, un sourire malicieux sur les lèvres.

- J'aime cet ascenseur. dit-il simplement.

[S]

Et voilà une nouvelle journée commençait… Mark s’était réveillé plus tôt que prévu ce matin. Avant même la sonnerie du réveil… Il s’était préparé et avait mangé un bol de céréales rapidement avant de quitter l’appartement. Il ne lui fallait pas plus de dix minutes pour arriver à l’hôpital habitant chez Callie. Une chose était sure, c’était mieux que l’hôtel, mais d’un coté, il aurait aimé que Lexie puisse venir plus souvent. Il la sentait mal à l’aise de venir et spécialement si Callie n’était pas de garde… Et il n’était pas à l’aise non plus à l’idée d’aller chez Meredith et Derek, même si tous les deux commençaient à accepter la situation, Mark sentait toujours le regard désapprobateur de Derek.
La solution aurait été de prendre un appartement ensemble… et pour le moment, l’idée d’en parler avec elle l’effrayait. Probablement parce qu’il redoutait son refus, et qu’elle n’était pas prête à franchir cette étape.
Plus tard, se dit-il. Il venait de trouver la femme qu'il aimait réellement. Alors ils prendraient leur temps, parce qu'il l'aimait et qu'il ne voulait pas la perdre.

En arrivant, il alla à l’étage des salles de réveil, pour prendre des nouvelles de son patient de la veille. Il se demandait si Lexie était encore à l’hôpital, cela faisait deux jours qu’ils ne s’étaient pas vu, elle travaillant de nuit, lui de jour. Il quitta la salle de réveil en vérifiant l’heure à sa montre. Il commençait dans trente minutes. Il marcha jusqu’à l’ascenseur. Il pressa le bouton pour monter. L’ascenseur se trouvait au dernier étage comme l’indiquait le numéro au dessus des portes. Il commença à descendre.

Il décida d’aller vérifier si Lexie était encore de garde ce soir avant d’aller se changer, il espérait qu’elle soit de repos pour pouvoir la voir. Ils pourraient aller manger dehors… ou commander chinois, Callie, elle, n’était pas là ce soir et après deux jours sans voir sa petite amie, il trouverait un moyen de la voir et passer, ne serait-ce que quelques heures, avec elle.
Elle me manque… pensa-t-il.

Il leva les yeux vers le numéro de l’étage auquel se trouvait maintenant l’ascenseur. Il semblait s'éterniser à l’étage au dessus… Il soupira prêt à prendre les escaliers quand le numéro changea. Les portes s’ouvrirent et il remarqua une personne se décalant sur la droite pour le laisser passer. Il entra et sourit. Il se glissa à coté d'elle, un sourire malicieux sur les lèvres.

- J'aime cet ascenseur. dit-il simplement.

[Grey's]

Lexie releva la tête, et suivit du regard l’homme qui entrait paisiblement, se retenant de rire. La joie la submergeait, le ventre plein de papillons, elle avait quoi, quatorze ans tout rond. Une vraie collégienne face au garçon le plus craquant de sa classe. Qui était son amoureux, by the way.

# J'aime cet ascenseur.

Il aimait cet ascenseur… toujours une façon de faire une pirouette et de se protéger il aimait… autre chose dans cet ascenseur. Houp là ma fille, tu t’emballes. Si un homme n’a pas dit les trois mots magiques, c’est qu’il n’est pas prêt, à le presser tu le ferais reculer.

Lexie se mordit la lèvre. Sa discrétion à lui la força elle à se retenir, alors qu'elle aurait voulu l'assaillir de mille questions, de milles attentions, de mille propositions, mille phrases. Elle n'était plus du tout endormie, et risquait de ne pas dormir avant un bon moment, tellement elle avait envie de sautiller sur place. Elle se retint donc, et joua la carte de l'indifférence feinte.

Immobile, les yeux droits devant elle, elle laissa les portes se refermer et l’ascenseur descendre. Elle appuya sur plusieurs boutons, histoire de faire durer le trajet qui commençait, comme un enfant de 4 ans qui appuierait partout 'pour voir'.

Cette simple arrivée qu’elle n’avait osé espérer la faisait planer. A croire que l’ascenseur donnait des ailes.
Elle n’avait qu’une envie, se jeter sur lui et l’embrasse fougueusement. Avec Mark, trop n’était jamais vraiment assez. Plutôt que de se lancer à corps perdu, elle opta pour la malice. Elle s’avança vers la tablette numérique qui contrôlait l’arrêt aux étages demandés, et tira le bouton « stop » vers elle, mettant ainsi un terme à la descente entre deux étages, juste avant le hall d’entrée où elle devait sortir.

Une fois son « méfait » accompli, elle se tourna sourcil relevé vers Mark et lui dit goguenarde : .

« ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vus, hein. Beaucoup de choses à faire, dernièrement ? »
Elle sourit, malicieuse et faussement innocente. Tout était question de jeu, et avoir Mark en partenaire était un pur plaisir.

[B]

L’ascenseur… le lieu des rencontres à l’hôpital. On y croise les gens que l’on apprécie, les personnes que l’on veut éviter. Quand on croise une personne qu’on évite, le voyage devient vite gênant… Et quand on croise une personne proche, parfois on ne dit rien, car une infirmière pas très discrète ou un médecin respecté peut entrer à tout moment...

Il avait pensé à elle et voilà. Elle était là. Elle rentrait probablement chez elle maintenant. 5 minutes.
C’est toujours bon à prendre, pensa-t-il.
Il jeta un coup d’œil sur le coté. Elle avait l’air épuisée mais quelque chose émanait d’elle… Et il ne saurait comment le décrire... Elle avait le regard fixe et quand les portes de l’ascenseur se refermèrent, elle appuya sur les boutons des étages telle une enfant.
Oui elle était jeune. Il s’était posé mainte et mainte fois cette question.
Ne suis-je pas trop vieux pour elle ?
Mais il semblait qu’ils avaient tous deux répondu à cette question depuis le temps qu’ils étaient ensemble et ils se fichaient pas mal de ce que les autres pouvaient penser de leur différence d’âge. Il était plus de vieux de treize ans… cela pouvait être positif comme négatif. Il aimait la protéger, prendre soin d’elle. Peut-être n’aimait-elle pas çà…

Pris dans ses pensées, il ne remarqua pas le geste de la jeune femme et comprit qu’elle venait de bloquer l’ascenseur tirant sur le bouton d’urgence.

# ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vus, hein. Beaucoup de choses à faire, dernièrement ?

Le ton moqueur qu’elle avait pris le fit sourire.
Sa voix, douce et apaisante… il aimait l’écouter parler. Il aimait particulièrement quand elle commençait et qu’elle ne pouvait plus s’arrêter, elle était amusante et sa voix un peu ensorcelante. Il aimait aussi la faire taire par un baiser. Son sourire se fit plus grand et plus malicieux.

« Oh tu sais… le train-train quotidien… gardes de jour, consultations… des maitresses par ci, par là… je dois m’occuper parce que… ma petite amie prend des gardes de nuit, comme si elle m’évitait… »

Il espérait la faire réagir, qu’elle continue le jeu qui venait de commencer entre eux. Il prenait sur lui. Deux jours… deux jours qui avaient semblé une éternité. Oui, il prenait sur lui… être à quelques centimètres d’elle, penser qu’il n’avait qu’à tendre la main pour prendre la sienne, la toucher, lui voler un baiser passionné avant de retourner à la réalité…

[S]

L’ascenseur… le lieu des rencontres à l’hôpital. On y croise les gens que l’on apprécie, les personnes que l’on veut éviter. Quand on croise une personne qu’on évite, le voyage devient vite gênant… Et quand on croise une personne proche, parfois on ne dit rien, car une infirmière pas très discrète ou un médecin respecté peut entrer à tout moment...

Il avait pensé à elle et voilà. Elle était là. Elle rentrait probablement chez elle maintenant. 5 minutes.
C’est toujours bon à prendre, pensa-t-il.
Il jeta un coup d’œil sur le coté. Elle avait l’air épuisée mais quelque chose émanait d’elle… Et il ne saurait comment le décrire... Elle avait le regard fixe et quand les portes de l’ascenseur se refermèrent, elle appuya sur les boutons des étages telle une enfant.
Oui elle était jeune. Il s’était posé mainte et mainte fois cette question.
Ne suis-je pas trop vieux pour elle ?
Mais il semblait qu’ils avaient tous deux répondu à cette question depuis le temps qu’ils étaient ensemble et ils se fichaient pas mal de ce que les autres pouvaient penser de leur différence d’âge. Il était plus de vieux de treize ans… cela pouvait être positif comme négatif. Il aimait la protéger, prendre soin d’elle. Peut-être n’aimait-elle pas çà…

Pris dans ses pensées, il ne remarqua pas le geste de la jeune femme et comprit qu’elle venait de bloquer l’ascenseur tirant sur le bouton d’urgence.

# ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vus, hein. Beaucoup de choses à faire, dernièrement ?

Le ton moqueur qu’elle avait pris le fit sourire.
Sa voix, douce et apaisante… il aimait l’écouter parler. Il aimait particulièrement quand elle commençait et qu’elle ne pouvait plus s’arrêter, elle était amusante et sa voix un peu ensorcelante. Il aimait aussi la faire taire par un baiser. Son sourire se fit plus grand et plus malicieux.

« Oh tu sais… le train-train quotidien… gardes de jour, consultations… des maitresses par ci, par là… je dois m’occuper parce que… ma petite amie prend des gardes de nuit, comme si elle m’évitait… »

Il espérait la faire réagir, qu’elle continue le jeu qui venait de commencer entre eux. Il prenait sur lui. Deux jours… deux jours qui avaient semblé une éternité. Oui, il prenait sur lui… être à quelques centimètres d’elle, penser qu’il n’avait qu’à tendre la main pour prendre la sienne, la toucher, lui voler un baiser passionné avant de retourner à la réalité…

[Mc]

L’ascenseur… le lieu des rencontres à l’hôpital. On y croise les gens que l’on apprécie, les personnes que l’on veut éviter. Quand on croise une personne qu’on évite, le voyage devient vite gênant… Et quand on croise une personne proche, parfois on ne dit rien, car une infirmière pas très discrète ou un médecin respecté peut entrer à tout moment...

Il avait pensé à elle et voilà. Elle était là. Elle rentrait probablement chez elle maintenant. 5 minutes.
C’est toujours bon à prendre, pensa-t-il.
Il jeta un coup d’œil sur le coté. Elle avait l’air épuisée mais quelque chose émanait d’elle… Et il ne saurait comment le décrire... Elle avait le regard fixe et quand les portes de l’ascenseur se refermèrent, elle appuya sur les boutons des étages telle une enfant.
Oui elle était jeune. Il s’était posé mainte et mainte fois cette question.
Ne suis-je pas trop vieux pour elle ?
Mais il semblait qu’ils avaient tous deux répondu à cette question depuis le temps qu’ils étaient ensemble et ils se fichaient pas mal de ce que les autres pouvaient penser de leur différence d’âge. Il était plus de vieux de treize ans… cela pouvait être positif comme négatif. Il aimait la protéger, prendre soin d’elle. Peut-être n’aimait-elle pas çà…

Pris dans ses pensées, il ne remarqua pas le geste de la jeune femme et comprit qu’elle venait de bloquer l’ascenseur tirant sur le bouton d’urgence.

# ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vus, hein. Beaucoup de choses à faire, dernièrement ?

Le ton moqueur qu’elle avait pris le fit sourire.
Sa voix, douce et apaisante… il aimait l’écouter parler. Il aimait particulièrement quand elle commençait et qu’elle ne pouvait plus s’arrêter, elle était amusante et sa voix un peu ensorcelante. Il aimait aussi la faire taire par un baiser. Son sourire se fit plus grand et plus malicieux.

« Oh tu sais… le train-train quotidien… gardes de jour, consultations… des maitresses par ci, par là… je dois m’occuper parce que… ma petite amie prend des gardes de nuit, comme si elle m’évitait… »

Il espérait la faire réagir, qu’elle continue le jeu qui venait de commencer entre eux. Il prenait sur lui. Deux jours… deux jours qui avaient semblé une éternité. Oui, il prenait sur lui… être à quelques centimètres d’elle, penser qu’il n’avait qu’à tendre la main pour prendre la sienne, la toucher, lui voler un baiser passionné avant de retourner à la réalité…

[S]

L’ascenseur… le lieu des rencontres à l’hôpital. On y croise les gens que l’on apprécie, les personnes que l’on veut éviter. Quand on croise une personne qu’on évite, le voyage devient vite gênant… Et quand on croise une personne proche, parfois on ne dit rien, car une infirmière pas très discrète ou un médecin respecté peut entrer à tout moment...

Il avait pensé à elle et voilà. Elle était là. Elle rentrait probablement chez elle maintenant. 5 minutes.
C’est toujours bon à prendre, pensa-t-il.
Il jeta un coup d’œil sur le coté. Elle avait l’air épuisée mais quelque chose émanait d’elle… Et il ne saurait comment le décrire... Elle avait le regard fixe et quand les portes de l’ascenseur se refermèrent, elle appuya sur les boutons des étages telle une enfant.
Oui elle était jeune. Il s’était posé mainte et mainte fois cette question.
Ne suis-je pas trop vieux pour elle ?
Mais il semblait qu’ils avaient tous deux répondu à cette question depuis le temps qu’ils étaient ensemble et ils se fichaient pas mal de ce que les autres pouvaient penser de leur différence d’âge. Il était plus de vieux de treize ans… cela pouvait être positif comme négatif. Il aimait la protéger, prendre soin d’elle. Peut-être n’aimait-elle pas çà…

Pris dans ses pensées, il ne remarqua pas le geste de la jeune femme et comprit qu’elle venait de bloquer l’ascenseur tirant sur le bouton d’urgence.

# ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vus, hein. Beaucoup de choses à faire, dernièrement ?

Le ton moqueur qu’elle avait pris le fit sourire.
Sa voix, douce et apaisante… il aimait l’écouter parler. Il aimait particulièrement quand elle commençait et qu’elle ne pouvait plus s’arrêter, elle était amusante et sa voix un peu ensorcelante. Il aimait aussi la faire taire par un baiser. Son sourire se fit plus grand et plus malicieux.

« Oh tu sais… le train-train quotidien… gardes de jour, consultations… des maitresses par ci, par là… je dois m’occuper parce que… ma petite amie prend des gardes de nuit, comme si elle m’évitait… »

Il espérait la faire réagir, qu’elle continue le jeu qui venait de commencer entre eux. Il prenait sur lui. Deux jours… deux jours qui avaient semblé une éternité. Oui, il prenait sur lui… être à quelques centimètres d’elle, penser qu’il n’avait qu’à tendre la main pour prendre la sienne, la toucher, lui voler un baiser passionné avant de retourner à la réalité…

[Grey's]

Les mains sur les hanches, Lexie avait lancé sa phrase et le regardait, sourcil toujours relevé.

# Oh tu sais… le train-train quotidien… gardes de jour, consultations… des maitresses par ci, par là…

Lexie leva les yeux au ciel. Ce coureur gardait ses habitudes d’essayer de la rendre jalouse. Lorsqu’ils avaient commencé leur relation, cette forme d’humour ne lui plaisait qu’à moitié, sachant que l’hôpital était en effet rempli d’anciennes maitresses, et que les sourires gênés ça va bien cinq minutes. Elle leva donc les yeux au ciel, mais de manière amusée tout de même, en souriant, car elle voyait bien les changements qui s’étaient opérés en Mark, Meredith et Derek lui en avaient fait part un soir où ils étaient tous les trois. Lexie savait que Mark ne la tromperait pas, elle savait qu’il ne lui mentirait pas, qu’il serait là pour elle. Elle s’en rendit compte quand Mark lança cette phrase, qui aurait pu faire l’effet d’un pavé lancé dans la mare. Elle aurait pu ne pas l’apprécier, être fâchée qu’il évoque cela quand la réalité rejoignait quelque peu pour le coup sa plaisanterie. Lexie comprit ce revirement dans son attitude : elle avait confiance en Mark. Une absolue confiance que rien ne pourrait ébranler. Bon, si peut être quelque chose de tellement énorme qu’on se demanderait si les scénaristes de la vie n’auraient pas pété leurs câbles ; mais là, rien n’entachait son bonheur. Lexie avait confiance en Mark. A peu de choses près et la jeune femme était sur le point de dire les trois mots qui font basculer une relation, de ‘petit copain’ à ‘homme de sa vie’.

# je dois m’occuper parce que… ma petite amie prend des gardes de nuit, comme si elle m’évitait…

Lexie qui s’était replacée à côté de Mark se tourna brusquement vers lui.
-Hein ? de ? mais… non ! tu ?

Lexie balbutiait, incapable de formuler une seule phrase correcte. Voyons Lexie, tu sais comment on parle ! Sujet, verbe, complément. C’est pas si compliqué !
Abasourdie, la jeune femme prit pour argent comptant la plaisanterie du médecin. Il lui avait tellement manqué durant ces deux jours qu’elle ne pouvait pas s’amuser de cette réplique.
- Tu crois que … ? Non ! Je ne t’évite pas, tu crois pas que… Mark !

La jeune Grey paniquée se tourna complètement, le visage impassible de Mark, qui succédait à son regard malicieux, ne l’aidait pas à se calmer. Puis d’un coup la pression retomba. Lexie se calma en une seconde, attrapa de sa main gauche le visage de Mark vers le sien, sa main droite vint se poser sur la joue gauche de son ami tandis qu’elle plaqua ses lèvres contre les siennes. Un baiser langoureux et puissant était la seule réponse que la jeune femme avait envie de lui faire pour le moment, étant donné leur distance forcée de ces derniers jours.

Aussi promptement qu’elle s’était collée à lui elle s’écarta, et tira vers elle le bouton stop, enclenchant ainsi la reprise de l’ascenseur. Le cœur battant la chamade, elle remit de l’ordre dans ses cheveux et tira sur sa veste, la respiration coupée et l’esprit tout excité. Décidément, il fallait qu’ils se voient plus longuement.
Les portes étaient sur le point de s’ouvrir quand elle lui demanda, un brin naturelle :

-On se voit ce soir ? Faudrait qu’on parle.

[B]

Mark jeta un coup d’œil à la jeune femme et la vit lever les yeux au ciel. Pendant un instant, il regretta d’avoir lancé ce pic. C’était dangereux. Il aurait dû le savoir. Ce n’était déjà pas évident pour elle de devoir travailler avec trois de ses anciennes maitresses… Et pour rien au monde il ne voulait la blesser, pourtant… quelques mois auparavant quelque chose était survenu et il ne lui en avait pas parlé… peur de la blesser, de la perdre… et la jeune femme venait juste de perdre un ami et elle avait d’autres choses à penser avec la fusion, son travail que ses « problèmes » à lui.
Elle se tourna, en bafouillant :

# Hein ? de ? mais… non ! tu ? Tu crois que … ? Non ! Je ne t’évite pas, tu crois pas que… Mark !

Non, il ne croyait pas… bien que… peut-être avait-elle senti qu’il était prêt à amener leur relation au niveau supérieur ou qu’il avait un « problème »… Et par peur de la confrontation, du moment décisif, de cette fameuse conversation qu’ils devraient avoir au moment où ils se retrouveraient tous les deux…

N’importe quoi, mec ! Tu dérailles complètement, se dit-il.

Trop loin dans ses pensées, il s’étonna de l’action que la jeune femme entreprit, ses douces mains encadrèrent son visage et elle fit unir leur lèvres en un baiser langoureux.
Il allait lui répondre par un autre baiser, faire durer cet instant, loin de tout, dans cet ascenseur où personne ne pouvait les déranger, mais elle s’écarta et réenclencha la marche de la machine. Il soupira, déçu et frustré, mais encore un peu rêveur de cet acte amoureux.
L’ascenseur s’arrêta. C’était son arrêt. Il ne voulait pas que ce moment s’arrête, non…

# On se voit ce soir ? Faudrait qu’on parle.

Cela voulait dire qu’elle n’était pas de garde. Cela voulait dire qu’il verrait enfin sa petite amie, qu’il aurait plus qu’un petit interlude dans l’ascenseur de l’hôpital.
Il sourit.
Cela voulait aussi dire qu’ils allaient parler… mais… de quoi ? De quoi tenait-elle tant à parler. Le « on se voit ce soir » sonnait naturel, tandis que le « faudrait qu’on se parle » sonnait sérieux. Trop sérieux… ou essayait-il d’interpréter quelque chose qu’il n’y avait point à interpréter ? Il prit une profonde respiration et tenta de se débarrasser de ce trop plein de questions inutiles.

« Je finis à 19h, tu me rejoins chez Callie ? Ou tu préfères que je vienne »

Il espéra que Callie était de garde ce soir ou qu’elle aurait d’autres projets pour que Lexie et lui puissent être tranquille.
Les portes s’ouvrirent complètement. Mark s’avança et bloqua les portes.

« Je peux cuisiner dans les deux cas, ou tu veux faire autre chose ? Restaurant ? »

Il voulait lui poser autant de questions que possible pour la retenir encore un peu… Juste encore un peu… Puis il ajouta, affichant un sourire charmeur sur son visage :

« Tu m'aimeras encore plus si tu goûtes à ma cuisine. »

[S]

Mark jeta un coup d’œil à la jeune femme et la vit lever les yeux au ciel. Pendant un instant, il regretta d’avoir lancé ce pic. C’était dangereux. Il aurait dû le savoir. Ce n’était déjà pas évident pour elle de devoir travailler avec trois de ses anciennes maitresses… Et pour rien au monde il ne voulait la blesser, pourtant… quelques mois auparavant quelque chose était survenu et il ne lui en avait pas parlé… peur de la blesser, de la perdre… et la jeune femme venait juste de perdre un ami et elle avait d’autres choses à penser avec la fusion, son travail que ses « problèmes » à lui.
Elle se tourna, en bafouillant :

# Hein ? de ? mais… non ! tu ? Tu crois que … ? Non ! Je ne t’évite pas, tu crois pas que… Mark !

Non, il ne croyait pas… bien que… peut-être avait-elle senti qu’il était prêt à amener leur relation au niveau supérieur ou qu’il avait un « problème »… Et par peur de la confrontation, du moment décisif, de cette fameuse conversation qu’ils devraient avoir au moment où ils se retrouveraient tous les deux…

N’importe quoi, mec ! Tu dérailles complètement, se dit-il.

Trop loin dans ses pensées, il s’étonna de l’action que la jeune femme entreprit, ses douces mains encadrèrent son visage et elle fit unir leur lèvres en un baiser langoureux.
Il allait lui répondre par un autre baiser, faire durer cet instant, loin de tout, dans cet ascenseur où personne ne pouvait les déranger, mais elle s’écarta et réenclencha la marche de la machine. Il soupira, déçu et frustré, mais encore un peu rêveur de cet acte amoureux.
L’ascenseur s’arrêta. C’était son arrêt. Il ne voulait pas que ce moment s’arrête, non…

# On se voit ce soir ? Faudrait qu’on parle.

Cela voulait dire qu’elle n’était pas de garde. Cela voulait dire qu’il verrait enfin sa petite amie, qu’il aurait plus qu’un petit interlude dans l’ascenseur de l’hôpital.
Il sourit.
Cela voulait aussi dire qu’ils allaient parler… mais… de quoi ? De quoi tenait-elle tant à parler. Le « on se voit ce soir » sonnait naturel, tandis que le « faudrait qu’on se parle » sonnait sérieux. Trop sérieux… ou essayait-il d’interpréter quelque chose qu’il n’y avait point à interpréter ? Il prit une profonde respiration et tenta de se débarrasser de ce trop plein de questions inutiles.

« Je finis à 19h, tu me rejoins chez Callie ? Ou tu préfères que je vienne »

Il espéra que Callie était de garde ce soir ou qu’elle aurait d’autres projets pour que Lexie et lui puissent être tranquille.
Les portes s’ouvrirent complètement. Mark s’avança et bloqua les portes.

« Je peux cuisiner dans les deux cas, ou tu veux faire autre chose ? Restaurant ? »

Il voulait lui poser autant de questions que possible pour la retenir encore un peu… Juste encore un peu… Puis il ajouta, affichant un sourire charmeur sur son visage :

« Tu m'aimeras encore plus si tu goûtes à ma cuisine. »

[Mc]

Mark jeta un coup d’œil à la jeune femme et la vit lever les yeux au ciel. Pendant un instant, il regretta d’avoir lancé ce pic. C’était dangereux. Il aurait dû le savoir. Ce n’était déjà pas évident pour elle de devoir travailler avec trois de ses anciennes maitresses… Et pour rien au monde il ne voulait la blesser, pourtant… quelques mois auparavant quelque chose était survenu et il ne lui en avait pas parlé… peur de la blesser, de la perdre… et la jeune femme venait juste de perdre un ami et elle avait d’autres choses à penser avec la fusion, son travail que ses « problèmes » à lui.
Elle se tourna, en bafouillant :

# Hein ? de ? mais… non ! tu ? Tu crois que … ? Non ! Je ne t’évite pas, tu crois pas que… Mark !

Non, il ne croyait pas… bien que… peut-être avait-elle senti qu’il était prêt à amener leur relation au niveau supérieur ou qu’il avait un « problème »… Et par peur de la confrontation, du moment décisif, de cette fameuse conversation qu’ils devraient avoir au moment où ils se retrouveraient tous les deux…

N’importe quoi, mec ! Tu dérailles complètement, se dit-il.

Trop loin dans ses pensées, il s’étonna de l’action que la jeune femme entreprit, ses douces mains encadrèrent son visage et elle fit unir leur lèvres en un baiser langoureux.
Il allait lui répondre par un autre baiser, faire durer cet instant, loin de tout, dans cet ascenseur où personne ne pouvait les déranger, mais elle s’écarta et réenclencha la marche de la machine. Il soupira, déçu et frustré, mais encore un peu rêveur de cet acte amoureux.
L’ascenseur s’arrêta. C’était son arrêt. Il ne voulait pas que ce moment s’arrête, non…

# On se voit ce soir ? Faudrait qu’on parle.

Cela voulait dire qu’elle n’était pas de garde. Cela voulait dire qu’il verrait enfin sa petite amie, qu’il aurait plus qu’un petit interlude dans l’ascenseur de l’hôpital.
Il sourit.
Cela voulait aussi dire qu’ils allaient parler… mais… de quoi ? De quoi tenait-elle tant à parler. Le « on se voit ce soir » sonnait naturel, tandis que le « faudrait qu’on se parle » sonnait sérieux. Trop sérieux… ou essayait-il d’interpréter quelque chose qu’il n’y avait point à interpréter ? Il prit une profonde respiration et tenta de se débarrasser de ce trop plein de questions inutiles.

« Je finis à 19h, tu me rejoins chez Callie ? Ou tu préfères que je vienne »

Il espéra que Callie était de garde ce soir ou qu’elle aurait d’autres projets pour que Lexie et lui puissent être tranquille.
Les portes s’ouvrirent complètement. Mark s’avança et bloqua les portes.

« Je peux cuisiner dans les deux cas, ou tu veux faire autre chose ? Restaurant ? »

Il voulait lui poser autant de questions que possible pour la retenir encore un peu… Juste encore un peu… Puis il ajouta, affichant un sourire charmeur sur son visage :

« Tu m'aimeras encore plus si tu goûtes à ma cuisine. »

[S]

Mark jeta un coup d’œil à la jeune femme et la vit lever les yeux au ciel. Pendant un instant, il regretta d’avoir lancé ce pic. C’était dangereux. Il aurait dû le savoir. Ce n’était déjà pas évident pour elle de devoir travailler avec trois de ses anciennes maitresses… Et pour rien au monde il ne voulait la blesser, pourtant… quelques mois auparavant quelque chose était survenu et il ne lui en avait pas parlé… peur de la blesser, de la perdre… et la jeune femme venait juste de perdre un ami et elle avait d’autres choses à penser avec la fusion, son travail que ses « problèmes » à lui.
Elle se tourna, en bafouillant :

# Hein ? de ? mais… non ! tu ? Tu crois que … ? Non ! Je ne t’évite pas, tu crois pas que… Mark !

Non, il ne croyait pas… bien que… peut-être avait-elle senti qu’il était prêt à amener leur relation au niveau supérieur ou qu’il avait un « problème »… Et par peur de la confrontation, du moment décisif, de cette fameuse conversation qu’ils devraient avoir au moment où ils se retrouveraient tous les deux…

N’importe quoi, mec ! Tu dérailles complètement, se dit-il.

Trop loin dans ses pensées, il s’étonna de l’action que la jeune femme entreprit, ses douces mains encadrèrent son visage et elle fit unir leur lèvres en un baiser langoureux.
Il allait lui répondre par un autre baiser, faire durer cet instant, loin de tout, dans cet ascenseur où personne ne pouvait les déranger, mais elle s’écarta et réenclencha la marche de la machine. Il soupira, déçu et frustré, mais encore un peu rêveur de cet acte amoureux.
L’ascenseur s’arrêta. C’était son arrêt. Il ne voulait pas que ce moment s’arrête, non…

# On se voit ce soir ? Faudrait qu’on parle.

Cela voulait dire qu’elle n’était pas de garde. Cela voulait dire qu’il verrait enfin sa petite amie, qu’il aurait plus qu’un petit interlude dans l’ascenseur de l’hôpital.
Il sourit.
Cela voulait aussi dire qu’ils allaient parler… mais… de quoi ? De quoi tenait-elle tant à parler. Le « on se voit ce soir » sonnait naturel, tandis que le « faudrait qu’on se parle » sonnait sérieux. Trop sérieux… ou essayait-il d’interpréter quelque chose qu’il n’y avait point à interpréter ? Il prit une profonde respiration et tenta de se débarrasser de ce trop plein de questions inutiles.

« Je finis à 19h, tu me rejoins chez Callie ? Ou tu préfères que je vienne »

Il espéra que Callie était de garde ce soir ou qu’elle aurait d’autres projets pour que Lexie et lui puissent être tranquille.
Les portes s’ouvrirent complètement. Mark s’avança et bloqua les portes.

« Je peux cuisiner dans les deux cas, ou tu veux faire autre chose ? Restaurant ? »

Il voulait lui poser autant de questions que possible pour la retenir encore un peu… Juste encore un peu… Puis il ajouta, affichant un sourire charmeur sur son visage :

« Tu m'aimeras encore plus si tu goûtes à ma cuisine. »

[Grey's]

Ding ! L’ascenseur arriva à destination. Lexie avait du mal à en sortir, mais le personnel de l’hôpital, les patients, les visiteurs, toute la vie allait surgir et elle ne pourrait pas le garder indéfiniment dans cette boite mouvante d’à peine 2m².

# Je finis à 19h, tu me rejoins chez Callie ? Ou tu préfères que je vienne ?

-Non, pas chez Callie.
Lexie ne voulait pas se sentir en territoire ennemi. Oh elle aimait bien la colloc’ de Mark. Elle savait que les deux étaient proches et se confiaient beaucoup de choses, et que Callie était prise ailleurs ; mais Callie était aussi une des ex de son chéri à elle, et une petite jalousie bien féminine persistait. Aussi la jeune Grey voulait un territoire un peu plus neutre. L’appartement avait beau être autant à Mark qu’à Callie, le fait qu’il ne nomme « chez Callie » était source d’un blocage pour la jeune résidente. Dire « chez lui », « chez Mark » dissociait de son esprit le fait que Callie et lui partageaient le même appartement, et heureusement, pas le même lit ! Mais ce que Lexie ressentait pour Mark incluait une certaine forme d’exhaustivité et de jalousie légère.

-Chez toi. Prononça-t-elle déterminée, espérant qu’il saisisse la nuance, avant d’expliquer :
-Je stresserai trop à t’attendre si c’était toi qui venais. Je rentre, je prends une douche, dors, me réveille, je me prépare et je te rejoins.
Tu finis à 19h, on est en semaine impaire donc tu n’as pas les papiers des rendez-vous, tu peux rentrer directement, t’assurer que Callie n’est pas là pour la soirée, te doucher, mettre ta chemise foncée dans laquelle tu es incroyablement sexy, et t’assoir sur le canapé pour m’attendre.

Oupsi. La voilà qui planifiait tout, même son programme à lui. Lexie sourit, gênée, et sortit sur le pallier. Le hall était désert et calme. Elle resta appuyée contre la chambranle de l’ascenseur, en face de Mark, qui se tenait ainsi depuis l’arrêt pour empêcher les portes de se refermer.


# Je peux cuisiner dans les deux cas, ou tu veux faire autre chose ? Restaurant ?
Tu m'aimeras encore plus si tu goûtes à ma cuisine.

Lexie fit la moue. Nope, pas de restaurant. Trop bruyant, trop de monde, trop de regards, pas assez d’intimité.
-Mmm… je serai tentée par ta cuisine…
"Mais je ne suis pas sûre de pouvoir t’aimer plus… que ce que j’éprouve déjà."Son cœur débordait, décidément, le sourire ravageur de Mark était une arme redoutable, à laquelle il était difficile de résister. Décidément, décidément, cet homme était parfait.

-Je pensais prendre du chinois à emporter dans les petites boites, pour éviter la vaisselle, mais si tu veux cuisiner, je veux voir ça !
Lexie se rapprocha de lui, attrapa les bouts de la veste de Mark et tira dessus, comme pour le défroisser, et se pencha en souriant pour lui déposer un court baiser sur ses lèvres. Plongeant son regard dans le sien, elle murmura sans écarter son visage de plus de quelques centimètres à peine.

-Et tu veux que j’apporte du vin ? Pour accompagner ton petit plat ?

[B]

# Non, pas chez Callie.

Il avait simplement hoché la tête. Il savait qu’elle se sentait mal à l’aise à l’appartement. Il voulait juste passer une soirée avec elle, il voulait qu’elle se sente bien. Aucune prise de tête.

# Chez toi.

Il se redressa légèrement, surpris qu’elle le corrige. Il avait l’habitude de dire « chez Callie »... Partager l’appartement de sa meilleure amie était pour lui plus une transition qu’autre chose... Il souhaitait réellement trouver un appartement ou bien une maison pour lui… et pourquoi pas pour elle, pour que quand elle l’aura décidé, elle s’y installe.

# Je stresserai trop à t’attendre si c’était toi qui venais. Je rentre, je prends une douche, dors, me réveille, je me prépare et je te rejoins. Tu finis à 19h, on est en semaine impaire donc tu n’as pas les papiers des rendez-vous, tu peux rentrer directement, t’assurer que Callie n’est pas là pour la soirée, te doucher, mettre ta chemise foncée dans laquelle tu es incroyablement sexy, et t’assoir sur le canapé pour m’attendre.

La longue tirade de celle que l’on surnommait « Lexipédia » le fit sourire ou ce fut le fait qu’elle le trouvait sexy dans sa « chemise foncée ». Il pouffa de rire, la voyant toute gênée. Elle sortie sur le pallier.

# Mmm… je serai tentée par ta cuisine…

Il était soulagé, Il avait espéré qu’elle dise non pour le restaurant, il ne voulait pas se retrouver au milieu de gens inconnus, trop bruyant, des serveurs les interrompant en plein milieu d’une conversation… Après eux jours, il avait besoin de plus d’intimité. Et puis c'était l'occasion de lui faire découvrir une autre partie de lui... un petit avant-goût de ses "talents" de cuisinier, de la charmer et de lui donner envie de venir plus souvent. Il n'avait jamais vraiment eu l'occasion de cuisiner pour quelqu'un. Quand il était enfant, il aimait espionner sa nourrice, d'origine italienne et française, en cuisine. Puis plus tard, Carolyn, la mère de Derek lui apprit quelques petites recettes pour quand il était seul chez lui... Maintenant qu'il avait une relation sérieuse avec Lexie, c'était l'occasion de pouvoir préparer quelques petits plats à quelqu'un.

La vie est deux est quand même plus intéressante. Et il venait de le réaliser et commençait à apprécier cette idée, et son chemin de vie prenait pas à pas un autre tournant.

# Je pensais prendre du chinois à emporter dans les petites boites, pour éviter la vaisselle, mais si tu veux cuisiner, je veux voir ça !
Elle s’avança, l’attrapa par son blouson et lui déposa un baiser sur sa bouche.

# Et tu veux que j’apporte du vin ? Pour accompagner ton petit plat ?

Il glissa ses bras autour d'elle et la serra contre lui, son visage n'était qu'à quelques centimètres du sien.

« Non, je m’en chargerai. Par contre tu peux t’occuper le dessert. Je n’ai aucun talent en pâtisserie. »

Il remarqua le calme qui régnait dans le hall. Il regarda sa montre rapidement avant de remettre son bras autour de la taille de la jeune femme. Il avait encore un peu de temps avant le début de sa garde. Elle pouvait bien rester encore un peu. Il aurait voulu qu'elle reste avec lui aussi longtemps que possible mais il savait que les gardes de nuit étaient épuisantes et il imaginait qu'elle n'avait qu'une envie: rentrer se reposer.

« J’ai hâte d’être à ce soir, Petite Grey. » Lui murmura-t-il à l’oreille.

« Mais pour le moment… Je réclame encore quelques minutes avec toi… »

Il délassa ses bras de son corps et glissa sa main droite dans la sienne puis il l’attira de nouveau dans l’ascenseur, se positionnant de façon à ce qu’elle ne puisse pas sortir, et de sa main gauche il appuya sur le bouton du dernier étage.

[S]

# Non, pas chez Callie.

Il avait simplement hoché la tête. Il savait qu’elle se sentait mal à l’aise à l’appartement. Il voulait juste passer une soirée avec elle, il voulait qu’elle se sente bien. Aucune prise de tête.

# Chez toi.

Il se redressa légèrement, surpris qu’elle le corrige. Il avait l’habitude de dire « chez Callie »... Partager l’appartement de sa meilleure amie était pour lui plus une transition qu’autre chose... Il souhaitait réellement trouver un appartement ou bien une maison pour lui… et pourquoi pas pour elle, pour que quand elle l’aura décidé, elle s’y installe.

# Je stresserai trop à t’attendre si c’était toi qui venais. Je rentre, je prends une douche, dors, me réveille, je me prépare et je te rejoins. Tu finis à 19h, on est en semaine impaire donc tu n’as pas les papiers des rendez-vous, tu peux rentrer directement, t’assurer que Callie n’est pas là pour la soirée, te doucher, mettre ta chemise foncée dans laquelle tu es incroyablement sexy, et t’assoir sur le canapé pour m’attendre.

La longue tirade de celle que l’on surnommait « Lexipédia » le fit sourire ou ce fut le fait qu’elle le trouvait sexy dans sa « chemise foncée ». Il pouffa de rire, la voyant toute gênée. Elle sortie sur le pallier.

# Mmm… je serai tentée par ta cuisine…

Il était soulagé, Il avait espéré qu’elle dise non pour le restaurant, il ne voulait pas se retrouver au milieu de gens inconnus, trop bruyant, des serveurs les interrompant en plein milieu d’une conversation… Après eux jours, il avait besoin de plus d’intimité. Et puis c'était l'occasion de lui faire découvrir une autre partie de lui... un petit avant-goût de ses "talents" de cuisinier, de la charmer et de lui donner envie de venir plus souvent. Il n'avait jamais vraiment eu l'occasion de cuisiner pour quelqu'un. Quand il était enfant, il aimait espionner sa nourrice, d'origine italienne et française, en cuisine. Puis plus tard, Carolyn, la mère de Derek lui apprit quelques petites recettes pour quand il était seul chez lui... Maintenant qu'il avait une relation sérieuse avec Lexie, c'était l'occasion de pouvoir préparer quelques petits plats à quelqu'un.

La vie est deux est quand même plus intéressante. Et il venait de le réaliser et commençait à apprécier cette idée, et son chemin de vie prenait pas à pas un autre tournant.

# Je pensais prendre du chinois à emporter dans les petites boites, pour éviter la vaisselle, mais si tu veux cuisiner, je veux voir ça !
Elle s’avança, l’attrapa par son blouson et lui déposa un baiser sur sa bouche.

# Et tu veux que j’apporte du vin ? Pour accompagner ton petit plat ?

Il glissa ses bras autour d'elle et la serra contre lui, son visage n'était qu'à quelques centimètres du sien.

« Non, je m’en chargerai. Par contre tu peux t’occuper le dessert. Je n’ai aucun talent en pâtisserie. »

Il remarqua le calme qui régnait dans le hall. Il regarda sa montre rapidement avant de remettre son bras autour de la taille de la jeune femme. Il avait encore un peu de temps avant le début de sa garde. Elle pouvait bien rester encore un peu. Il aurait voulu qu'elle reste avec lui aussi longtemps que possible mais il savait que les gardes de nuit étaient épuisantes et il imaginait qu'elle n'avait qu'une envie: rentrer se reposer.

« J’ai hâte d’être à ce soir, Petite Grey. » Lui murmura-t-il à l’oreille.

« Mais pour le moment… Je réclame encore quelques minutes avec toi… »

Il délassa ses bras de son corps et glissa sa main droite dans la sienne puis il l’attira de nouveau dans l’ascenseur, se positionnant de façon à ce qu’elle ne puisse pas sortir, et de sa main gauche il appuya sur le bouton du dernier étage.

[Mc]

# Non, pas chez Callie.

Il avait simplement hoché la tête. Il savait qu’elle se sentait mal à l’aise à l’appartement. Il voulait juste passer une soirée avec elle, il voulait qu’elle se sente bien. Aucune prise de tête.

# Chez toi.

Il se redressa légèrement, surpris qu’elle le corrige. Il avait l’habitude de dire « chez Callie »... Partager l’appartement de sa meilleure amie était pour lui plus une transition qu’autre chose... Il souhaitait réellement trouver un appartement ou bien une maison pour lui… et pourquoi pas pour elle, pour que quand elle l’aura décidé, elle s’y installe.

# Je stresserai trop à t’attendre si c’était toi qui venais. Je rentre, je prends une douche, dors, me réveille, je me prépare et je te rejoins. Tu finis à 19h, on est en semaine impaire donc tu n’as pas les papiers des rendez-vous, tu peux rentrer directement, t’assurer que Callie n’est pas là pour la soirée, te doucher, mettre ta chemise foncée dans laquelle tu es incroyablement sexy, et t’assoir sur le canapé pour m’attendre.

La longue tirade de celle que l’on surnommait « Lexipédia » le fit sourire ou ce fut le fait qu’elle le trouvait sexy dans sa « chemise foncée ». Il pouffa de rire, la voyant toute gênée. Elle sortie sur le pallier.

# Mmm… je serai tentée par ta cuisine…

Il était soulagé, Il avait espéré qu’elle dise non pour le restaurant, il ne voulait pas se retrouver au milieu de gens inconnus, trop bruyant, des serveurs les interrompant en plein milieu d’une conversation… Après eux jours, il avait besoin de plus d’intimité. Et puis c'était l'occasion de lui faire découvrir une autre partie de lui... un petit avant-goût de ses "talents" de cuisinier, de la charmer et de lui donner envie de venir plus souvent. Il n'avait jamais vraiment eu l'occasion de cuisiner pour quelqu'un. Quand il était enfant, il aimait espionner sa nourrice, d'origine italienne et française, en cuisine. Puis plus tard, Carolyn, la mère de Derek lui apprit quelques petites recettes pour quand il était seul chez lui... Maintenant qu'il avait une relation sérieuse avec Lexie, c'était l'occasion de pouvoir préparer quelques petits plats à quelqu'un.

La vie est deux est quand même plus intéressante. Et il venait de le réaliser et commençait à apprécier cette idée, et son chemin de vie prenait pas à pas un autre tournant.

# Je pensais prendre du chinois à emporter dans les petites boites, pour éviter la vaisselle, mais si tu veux cuisiner, je veux voir ça !
Elle s’avança, l’attrapa par son blouson et lui déposa un baiser sur sa bouche.

# Et tu veux que j’apporte du vin ? Pour accompagner ton petit plat ?

Il glissa ses bras autour d'elle et la serra contre lui, son visage n'était qu'à quelques centimètres du sien.

« Non, je m’en chargerai. Par contre tu peux t’occuper le dessert. Je n’ai aucun talent en pâtisserie. »

Il remarqua le calme qui régnait dans le hall. Il regarda sa montre rapidement avant de remettre son bras autour de la taille de la jeune femme. Il avait encore un peu de temps avant le début de sa garde. Elle pouvait bien rester encore un peu. Il aurait voulu qu'elle reste avec lui aussi longtemps que possible mais il savait que les gardes de nuit étaient épuisantes et il imaginait qu'elle n'avait qu'une envie: rentrer se reposer.

« J’ai hâte d’être à ce soir, Petite Grey. » Lui murmura-t-il à l’oreille.

« Mais pour le moment… Je réclame encore quelques minutes avec toi… »

Il délassa ses bras de son corps et glissa sa main droite dans la sienne puis il l’attira de nouveau dans l’ascenseur, se positionnant de façon à ce qu’elle ne puisse pas sortir, et de sa main gauche il appuya sur le bouton du dernier étage.

[S]

# Non, pas chez Callie.

Il avait simplement hoché la tête. Il savait qu’elle se sentait mal à l’aise à l’appartement. Il voulait juste passer une soirée avec elle, il voulait qu’elle se sente bien. Aucune prise de tête.

# Chez toi.

Il se redressa légèrement, surpris qu’elle le corrige. Il avait l’habitude de dire « chez Callie »... Partager l’appartement de sa meilleure amie était pour lui plus une transition qu’autre chose... Il souhaitait réellement trouver un appartement ou bien une maison pour lui… et pourquoi pas pour elle, pour que quand elle l’aura décidé, elle s’y installe.

# Je stresserai trop à t’attendre si c’était toi qui venais. Je rentre, je prends une douche, dors, me réveille, je me prépare et je te rejoins. Tu finis à 19h, on est en semaine impaire donc tu n’as pas les papiers des rendez-vous, tu peux rentrer directement, t’assurer que Callie n’est pas là pour la soirée, te doucher, mettre ta chemise foncée dans laquelle tu es incroyablement sexy, et t’assoir sur le canapé pour m’attendre.

La longue tirade de celle que l’on surnommait « Lexipédia » le fit sourire ou ce fut le fait qu’elle le trouvait sexy dans sa « chemise foncée ». Il pouffa de rire, la voyant toute gênée. Elle sortie sur le pallier.

# Mmm… je serai tentée par ta cuisine…

Il était soulagé, Il avait espéré qu’elle dise non pour le restaurant, il ne voulait pas se retrouver au milieu de gens inconnus, trop bruyant, des serveurs les interrompant en plein milieu d’une conversation… Après eux jours, il avait besoin de plus d’intimité. Et puis c'était l'occasion de lui faire découvrir une autre partie de lui... un petit avant-goût de ses "talents" de cuisinier, de la charmer et de lui donner envie de venir plus souvent. Il n'avait jamais vraiment eu l'occasion de cuisiner pour quelqu'un. Quand il était enfant, il aimait espionner sa nourrice, d'origine italienne et française, en cuisine. Puis plus tard, Carolyn, la mère de Derek lui apprit quelques petites recettes pour quand il était seul chez lui... Maintenant qu'il avait une relation sérieuse avec Lexie, c'était l'occasion de pouvoir préparer quelques petits plats à quelqu'un.

La vie est deux est quand même plus intéressante. Et il venait de le réaliser et commençait à apprécier cette idée, et son chemin de vie prenait pas à pas un autre tournant.

# Je pensais prendre du chinois à emporter dans les petites boites, pour éviter la vaisselle, mais si tu veux cuisiner, je veux voir ça !
Elle s’avança, l’attrapa par son blouson et lui déposa un baiser sur sa bouche.

# Et tu veux que j’apporte du vin ? Pour accompagner ton petit plat ?

Il glissa ses bras autour d'elle et la serra contre lui, son visage n'était qu'à quelques centimètres du sien.

« Non, je m’en chargerai. Par contre tu peux t’occuper le dessert. Je n’ai aucun talent en pâtisserie. »

Il remarqua le calme qui régnait dans le hall. Il regarda sa montre rapidement avant de remettre son bras autour de la taille de la jeune femme. Il avait encore un peu de temps avant le début de sa garde. Elle pouvait bien rester encore un peu. Il aurait voulu qu'elle reste avec lui aussi longtemps que possible mais il savait que les gardes de nuit étaient épuisantes et il imaginait qu'elle n'avait qu'une envie: rentrer se reposer.

« J’ai hâte d’être à ce soir, Petite Grey. » Lui murmura-t-il à l’oreille.

« Mais pour le moment… Je réclame encore quelques minutes avec toi… »

Il délassa ses bras de son corps et glissa sa main droite dans la sienne puis il l’attira de nouveau dans l’ascenseur, se positionnant de façon à ce qu’elle ne puisse pas sortir, et de sa main gauche il appuya sur le bouton du dernier étage.

[Grey's]

L’étreinte de Mark fit battre son cœur un peu plus fort. Elle profita de cet instant où il prenait enfin les devants. Pour leurs ‘retrouvailles’ après ces 2 jours séparés par les aléas de leurs gardes respectives, Lexie s’était montrée plus entreprenante. La douceur de Mark était dans sa réserve, il était prévenant et attentionné, ne souhaitant jamais la brusquer, ce qu’elle savait apprécier ; et il savait être décidé et déterminé quand l’occasion se présentait. Un bon équilibre qui le rendait excellent à ses yeux à elle.

# Non, je m’en chargerai. Par contre tu peux t’occuper du dessert. Je n’ai aucun talent en pâtisserie.

Lexie se mordit la lèvre, joueuse. Du dessert ? hum.. Elle avait déjà sa petite idée. Au programme : fruits juteux et plus si affinités… Elle n’aurait qu’à passer au petit marché deux blocs après la rue de Meredith. Elle achèterait des figues et des fraises, elle en avait repéré la veille au matin. Lexie arrêta ses pensées où elle ne serait plus capable de partir. Trop d’idées fourmillaient dans sa tête.

Elle serait bien restée des heures, accrochée à son bras qu’il avait laissé dans son dos. Sa poigne était ferme et douce en même temps. Leurs corps si proches qu’elle le sentait respirer dans son cou. Pour rien au monde elle n’aurait changer quelque chose à cette position qui la rendait unique aux yeux du grand chirurgien plastique.

# J’ai hâte d’être à ce soir, Petite Grey. Mais pour le moment… Je réclame encore quelques minutes avec toi…

Sa voix suave la fit sourire, mais elle fut entrainée comme dans un tourbillon à l’intérieur de l’ascenseur. Mark appuya d’un coup sur le bouton de l’étage le plus haut. Lexie explosa de rire, et sauta dans les bras du médecin. Elle le dépassait ainsi d’une tête, et coinça ses jambes dans le dos du chirurgien, tandis qu’il la tenait dans ses bras. Elle l’embrassa à pleine bouche avant de reculer un peu la tête et de lui souffler :

-tu veux nous envoyer au septième ciel, c’est ça ?

Elle l’avait embrassé une nouvelle fois, l’empêchant de répondre tout de suite. Un sourire se dessinait sur son visage, heureuse de profiter de lui avant de rentrer se reposer.

Un nouveau baiser plus tard, elle murmura :
-Et c’est Lexie, pas Petite Grey. Mon grand Sloan à moi…

[B]

Il sourit quand elle se mit à rire. Quand il avait prit cette décision, il avait craint la possibilité qu’elle s’échappe, après ses longues heures de travail, c’était tout à fait compréhensible... Mais son rire voulait tout dire, et fit son cœur battre plus vite encore.
Les portes s’étaient déjà refermées. Elle sauta dans ses bras entourant sa taille de ses jambes. Elle était légère, il leva les yeux pour plonger son regard dans le sien, puis elle l’embrassa passionnément.

# Tu veux nous envoyer au septième ciel, c’est ça ?

Il ricana amusé.
Je pourrais, pensa-t-il, fièrement. Mais elle l’empêcha de répondre l’embrassant de nouveau. Elle souriait, semblait heureuse et il l’était aussi. Heureux. Il aurait voulu lui dire là, tout de suite, ce qu’il ressentait pour elle.
Tellement de choses…
Tellement.
Il y était déjà au septième ciel.

# Et c’est Lexie, pas Petite Grey. Mon grand Sloan à moi.

« Bien Lexie… »

Il l’appellerait comme ça pour cette fois. Il aimait l’appeler Petite Grey, ce n’était plus un moyen de la dissocier de sa sœur, mais un surnom. Son surnom à lui, pour elle.
Il regarda sur le coté pour voir à quel étage ils étaient.
1…
2…
Il remonta sa main droite le long du dos de la jeune femme, la tenant fermement contre lui avec son bras gauche et vint lui caresser la joue, ramenant ainsi ses cheveux derrière son oreille. Il approcha son visage encore un peu plus du sien, maintenant front contre front.
Il lui vola un baiser… puis un autre, puis l’embrassa plus fougueusement. Il aimait cette fille.
Oui. Aimer. Avec un grand A. Cela faisait un moment qu’il s’en était rendu compte, mais c’était dans ces moments là, quand elle débordait de joie, souriant, riant, les yeux étincelants, qu’elle était proche de lui… physiquement, mentalement, qu’il avait envie de lui dire. Ce soir. Peut-être ce soir… Il ne voulait pas la brusquer, l’effrayer et la perdre… perdre cette passion, cette histoire, la perdre elle.
C’était ca une relation à deux. Penser à soi, penser à l’autre.
3…
4…
Plus qu’un étage.

« Lexie… »

Il n'avait plus les mots. Ils lui manquaient. Il pensait à trop de choses à la fois, et en même temps ces pensées semblaient à des milliers de kilomètres... Il fit deux pas en avant, et colla le dos de Lexie contre le mur opposé desserrant son emprise, la laissant glisser et se reposer au sol, toujours en gardant son bras autour de sa taille. Il avait de nouveau le dessus. Il déposa un baiser sur son front, ses deux joues, son nez... et finit par lui murmurer à l'oreille:

« Est-ce que je t'ai dit que j'aimais cet ascenseur? »

[S]

Il sourit quand elle se mit à rire. Quand il avait prit cette décision, il avait craint la possibilité qu’elle s’échappe, après ses longues heures de travail, c’était tout à fait compréhensible... Mais son rire voulait tout dire, et fit son cœur battre plus vite encore.
Les portes s’étaient déjà refermées. Elle sauta dans ses bras entourant sa taille de ses jambes. Elle était légère, il leva les yeux pour plonger son regard dans le sien, puis elle l’embrassa passionnément.

# Tu veux nous envoyer au septième ciel, c’est ça ?

Il ricana amusé.
Je pourrais, pensa-t-il, fièrement. Mais elle l’empêcha de répondre l’embrassant de nouveau. Elle souriait, semblait heureuse et il l’était aussi. Heureux. Il aurait voulu lui dire là, tout de suite, ce qu’il ressentait pour elle.
Tellement de choses…
Tellement.
Il y était déjà au septième ciel.

# Et c’est Lexie, pas Petite Grey. Mon grand Sloan à moi.

« Bien Lexie… »

Il l’appellerait comme ça pour cette fois. Il aimait l’appeler Petite Grey, ce n’était plus un moyen de la dissocier de sa sœur, mais un surnom. Son surnom à lui, pour elle.
Il regarda sur le coté pour voir à quel étage ils étaient.
1…
2…
Il remonta sa main droite le long du dos de la jeune femme, la tenant fermement contre lui avec son bras gauche et vint lui caresser la joue, ramenant ainsi ses cheveux derrière son oreille. Il approcha son visage encore un peu plus du sien, maintenant front contre front.
Il lui vola un baiser… puis un autre, puis l’embrassa plus fougueusement. Il aimait cette fille.
Oui. Aimer. Avec un grand A. Cela faisait un moment qu’il s’en était rendu compte, mais c’était dans ces moments là, quand elle débordait de joie, souriant, riant, les yeux étincelants, qu’elle était proche de lui… physiquement, mentalement, qu’il avait envie de lui dire. Ce soir. Peut-être ce soir… Il ne voulait pas la brusquer, l’effrayer et la perdre… perdre cette passion, cette histoire, la perdre elle.
C’était ca une relation à deux. Penser à soi, penser à l’autre.
3…
4…
Plus qu’un étage.

« Lexie… »

Il n'avait plus les mots. Ils lui manquaient. Il pensait à trop de choses à la fois, et en même temps ces pensées semblaient à des milliers de kilomètres... Il fit deux pas en avant, et colla le dos de Lexie contre le mur opposé desserrant son emprise, la laissant glisser et se reposer au sol, toujours en gardant son bras autour de sa taille. Il avait de nouveau le dessus. Il déposa un baiser sur son front, ses deux joues, son nez... et finit par lui murmurer à l'oreille:

« Est-ce que je t'ai dit que j'aimais cet ascenseur? »

[Mc]

Il sourit quand elle se mit à rire. Quand il avait prit cette décision, il avait craint la possibilité qu’elle s’échappe, après ses longues heures de travail, c’était tout à fait compréhensible... Mais son rire voulait tout dire, et fit son cœur battre plus vite encore.
Les portes s’étaient déjà refermées. Elle sauta dans ses bras entourant sa taille de ses jambes. Elle était légère, il leva les yeux pour plonger son regard dans le sien, puis elle l’embrassa passionnément.

# Tu veux nous envoyer au septième ciel, c’est ça ?

Il ricana amusé.
Je pourrais, pensa-t-il, fièrement. Mais elle l’empêcha de répondre l’embrassant de nouveau. Elle souriait, semblait heureuse et il l’était aussi. Heureux. Il aurait voulu lui dire là, tout de suite, ce qu’il ressentait pour elle.
Tellement de choses…
Tellement.
Il y était déjà au septième ciel.

# Et c’est Lexie, pas Petite Grey. Mon grand Sloan à moi.

« Bien Lexie… »

Il l’appellerait comme ça pour cette fois. Il aimait l’appeler Petite Grey, ce n’était plus un moyen de la dissocier de sa sœur, mais un surnom. Son surnom à lui, pour elle.
Il regarda sur le coté pour voir à quel étage ils étaient.
1…
2…
Il remonta sa main droite le long du dos de la jeune femme, la tenant fermement contre lui avec son bras gauche et vint lui caresser la joue, ramenant ainsi ses cheveux derrière son oreille. Il approcha son visage encore un peu plus du sien, maintenant front contre front.
Il lui vola un baiser… puis un autre, puis l’embrassa plus fougueusement. Il aimait cette fille.
Oui. Aimer. Avec un grand A. Cela faisait un moment qu’il s’en était rendu compte, mais c’était dans ces moments là, quand elle débordait de joie, souriant, riant, les yeux étincelants, qu’elle était proche de lui… physiquement, mentalement, qu’il avait envie de lui dire. Ce soir. Peut-être ce soir… Il ne voulait pas la brusquer, l’effrayer et la perdre… perdre cette passion, cette histoire, la perdre elle.
C’était ca une relation à deux. Penser à soi, penser à l’autre.
3…
4…
Plus qu’un étage.

« Lexie… »

Il n'avait plus les mots. Ils lui manquaient. Il pensait à trop de choses à la fois, et en même temps ces pensées semblaient à des milliers de kilomètres... Il fit deux pas en avant, et colla le dos de Lexie contre le mur opposé desserrant son emprise, la laissant glisser et se reposer au sol, toujours en gardant son bras autour de sa taille. Il avait de nouveau le dessus. Il déposa un baiser sur son front, ses deux joues, son nez... et finit par lui murmurer à l'oreille:

« Est-ce que je t'ai dit que j'aimais cet ascenseur? »

[S]

Il sourit quand elle se mit à rire. Quand il avait prit cette décision, il avait craint la possibilité qu’elle s’échappe, après ses longues heures de travail, c’était tout à fait compréhensible... Mais son rire voulait tout dire, et fit son cœur battre plus vite encore.
Les portes s’étaient déjà refermées. Elle sauta dans ses bras entourant sa taille de ses jambes. Elle était légère, il leva les yeux pour plonger son regard dans le sien, puis elle l’embrassa passionnément.

# Tu veux nous envoyer au septième ciel, c’est ça ?

Il ricana amusé.
Je pourrais, pensa-t-il, fièrement. Mais elle l’empêcha de répondre l’embrassant de nouveau. Elle souriait, semblait heureuse et il l’était aussi. Heureux. Il aurait voulu lui dire là, tout de suite, ce qu’il ressentait pour elle.
Tellement de choses…
Tellement.
Il y était déjà au septième ciel.

# Et c’est Lexie, pas Petite Grey. Mon grand Sloan à moi.

« Bien Lexie… »

Il l’appellerait comme ça pour cette fois. Il aimait l’appeler Petite Grey, ce n’était plus un moyen de la dissocier de sa sœur, mais un surnom. Son surnom à lui, pour elle.
Il regarda sur le coté pour voir à quel étage ils étaient.
1…
2…
Il remonta sa main droite le long du dos de la jeune femme, la tenant fermement contre lui avec son bras gauche et vint lui caresser la joue, ramenant ainsi ses cheveux derrière son oreille. Il approcha son visage encore un peu plus du sien, maintenant front contre front.
Il lui vola un baiser… puis un autre, puis l’embrassa plus fougueusement. Il aimait cette fille.
Oui. Aimer. Avec un grand A. Cela faisait un moment qu’il s’en était rendu compte, mais c’était dans ces moments là, quand elle débordait de joie, souriant, riant, les yeux étincelants, qu’elle était proche de lui… physiquement, mentalement, qu’il avait envie de lui dire. Ce soir. Peut-être ce soir… Il ne voulait pas la brusquer, l’effrayer et la perdre… perdre cette passion, cette histoire, la perdre elle.
C’était ca une relation à deux. Penser à soi, penser à l’autre.
3…
4…
Plus qu’un étage.

« Lexie… »

Il n'avait plus les mots. Ils lui manquaient. Il pensait à trop de choses à la fois, et en même temps ces pensées semblaient à des milliers de kilomètres... Il fit deux pas en avant, et colla le dos de Lexie contre le mur opposé desserrant son emprise, la laissant glisser et se reposer au sol, toujours en gardant son bras autour de sa taille. Il avait de nouveau le dessus. Il déposa un baiser sur son front, ses deux joues, son nez... et finit par lui murmurer à l'oreille:

« Est-ce que je t'ai dit que j'aimais cet ascenseur? »

[Grey's]

# Bien Lexie…

Elle avait gagné la partie… pour cette fois. Mark persistait à la nommer par son nom de famille ; alors qu’elle aimait juste la façon dont il avait de prononcer son diminutif. Un ensemble de sons en montagne russe qui faisaient faire un bond à son cœur.

Ce moment volé dans l’ascenseur les rapprochait encore et encore. Tout était douceur, calme et volupté^^ ( !) Mark répondait allégrement à ses baisers, à ses gestes. C’était une harmonie parfaite que de les voir évoluer tous les deux. S’il s’était laissé faire au début de cette journée, ce n’était plus le cas maintenant : d’abord la fuite dans l’ascenseur, les étages, et puis maintenant sa mèche derrière son oreille. Lexie le laissait faire, la bouche légèrement ouverte, les yeux rivés sur son visage.
Elle oublia l’ascenseur, plus rien d’autre que son étreinte n’avait d’importance. Elle aurait voulu que cet instant dure encore, encore et encore. La fatigue pourrait revenir plus tard, là elle était juste heureuse d’exister. D’exister auprès de lui. D’exister avec lui.

# Lexie…

La jeune femme frissonna, sa façon de prononcer son nom la remplissait de joie incommensurable. Comme s’il avait lu en elle, il répétait ce prénom par lequel elle aimait se définir. Ses amis, sa famille avaient d’autres surnoms pour elle, Lorenzo, son meilleur ami, l’appelait « Lexillence », sa sœur Molly « Lexique », certains de ses collègues « Lexipedia » quand elle ressortait ce qu’elle avait lu, vu, entendu. Ses parents « Alexandra Grey », et là, c’était quand elle n’avait pas été très sage quand elle était petite, ça arrivait rarement, il faut le reconnaitre. Mais son surnom, Lexie, celui que tout le monde utilisait, avait une saveur on ne peut plus particulière dans la bouche de Mark. Tandis qu’il la plaqua contre la paroi opposée de l’appareil et la fit descendre tout en douceur au sol, Lexie profitait de cet instant où le silence pouvait valoir tout l’or des mots. Elle ne quitta pas son regard, cherchant d’où cette attirance la rendait si dépendante de cet homme. Il eut beau la déposer au sol, il laissa son bras contre son dos, une façon de ne pas cesser cet embrassement complet. Lexie lui en sût gré, le rechute depuis le paradis n’était en rien brutal.
Ses baisers sur les parties de son visage la firent rougir, on ne sait vraiment pourquoi. Elle aurait voulu qu’il poursuive cette conquête mais il ajouta :

# Est-ce que je t'ai dit que j'aimais cet ascenseur?

La jeune femme rapprocha son nez du sien, de façon à lui faire un baiser d’esquimau.

-Oui. Sourit-elle. Moi aussi je l’aime.

Et pour lui exprimer ce qu’elle aimait particulièrement dans cette machine, elle déposa ses lèvres sur celles du chirurgien, encadrant son visage de ses petites mains.

-Mark, je…

Ding ! Les portes s’ouvrirent sur le dernier étage. Un bruit à ce niveau poussa Lexie à se dégager rapidement sur le côté. Une infirmière qui passait au loin, poussant un chariot de réserves de tubes, pansements et autres cartons, venait de faire tomber des plaquettes de verre. Rassurée, la jeune Alexandra revint glisser sa main dans celle de Mark. Elle s’appuya contre son bras, et ferma les yeux.

-Ah si on ne pouvait être jamais que tous les deux…

[B]

Son nez touchait maintenant le sien puis elle lui répondit :

# Oui. Moi aussi je l’aime.

Est-ce que cela voulait-il dire qu’elle l’aimait, lui ? Le baiser esquimau devint un simple baiser sur ses lèvres, ses douces mains sur chaque coté de son visage. Un baiser pour sceller leurs vœux indirects…

# Mark, je…

Tu… il attendait la suite qui ne viendrait probablement jamais comme la cloche qui indiquait l’arrivée retentit. Voilà ca se terminait là… les portes s’ouvrirent. Il ne regardait qu’elle parce qu’il ne voulait pas que ca se termine, pas après ca… c’était frustrant et il allait y penser toute la journée…
Au loin, à l’étage, il entendit un chariot passé et quelque chose tomber. Lexie s’était dégagée, puis elle sembla s’être rassurée reprenant sa main dans la sienne.

# Ah si on ne pouvait être jamais que tous les deux…

Il se pencha et posa un baiser sur le haut de son front.Il était prêt à se faire porter pale aujourd'hui. Rien que pour passer la journée avec elle, dans ses bras.

« Ce soir, Lexie Grey. Ce soir. Je te le promets. Rien que tous les deux. »

Oui, Callie n’aurait pas le choix… il allait certainement devoir négocier avec sa meilleure amie pendant toute la journée. Mais elle finirait par céder. Lexie et lui auraient d'autres occasions de passer une journée complètement ensemble. Son esprit se projetait déjà à ce soir. Il ne savait comment il allait pouvoir se concentre sur son travail aujourd'hui après qu'elle ait échauffer son corps et son esprit.
Et dire que si Derek, un jour ne lui avait pas dit de ne rien entreprendre avec Alexandra Grey... il serait peut-être passé à coté de tout ca. C'était juste inimaginable aujourd'hui.

« Toi et moi. Un bon dîner…»

Il releva délicatement la tête de la jeune femme pour qu’elle le regarde et déposa une série de baisers sur ses lèvres.

« On va devoir retourner à la réalité… Mais ce n’est pas mon étage… »

Il sourit malicieusement et l’entoura de ses bras.

« Tu veux que je t’accompagnes à l’entrée, avant d’aller travailler ? »

[S]

Son nez touchait maintenant le sien puis elle lui répondit :

# Oui. Moi aussi je l’aime.

Est-ce que cela voulait-il dire qu’elle l’aimait, lui ? Le baiser esquimau devint un simple baiser sur ses lèvres, ses douces mains sur chaque coté de son visage. Un baiser pour sceller leurs vœux indirects…

# Mark, je…

Tu… il attendait la suite qui ne viendrait probablement jamais comme la cloche qui indiquait l’arrivée retentit. Voilà ca se terminait là… les portes s’ouvrirent. Il ne regardait qu’elle parce qu’il ne voulait pas que ca se termine, pas après ca… c’était frustrant et il allait y penser toute la journée…
Au loin, à l’étage, il entendit un chariot passé et quelque chose tomber. Lexie s’était dégagée, puis elle sembla s’être rassurée reprenant sa main dans la sienne.

# Ah si on ne pouvait être jamais que tous les deux…

Il se pencha et posa un baiser sur le haut de son front.Il était prêt à se faire porter pale aujourd'hui. Rien que pour passer la journée avec elle, dans ses bras.

« Ce soir, Lexie Grey. Ce soir. Je te le promets. Rien que tous les deux. »

Oui, Callie n’aurait pas le choix… il allait certainement devoir négocier avec sa meilleure amie pendant toute la journée. Mais elle finirait par céder. Lexie et lui auraient d'autres occasions de passer une journée complètement ensemble. Son esprit se projetait déjà à ce soir. Il ne savait comment il allait pouvoir se concentre sur son travail aujourd'hui après qu'elle ait échauffer son corps et son esprit.
Et dire que si Derek, un jour ne lui avait pas dit de ne rien entreprendre avec Alexandra Grey... il serait peut-être passé à coté de tout ca. C'était juste inimaginable aujourd'hui.

« Toi et moi. Un bon dîner…»

Il releva délicatement la tête de la jeune femme pour qu’elle le regarde et déposa une série de baisers sur ses lèvres.

« On va devoir retourner à la réalité… Mais ce n’est pas mon étage… »

Il sourit malicieusement et l’entoura de ses bras.

« Tu veux que je t’accompagnes à l’entrée, avant d’aller travailler ? »

[Mc]

Son nez touchait maintenant le sien puis elle lui répondit :

# Oui. Moi aussi je l’aime.

Est-ce que cela voulait-il dire qu’elle l’aimait, lui ? Le baiser esquimau devint un simple baiser sur ses lèvres, ses douces mains sur chaque coté de son visage. Un baiser pour sceller leurs vœux indirects…

# Mark, je…

Tu… il attendait la suite qui ne viendrait probablement jamais comme la cloche qui indiquait l’arrivée retentit. Voilà ca se terminait là… les portes s’ouvrirent. Il ne regardait qu’elle parce qu’il ne voulait pas que ca se termine, pas après ca… c’était frustrant et il allait y penser toute la journée…
Au loin, à l’étage, il entendit un chariot passé et quelque chose tomber. Lexie s’était dégagée, puis elle sembla s’être rassurée reprenant sa main dans la sienne.

# Ah si on ne pouvait être jamais que tous les deux…

Il se pencha et posa un baiser sur le haut de son front.Il était prêt à se faire porter pale aujourd'hui. Rien que pour passer la journée avec elle, dans ses bras.

« Ce soir, Lexie Grey. Ce soir. Je te le promets. Rien que tous les deux. »

Oui, Callie n’aurait pas le choix… il allait certainement devoir négocier avec sa meilleure amie pendant toute la journée. Mais elle finirait par céder. Lexie et lui auraient d'autres occasions de passer une journée complètement ensemble. Son esprit se projetait déjà à ce soir. Il ne savait comment il allait pouvoir se concentre sur son travail aujourd'hui après qu'elle ait échauffer son corps et son esprit.
Et dire que si Derek, un jour ne lui avait pas dit de ne rien entreprendre avec Alexandra Grey... il serait peut-être passé à coté de tout ca. C'était juste inimaginable aujourd'hui.

« Toi et moi. Un bon dîner…»

Il releva délicatement la tête de la jeune femme pour qu’elle le regarde et déposa une série de baisers sur ses lèvres.

« On va devoir retourner à la réalité… Mais ce n’est pas mon étage… »

Il sourit malicieusement et l’entoura de ses bras.

« Tu veux que je t’accompagnes à l’entrée, avant d’aller travailler ? »

[S]

Son nez touchait maintenant le sien puis elle lui répondit :

# Oui. Moi aussi je l’aime.

Est-ce que cela voulait-il dire qu’elle l’aimait, lui ? Le baiser esquimau devint un simple baiser sur ses lèvres, ses douces mains sur chaque coté de son visage. Un baiser pour sceller leurs vœux indirects…

# Mark, je…

Tu… il attendait la suite qui ne viendrait probablement jamais comme la cloche qui indiquait l’arrivée retentit. Voilà ca se terminait là… les portes s’ouvrirent. Il ne regardait qu’elle parce qu’il ne voulait pas que ca se termine, pas après ca… c’était frustrant et il allait y penser toute la journée…
Au loin, à l’étage, il entendit un chariot passé et quelque chose tomber. Lexie s’était dégagée, puis elle sembla s’être rassurée reprenant sa main dans la sienne.

# Ah si on ne pouvait être jamais que tous les deux…

Il se pencha et posa un baiser sur le haut de son front.Il était prêt à se faire porter pale aujourd'hui. Rien que pour passer la journée avec elle, dans ses bras.

« Ce soir, Lexie Grey. Ce soir. Je te le promets. Rien que tous les deux. »

Oui, Callie n’aurait pas le choix… il allait certainement devoir négocier avec sa meilleure amie pendant toute la journée. Mais elle finirait par céder. Lexie et lui auraient d'autres occasions de passer une journée complètement ensemble. Son esprit se projetait déjà à ce soir. Il ne savait comment il allait pouvoir se concentre sur son travail aujourd'hui après qu'elle ait échauffer son corps et son esprit.
Et dire que si Derek, un jour ne lui avait pas dit de ne rien entreprendre avec Alexandra Grey... il serait peut-être passé à coté de tout ca. C'était juste inimaginable aujourd'hui.

« Toi et moi. Un bon dîner…»

Il releva délicatement la tête de la jeune femme pour qu’elle le regarde et déposa une série de baisers sur ses lèvres.

« On va devoir retourner à la réalité… Mais ce n’est pas mon étage… »

Il sourit malicieusement et l’entoura de ses bras.

« Tu veux que je t’accompagnes à l’entrée, avant d’aller travailler ? »

[Grey's]

# Ce soir, Lexie Grey. Ce soir. Je te le promets. Rien que tous les deux. Toi et moi. Un bon dîner…
Ses baisers étaient doux, comme un nectar devenu vital. Lexie pensait à rester un petit moment de plus dans l’hôpital, pour profiter de Mark, mais il avait plusieurs consultations aujourd’hui. Pas d’opérations puisqu’on était mardi, jour où il n’allait pas au bloc. Journée moins longue, et moins chargée, en réfléchissant bien (oui, ou pas nécessairement bien d’ailleurs) ils auraient pu certainement s’occuper tous les deux.

# On va devoir retourner à la réalité… Mais ce n’est pas mon étage…

Comme s’il avait lu dans ses pensées, Mark annonçait un retour à la réalité. Lexie aurait bien protesté. Oh pas de suite.. Pas la réalité. En guise de protestation, elle s’enfonça dans ses bras, se calant bien contre lui.

# Tu veux que je t’accompagne à l’entrée, avant d’aller travailler ?

Lexie sourit de satisfaction en murmurant un simple
-S’il te plait.

Elle posa sa tête sous son menton à lui, et noua ses mains dans son dos, l’entourant de ses bras. Elle resta immobile, profitant de son odeur et de sa chaleur tandis que l’ascenseur descendait en douceur. C’était comme si l’appareil avait saisi la tendresse qui liait les deux médecins et les berçait de son mouvement calme.

-Mark je…

La jeune médecin aurait pu profiter du silence qui s’était installé pour dire au Docteur Sloan ce qu’elle tenait à lui dire, mais elle se retint pour le soir. Elle ne voulait pas non plus en faire quelque chose de trop officiel, mais ce n’était pas facile à dire pour autant. Elle était fatiguée, et voulait se reposer, tandis que Mark était occupé, pour profiter du soir.

-Il… faut que … Tu crois que ? …

Sa bouche et son cerveau n’arrivaient pas à se mettre d’accord. Les deux se battaient sur quoi dire et quoi taire, et les phrases qu’elle prononçait n’avaient pas de fin. Voilà Lexie qui se troublait de nouveau, ne pouvant articuler trois mots à la suite et faire des phrases normales. Sujet Verbe Complément. Et la version subordonnée ?

-Il faut.. que… je prenne le bus pour rentrer. Non, enfin… tu… tu crois que… c’est plus rapide à pied ?

Mais n’importe quoi ! La question était aussi débile qu’incohérente. Mark venait d’un appartement situé nettement plus près que la maison de Meredith, et de l’autre côté. De plus, il lui arrivait de faire le chemin en moto ou en voiture, oui parce que je l’avais décidé avant donc je le laisse. Dans tous les cas, il se fichait un peu des bus. Lexie était redevenue timide et hésitante face au grand terrible et confiant Mark Sloan.

Hésitante, Lexie avait les yeux ouverts, mais collée contre lui, elle regardait droit devant elle, par dessus son bras.

[B]

La réponse ne se fut pas longue à venir.

# S’il te plait.

Il hocha la tête et appuya une dernière fois sur le bouton du rez-de-chaussée. Les portes se refermèrent sur eux et Lexie se blottit contre lui. Chaque seconde avec elle était bonne à prendre. Il aurait voulu être spontané et lui dire « Viens, on s’en va quelques jours, loin de tout ca ». Mais il savait que la jeune résidente aurait été réticente, ce n’était pas le moment pour elle de prendre des jours de vacances, elle devait faire ses preuves, être un bon médecin, apprendre pour devenir un bon chirurgien. La spontanéité serait pour plus tard. Dans quelques mois, quelques années... Il était impatient et même temps son désir de ne pas vouloir la brusquer de peur qu'elle lui échappe lui apprenait à être patient.

# Mark je… Il… faut que … Tu crois que ? … Il faut… que… je prenne le bus pour rentrer. Non, enfin… tu… tu crois que… c’est plus rapide à pied ?

Les paroles de Lexie n’avaient pas vraiment de sens. Certainement à cause de la fatigue, elle ne réussissait pas à finir ses phrases. Il aurait pu insister, lui dire « Vas-y, continue, je t’écoute. »
Les phrases incomplètes éveillaient sa curiosité et surtout, elle semblait vouloir lui dire quelque chose… ou ce n'était vraiment que le contre-coup de la fatigue.
Non, il ne voulait pas insister, insister signifiait la fatiguer encore plus et elle n’avait pas besoin de ça. Il allait simplement l’accompagner jusqu’au hall, l’embrasserait une dernière fois avant qu’elle ne quitte l’hôpital pour aller se reposer et qu’il n’aille travailler.

Elle ne bougeait plus contre lui. Il posa un baiser sur le haut de sa tête, la serra un peu plus fort, respirant son doux parfum.

« Tu as l’air exténuée, Lex. Repose-toi une fois arrivée, d’accord ? J’aimerai pouvoir avoir une conversation normale avec toi, qui finit tes phrases. » Dit-il en souriant.

Sur ses dernières paroles, il avait relevé le visage de la jeune femme pour qu’elle le regarde.

[S]

La réponse ne se fut pas longue à venir.

# S’il te plait.

Il hocha la tête et appuya une dernière fois sur le bouton du rez-de-chaussée. Les portes se refermèrent sur eux et Lexie se blottit contre lui. Chaque seconde avec elle était bonne à prendre. Il aurait voulu être spontané et lui dire « Viens, on s’en va quelques jours, loin de tout ca ». Mais il savait que la jeune résidente aurait été réticente, ce n’était pas le moment pour elle de prendre des jours de vacances, elle devait faire ses preuves, être un bon médecin, apprendre pour devenir un bon chirurgien. La spontanéité serait pour plus tard. Dans quelques mois, quelques années... Il était impatient et même temps son désir de ne pas vouloir la brusquer de peur qu'elle lui échappe lui apprenait à être patient.

# Mark je… Il… faut que … Tu crois que ? … Il faut… que… je prenne le bus pour rentrer. Non, enfin… tu… tu crois que… c’est plus rapide à pied ?

Les paroles de Lexie n’avaient pas vraiment de sens. Certainement à cause de la fatigue, elle ne réussissait pas à finir ses phrases. Il aurait pu insister, lui dire « Vas-y, continue, je t’écoute. »
Les phrases incomplètes éveillaient sa curiosité et surtout, elle semblait vouloir lui dire quelque chose… ou ce n'était vraiment que le contre-coup de la fatigue.
Non, il ne voulait pas insister, insister signifiait la fatiguer encore plus et elle n’avait pas besoin de ça. Il allait simplement l’accompagner jusqu’au hall, l’embrasserait une dernière fois avant qu’elle ne quitte l’hôpital pour aller se reposer et qu’il n’aille travailler.

Elle ne bougeait plus contre lui. Il posa un baiser sur le haut de sa tête, la serra un peu plus fort, respirant son doux parfum.

« Tu as l’air exténuée, Lex. Repose-toi une fois arrivée, d’accord ? J’aimerai pouvoir avoir une conversation normale avec toi, qui finit tes phrases. » Dit-il en souriant.

Sur ses dernières paroles, il avait relevé le visage de la jeune femme pour qu’elle le regarde.

[Mc]

La réponse ne se fut pas longue à venir.

# S’il te plait.

Il hocha la tête et appuya une dernière fois sur le bouton du rez-de-chaussée. Les portes se refermèrent sur eux et Lexie se blottit contre lui. Chaque seconde avec elle était bonne à prendre. Il aurait voulu être spontané et lui dire « Viens, on s’en va quelques jours, loin de tout ca ». Mais il savait que la jeune résidente aurait été réticente, ce n’était pas le moment pour elle de prendre des jours de vacances, elle devait faire ses preuves, être un bon médecin, apprendre pour devenir un bon chirurgien. La spontanéité serait pour plus tard. Dans quelques mois, quelques années... Il était impatient et même temps son désir de ne pas vouloir la brusquer de peur qu'elle lui échappe lui apprenait à être patient.

# Mark je… Il… faut que … Tu crois que ? … Il faut… que… je prenne le bus pour rentrer. Non, enfin… tu… tu crois que… c’est plus rapide à pied ?

Les paroles de Lexie n’avaient pas vraiment de sens. Certainement à cause de la fatigue, elle ne réussissait pas à finir ses phrases. Il aurait pu insister, lui dire « Vas-y, continue, je t’écoute. »
Les phrases incomplètes éveillaient sa curiosité et surtout, elle semblait vouloir lui dire quelque chose… ou ce n'était vraiment que le contre-coup de la fatigue.
Non, il ne voulait pas insister, insister signifiait la fatiguer encore plus et elle n’avait pas besoin de ça. Il allait simplement l’accompagner jusqu’au hall, l’embrasserait une dernière fois avant qu’elle ne quitte l’hôpital pour aller se reposer et qu’il n’aille travailler.

Elle ne bougeait plus contre lui. Il posa un baiser sur le haut de sa tête, la serra un peu plus fort, respirant son doux parfum.

« Tu as l’air exténuée, Lex. Repose-toi une fois arrivée, d’accord ? J’aimerai pouvoir avoir une conversation normale avec toi, qui finit tes phrases. » Dit-il en souriant.

Sur ses dernières paroles, il avait relevé le visage de la jeune femme pour qu’elle le regarde.

[S]

La réponse ne se fut pas longue à venir.

# S’il te plait.

Il hocha la tête et appuya une dernière fois sur le bouton du rez-de-chaussée. Les portes se refermèrent sur eux et Lexie se blottit contre lui. Chaque seconde avec elle était bonne à prendre. Il aurait voulu être spontané et lui dire « Viens, on s’en va quelques jours, loin de tout ca ». Mais il savait que la jeune résidente aurait été réticente, ce n’était pas le moment pour elle de prendre des jours de vacances, elle devait faire ses preuves, être un bon médecin, apprendre pour devenir un bon chirurgien. La spontanéité serait pour plus tard. Dans quelques mois, quelques années... Il était impatient et même temps son désir de ne pas vouloir la brusquer de peur qu'elle lui échappe lui apprenait à être patient.

# Mark je… Il… faut que … Tu crois que ? … Il faut… que… je prenne le bus pour rentrer. Non, enfin… tu… tu crois que… c’est plus rapide à pied ?

Les paroles de Lexie n’avaient pas vraiment de sens. Certainement à cause de la fatigue, elle ne réussissait pas à finir ses phrases. Il aurait pu insister, lui dire « Vas-y, continue, je t’écoute. »
Les phrases incomplètes éveillaient sa curiosité et surtout, elle semblait vouloir lui dire quelque chose… ou ce n'était vraiment que le contre-coup de la fatigue.
Non, il ne voulait pas insister, insister signifiait la fatiguer encore plus et elle n’avait pas besoin de ça. Il allait simplement l’accompagner jusqu’au hall, l’embrasserait une dernière fois avant qu’elle ne quitte l’hôpital pour aller se reposer et qu’il n’aille travailler.

Elle ne bougeait plus contre lui. Il posa un baiser sur le haut de sa tête, la serra un peu plus fort, respirant son doux parfum.

« Tu as l’air exténuée, Lex. Repose-toi une fois arrivée, d’accord ? J’aimerai pouvoir avoir une conversation normale avec toi, qui finit tes phrases. » Dit-il en souriant.

Sur ses dernières paroles, il avait relevé le visage de la jeune femme pour qu’elle le regarde.

[Grey's]

La discrétion du médecin rasséréna la jeune femme. C’est en effet de manière instantanée que le calme revint en elle, sur ses traits autant que dans ses gestes ou son souffle. Douceur… Protection… Bienveillance… Comme un ange qui étend ses ailes. Pour la protéger, pour la couvrir, pour la réchauffer, pour … l’envoyer au septième ciel ! ( :p )Mark était son gardien à tout point de vue. Contre les autres, contre elle-aime. Et il gardait son cœur.

Lexie sourit. Elle aimait quand il utilisait ce raccourci de son surnom. Lui seul le faisait, et ça le rendait encore plus unique. Indispensable. Sa vie s’était éclairée depuis qu’il était entrée dans sa vie. Quand il releva sa tête de ses mains après avoir prononcé ses affectueux conseils, Lexie plongea son regard dans le sien.

-Je t’aime.

Ce fut brusque, dans un souffle. Rapide et vrai.

-Je t’aime, Mark. Je vais dormir, et je t’attends.

Elle s’avança doucement, et déposa un court baiser sur la joue du médecin, tandis que les portes de l’ascenseur s’ouvraient derrière elle. Elle sortit de la machine, et se retournant, elle lança de manière plus anodine, comme pour s'expliquer et être au plus proche de la vérité :

-Enfin, techniquement, c’est toi qui vas m’attendre, vu qu’on se retrouve chez toi, et que je serai celle à arriver après et que…

Lexie décida d’arrêter l’hémorragie de paroles inexplicatives et ajouta :

-Bonne journée, on se voit ce soir.

Elle tourna les talons, le cœur battant la chamade de l’aveu qu’elle venait de faire. En une seconde elle se reprit, et avança paisiblement vers la sortie, vers les vitres qu’éclairait les premiers rayons du soleil de printemps.

[B]

# Je t’aime.

Les trois mots qui font tout basculer. Elle les avait dit. Et elle continuait de parler mais il n’entendait plus rien. Il était resté sur ces mots qu’elle avait prononcés. Un choc. Autant il savait que ca devait arriver, tôt ou tard, lui ou elle… Il avait eu peur de ce qu’il aurait pu ressentir quand elle aurait dit ces mots aussi… Et peur de sa réaction si il les disait. Maintenant que c’était fait, une plénitude inconditionnelle s’était installée en lui. Comme si il avait inconsciemment attendu qu’elle les lui dise en première et qu’après… tout serait parfait.
Les idées se bousculent à la porte de son esprit, et les mots manquent pour les lui dire.
Il avait de nombreuses fois rêver de ce moment où ils s’avoueraient leur amour, maintenant que c’était arrivé, il était désarmé. Il aurait dû pouvoir lui dire là tout de suite sans réfléchir, la connaissant si il ne répondait pas, elle paniquerait, elle s’imaginerait des choses, mais les mots ne sortent pas…
Elle l’embrassa sur la joue rapidement, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent.

C’est maintenant… il faut lui dire maintenant, ne la laisse pas partir, pense-t-il. Il ouvrit la bouche pour lui souffler un « moi aussi, Lexie. » Mais…

# Bonne journée, on se voit ce soir, dit-elle. Puis elle partit. Elle n’était plus là. Il avança d’un pas, puis de deux mais quand il s’apprêtait à sortir pour la rattraper, un groupe d’infirmières riant aux éclats entra dans l’habitacle l’obligeant à reculer. Il soupira et s’adossa contre le mur de l’ascenseur.

« Vous montez Docteur Sloan ? » Demanda une infirmière, s’apprêtant à appuyer sur le bouton de l’étage.

Il hocha simplement la tête. Ses pensées (et son cœur) étaient ailleurs. Il n’avait maintenant qu’une envie, que cette journée se finisse pour qu’il puisse la retrouver et à son tour lui dire ses trois mots d’amour.

[S]

# Je t’aime.

Les trois mots qui font tout basculer. Elle les avait dit. Et elle continuait de parler mais il n’entendait plus rien. Il était resté sur ces mots qu’elle avait prononcés. Un choc. Autant il savait que ca devait arriver, tôt ou tard, lui ou elle… Il avait eu peur de ce qu’il aurait pu ressentir quand elle aurait dit ces mots aussi… Et peur de sa réaction si il les disait. Maintenant que c’était fait, une plénitude inconditionnelle s’était installée en lui. Comme si il avait inconsciemment attendu qu’elle les lui dise en première et qu’après… tout serait parfait.
Les idées se bousculent à la porte de son esprit, et les mots manquent pour les lui dire.
Il avait de nombreuses fois rêver de ce moment où ils s’avoueraient leur amour, maintenant que c’était arrivé, il était désarmé. Il aurait dû pouvoir lui dire là tout de suite sans réfléchir, la connaissant si il ne répondait pas, elle paniquerait, elle s’imaginerait des choses, mais les mots ne sortent pas…
Elle l’embrassa sur la joue rapidement, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent.

C’est maintenant… il faut lui dire maintenant, ne la laisse pas partir, pense-t-il. Il ouvrit la bouche pour lui souffler un « moi aussi, Lexie. » Mais…

# Bonne journée, on se voit ce soir, dit-elle. Puis elle partit. Elle n’était plus là. Il avança d’un pas, puis de deux mais quand il s’apprêtait à sortir pour la rattraper, un groupe d’infirmières riant aux éclats entra dans l’habitacle l’obligeant à reculer. Il soupira et s’adossa contre le mur de l’ascenseur.

« Vous montez Docteur Sloan ? » Demanda une infirmière, s’apprêtant à appuyer sur le bouton de l’étage.

Il hocha simplement la tête. Ses pensées (et son cœur) étaient ailleurs. Il n’avait maintenant qu’une envie, que cette journée se finisse pour qu’il puisse la retrouver et à son tour lui dire ses trois mots d’amour.

[Mc]

# Je t’aime.

Les trois mots qui font tout basculer. Elle les avait dit. Et elle continuait de parler mais il n’entendait plus rien. Il était resté sur ces mots qu’elle avait prononcés. Un choc. Autant il savait que ca devait arriver, tôt ou tard, lui ou elle… Il avait eu peur de ce qu’il aurait pu ressentir quand elle aurait dit ces mots aussi… Et peur de sa réaction si il les disait. Maintenant que c’était fait, une plénitude inconditionnelle s’était installée en lui. Comme si il avait inconsciemment attendu qu’elle les lui dise en première et qu’après… tout serait parfait.
Les idées se bousculent à la porte de son esprit, et les mots manquent pour les lui dire.
Il avait de nombreuses fois rêver de ce moment où ils s’avoueraient leur amour, maintenant que c’était arrivé, il était désarmé. Il aurait dû pouvoir lui dire là tout de suite sans réfléchir, la connaissant si il ne répondait pas, elle paniquerait, elle s’imaginerait des choses, mais les mots ne sortent pas…
Elle l’embrassa sur la joue rapidement, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent.

C’est maintenant… il faut lui dire maintenant, ne la laisse pas partir, pense-t-il. Il ouvrit la bouche pour lui souffler un « moi aussi, Lexie. » Mais…

# Bonne journée, on se voit ce soir, dit-elle. Puis elle partit. Elle n’était plus là. Il avança d’un pas, puis de deux mais quand il s’apprêtait à sortir pour la rattraper, un groupe d’infirmières riant aux éclats entra dans l’habitacle l’obligeant à reculer. Il soupira et s’adossa contre le mur de l’ascenseur.

« Vous montez Docteur Sloan ? » Demanda une infirmière, s’apprêtant à appuyer sur le bouton de l’étage.

Il hocha simplement la tête. Ses pensées (et son cœur) étaient ailleurs. Il n’avait maintenant qu’une envie, que cette journée se finisse pour qu’il puisse la retrouver et à son tour lui dire ses trois mots d’amour.

[S]

# Je t’aime.

Les trois mots qui font tout basculer. Elle les avait dit. Et elle continuait de parler mais il n’entendait plus rien. Il était resté sur ces mots qu’elle avait prononcés. Un choc. Autant il savait que ca devait arriver, tôt ou tard, lui ou elle… Il avait eu peur de ce qu’il aurait pu ressentir quand elle aurait dit ces mots aussi… Et peur de sa réaction si il les disait. Maintenant que c’était fait, une plénitude inconditionnelle s’était installée en lui. Comme si il avait inconsciemment attendu qu’elle les lui dise en première et qu’après… tout serait parfait.
Les idées se bousculent à la porte de son esprit, et les mots manquent pour les lui dire.
Il avait de nombreuses fois rêver de ce moment où ils s’avoueraient leur amour, maintenant que c’était arrivé, il était désarmé. Il aurait dû pouvoir lui dire là tout de suite sans réfléchir, la connaissant si il ne répondait pas, elle paniquerait, elle s’imaginerait des choses, mais les mots ne sortent pas…
Elle l’embrassa sur la joue rapidement, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent.

C’est maintenant… il faut lui dire maintenant, ne la laisse pas partir, pense-t-il. Il ouvrit la bouche pour lui souffler un « moi aussi, Lexie. » Mais…

# Bonne journée, on se voit ce soir, dit-elle. Puis elle partit. Elle n’était plus là. Il avança d’un pas, puis de deux mais quand il s’apprêtait à sortir pour la rattraper, un groupe d’infirmières riant aux éclats entra dans l’habitacle l’obligeant à reculer. Il soupira et s’adossa contre le mur de l’ascenseur.

« Vous montez Docteur Sloan ? » Demanda une infirmière, s’apprêtant à appuyer sur le bouton de l’étage.

Il hocha simplement la tête. Ses pensées (et son cœur) étaient ailleurs. Il n’avait maintenant qu’une envie, que cette journée se finisse pour qu’il puisse la retrouver et à son tour lui dire ses trois mots d’amour.